Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 592
Membres
1 013 128

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

J'avais oublié à quel point les Parisiens faisaient la gueule en permanence. Un stage de chaleur humaine irlandaise devrait être obligatoire au programme scolaire? Je pensais ça, mais je savais pertinemment que, dans moins de deux jours, j'aurais le même visage blafard et peu avenant qu'eux.

Afficher en entier

Si je commence une histoire avec toi, je te reprocherai un jour ou l’autre de ne pas être lui… d’être toi. Je ne veux pas de ça… Tu n’es pas ma béquille, ni un médicament, tu mérites d’être aimé sans condition, pour toi seul et non pour tes vertus curatives. Et je sais que… je ne t’aime pas comme il faut. En tout cas, pas encore. Il faut d’abord que je me reconstruise, que je sois forte, que j’aille bien, que je n’aie plus besoin d’aide. Après ça, seulement, je pourrai encore aimer.

Afficher en entier

“Ils étaient partis en chahutant dans l'escalier. […] J'avais appris qu'ils faisaient encore les pitres dans la voiture, au moment où le camion les avait percutés. Je m'étais dit qu'ils étaient morts en riant. Je m'étais dit que j'aurais voulu être avec eux.”

Afficher en entier

Fébrilement, je composai le numéro des Gens.

- Les Gens heureux picolent et s'envoient en l'air, j'écoute.

- Félix, soufflais-je.

Afficher en entier

Avec lui, j'apprenais à ne pas parler pour ne rien dire.

Afficher en entier

C'est presque impossible pour lui accorder sa confiance. Il est convaincu qu'il sera trahi ou abandonné. Il m'a appris à me débrouiller toute seule et à ne compter sur personne. Il m'a toujours protégée.

Afficher en entier

"Je voulais m’endormir, pour toujours, peu importe où j’étais. Ma place était auprès de Colin et Clara. J’avais trouvé un bel endroit pour les rejoindre. J’étais perdue entre le rêve et la réalité. La conscience m’abandonnait petit à petit, mes membres s’engourdissaient, je m’enfonçais doucement. Il faisait de plus en plus sombre. La tempête m’aidait à partir."

Afficher en entier

J'essuyais la larme qui avait roulé sur ma joue.

- Colin... Mon amour... Je t'aime trop. Quand serai-je prête à te laisser partir ? Je n'en étais pas loin, et puis tu vois... Je crois qu'Edward te plairait... Qu'est-ce que je raconte ? C'est à moi qu'il doit plaire, non ?

Afficher en entier

- Parle-leur.

Je posai mon ridicule présent sur la tombe et me mis à genoux.

- Hé, mes amours... pardon. Je ne sais pas quoi vous dire...

Ma voix se brisa. J'enfouis mon visage dans mes mains. J'avais froid. J'avais chaud. J'avais mal.

Afficher en entier

- Personne ne peut comprendre.

- Bien sûr que si, tout le monde comprend ce que tu endures. Mais ce n'est pas une raison pour t'éteindre. Cà fait un an qu'ils sont partis, il est temps de vivre. Bats-toi, fais le pour Colin et Clara.

- Je ne sais pas me battre, et de toute façon, je n'en ai pas envie.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode