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_ Croyez-vous réellement pouvoir m'atteindre? Demanda-t-il. Impossible. J'ai été champion d'Angleterre catégorie poids lourds, ma chère.

_ Et moi, la terreur de ma classe.

Clio lança sa main gauche vers la table. Elle ne parvint pas à attraper de fourchette, aussi enfonça-t-elle les doigts dans le gâteau le plus proche, un puits d'amour au chocolat, dont elle fractionna un gros morceau.

_ Mangez ce gâteau, nom de nom!

Il évita son geste circulaire, libéra sa main et courut de l'autre côté de la table. Le souffle court, riant tous les deux, ils étaient maintenant face à face au-dessus du buffet de pâtisseries. Si elle s'élançait vers la droite, il ripostait par un mouvement inverse.

Hilare, il observait ses efforts frustés pour l'attraper.

_ Rappelez-vous ce que je vous ai dit. Concentration. Anticipation. Réaction.

_ Réagissez donc à ceci! S'écria-t-elle en lui lançant sa poignée de gâteau.

Mais ce satané bonhomme baissa la tête. Puis il se retourna pour regarder les éclats de chocolat éclabousser le mur. Il émit un sifflement amusé.

_ Ça alors, mademoiselle Whitmore. Je n'en crois pas mes yeux.

_ Et pourtant, je vais recommencer.

Elle fondit sur une tarte aux amandes, qui effleura l'épaule de Rafe. Clio poussa un cri de victoire.

_ Ah ah! Le premier sang!

Rafe prit un morceau de gâteau tapissé de fraises et de gelée en guise de munition.

_ Mais non! S'exclama-t-il. Je ne rêve pas!

Elle s'accroupit, mais il fut trop rapide, et une partie du fraisier atterrit tel un linceul sucré sur ses cheveux et son visage.

Il était temps de se ravitailler.

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— Je suis follement amoureuse de vous, Rafe Brandon.

Pendant un instant, il garda le silence. Puis il demanda :

— Êtes-vous fiévreuse ?

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Il accélérait l’allure en accédant à l’angle d’un couloir… … lorsqu’il entra en collision avec une personne arrivant de l’autre côté. Clio.

— Wouf ! La force de l’impact la projeta en arrière, telle une sauterelle rebondissant sur le flanc d’un cheval lancé au galop. Il la rattrapa par le poignet pour l’empêcher de tomber.

— Pardon.

— Je vais bien. Peut-être allait-elle bien, mais Rafe quant à lui avait besoin d’un moment pour se ressaisir. Pendant le fugace instant de leur collision, il avait eu l’impression d’être marqué au fer rouge par le contact de ses courbes. La sensation d’une chaleur délicieuse et pulpeuse s’attardait en des endroits inopportuns de son corps. Quelques étages au pas de course ne suffisaient pas. Le lendemain, il faudrait qu’il coure. Loin et vite. Et qu’il donne des coups de poing, qu’il soulève des poids. En abondance.

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— J’ai eu tort de vous en parler, dit-elle en reculant. Je me demande même pourquoi j’essaie de vous expliquer mes aspirations.

— Je sais. Je suis une brute stupide et sans éducation. La prochaine fois, parlez lentement et utilisez des phrases courtes.

— Ce n’est pas ce que je voulais dire. Vous êtes très intelligent, au contraire, je n’en ai jamais douté. J’aimerais simplement que vous m’accordiez le même crédit.

— Moi ? Je ne vous ai jamais trouvée idiote !

— Vous pensez qu’une jolie robe et un repas de noces suffiront à me faire changer d’avis sur une chose aussi importante que le mariage. N’y voyez-vous pas une insulte à mon intelligence ?

— Voyons, Clio…

— Pas de « voyons, Clio !

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— Vous produisez des bruits de gâteau, lui expliqua-t-il.

— Des « bruits de gâteau » ? Qu’est-ce que cela peut signifier ?

— Eh bien, quand vous mangez un gâteau, vous faites des bruits. Clio arrondit les yeux. Il hocha la tête.

— Mais oui. Des soupirs. Des souffles. Des gémissements à peine audibles. Vous adorez les pâtisseries. Du moins, c’était le cas autrefois. Certes, on vous a appris à adopter un comportement guindé et compassé. Mais je sais… Il agita la fourchette sous son nez. — … que vous en avez envie. Elle sentit ses joues s’empourprer.

— En supposant que je produise des… bruits de gâteau, ce qui reste sujet à caution, il n’est pas digne d’un gentleman de les remarquer.

— Sans conteste. Mais je ne suis pas réputé pour être un gentleman.

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Tendant les bras à l’intérieur du véhicule, il en ressortit le bouledogue le plus gras, le plus vieux et le plus laid qu’on puisse concevoir. Seigneur ! Quelle antiquité… Même ses plis étaient plissés. (…)

— Voici Ellingworth, annonça Rafe en ôtant ses gants. Clio s’inclina.

— Bonjour, monsieur Ellingworth. Rafe secoua la tête.

— Ellingworth est le chien.

— Vous avez un chien ?

— Non. C’est celui de Piers. Il la dévisagea comme si elle était censée le savoir. Et pourtant, elle l’ignorait. Comme c’était curieux. Elle ne se rappelait pas que Piers ait jamais mentionné un chien, à l’exception de la meute que gardait son métayer à Oakhaven.

— Un vestige de ses années à Oxford, expliqua Rafe. Une histoire de mascotte, ou un canular, peut-être… Quoi qu’il en soit, il vit avec moi. Il a quatorze ans, et il lui faut un régime spécial et des soins continus. J’ai tout fait consigner par le vétérinaire.

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— Tout de même, mademoiselle… Nous devrions convenir d’un signal.

— Un signal ?

— Un mot que vous pourriez crier en cas de détresse. Par exemple, Tanger… ou… je ne sais pas, muscadine. Clio adressa un regard amusé à sa bonne.

— L’expression « au secours » ne vous plaît pas ?

— Ma foi… je suppose que oui..

— Allons, dit-elle en souriant, attendrie par l’air déçu d’Anna. Va pour muscadine.

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— Lord Rafe, s’il vous plaît. Voudriez-vous bien cesser de…

— De finir vos phrases ? Elle réprima un gémissement contrarié. Il s’immobilisa en plein effort.

— Ne me faites pas croire que je me suis trompé sur la fin de celle-là. Non, il avait eu raison. C’était le plus exaspérant.

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— Deux mots, Rafe. Soie italienne. Dentelles belges. Modiste française. Perles de culture, brillants, ruchés…

— Sans être mathématicien, je suis relativement certain que cela fait plus de deux mots.

— Les robes, déclara Bruiser en lui frappant le bras. Voilà tes deux mots : les robes. Elles sont arrivées. Et elles sont somptueuses.

Je doute fort que cela suffise. Mlle Whitmore est une demoiselle nantie. Elle n’a jamais manqué de belles robes.

— Pas comme celles-ci. Crois-moi, elle ne pourra pas résister. Mince, même moi, j’ai envie de les porter ! Rafe ouvrit la porte de sa chambre.

— Au cas où il serait nécessaire de te le préciser : abstiens-t’en.

— D’accord. Je ne m’habillerai pas en dame. Pas cette fois. Il leva les deux mains.

— Je plaisante, je plaisante.

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— Mon bon toutou, dit Piers en souriant et en grattant le ressuscité derrière les oreilles. Je suis bien content de te retrouver. Cela fait si longtemps !

— Il est heureux de vous revoir, commenta Clio en souriant.

— On dirait, oui.

Il chercha son regard.

— Et vous, êtes-vous heureuse que je sois revenu ?

— Je…

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