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Après le succès d'Isabelle l'après-midi, Douglas Kennedy se réinvente encore et change de décor. Direction Los Angeles et une Amérique rongée par la crise... A mi-chemin entre roman noir et chronique sociale, Les hommes ont peur de la lumière est surtout le bouleversant portrait d'un homme bien, piégé par la violence.
Dans un Los Angeles crépusculaire, le grand retour de Douglas Kennedy au roman noir !
Un après-midi calme et ensoleillé, un bâtiment en apparence anonyme et soudain, l'explosion d'une bombe.
L'immeuble dévasté abritait l'une des rares cliniques pratiquant l'avortement. Une victime est à déplorer et parmi les témoins impuissants, Brendan, un chauffeur Uber d'une cinquantaine d'années, et sa cliente Elise, une ancienne professeure de fac qui aide des femmes en difficulté à se faire avorter.
Au mauvais endroit au mauvais moment, l'intellectuelle bourgeoise et le chic type sans histoires vont se retrouver embarqués malgré eux dans une dangereuse course contre la montre. Car si au départ tout semble prouver qu'il s'agit d'un attentat perpétré par un groupuscule d'intégristes religieux, la réalité est bien plus trouble et inquiétante...
Tout à la fois thriller haletant et chronique d'une Amérique en crise, Les hommes ont peur de la lumière est surtout le puissant portrait d'un homme et d'une femme qui, envers et contre tout, essaient de rester debout.
Encore une histoire touchante et si bien racontée de cet auteur, Douglas Kennedy. Sa façon d'aborder le débat sur l'avortement aux USA et les fanatiques qui y sont impliqués est malheureusement très réaliste.
Cet auteur ne me déçoit jamais. Dans ce livre, il évoque un sujet particulièrement délicat mais avec beaucoup de sensibilité et ses personnages sont tellement profonds et réels.
Ma première fois chez Douglas Kennedy...eh bien, j'y reviendrai! le roman se lit comme une série télé...je me suis retrouvé dans la tête du héros et de ses déconvenues sans difficulté. Kennedy vous saisit par des rebondissements impressionnants qui, malgré leurs excès, gardent un contact avec la réalité d'une Amérique aux portes de l'obscurantisme, guidé par des hommes à la recherche d'une lumière qui les absout de leur crime.
Après le succès d'Isabelle l'après-midi, Douglas Kennedy se réinvente encore et change de décor. Direction Los Angeles et une Amérique rongée par la crise... A mi-chemin entre roman noir et chronique sociale, Les hommes ont peur de la lumière est surtout le bouleversant portrait d'un homme bien, piégé par la violence.
Dans un Los Angeles crépusculaire, le grand retour de Douglas Kennedy au roman noir !
Un après-midi calme et ensoleillé, un bâtiment en apparence anonyme et soudain, l'explosion d'une bombe.
L'immeuble dévasté abritait l'une des rares cliniques pratiquant l'avortement. Une victime est à déplorer et parmi les témoins impuissants, Brendan, un chauffeur Uber d'une cinquantaine d'années, et sa cliente Elise, une ancienne professeure de fac qui aide des femmes en difficulté à se faire avorter.
Au mauvais endroit au mauvais moment, l'intellectuelle bourgeoise et le chic type sans histoires vont se retrouver embarqués malgré eux dans une dangereuse course contre la montre. Car si au départ tout semble prouver qu'il s'agit d'un attentat perpétré par un groupuscule d'intégristes religieux, la réalité est bien plus trouble et inquiétante...
Tout à la fois thriller haletant et chronique d'une Amérique en crise, Les hommes ont peur de la lumière est surtout le puissant portrait d'un homme et d'une femme qui, envers et contre tout, essaient de rester debout.
Douglas Kennedy est l'un de mes auteurs préférés et cela se confirme avec ce roman. J'aime son regard critique sur l'Amérique et les américains, j'aime ses personnages sans concession, j'aime son style d'écriture ni superficiel ni trop détaillé, bref je recommande!
L'auteur a choisi le thème des droits à l'avortement et de la menace par des activistes pro-vie pour mener un thriller assez lent à démarrer. Les ultra-catholiques sont associés à des hommes d'influence aux mains pas nettes du tout.
L'Amérique dans toute sa splendeur...
Sujet d'actualité puisque ce droit à l'avortement est très réduit depuis peu.
Pour une fois, un homme ordinaire américain se découvre féministe au contact de sa fille et d'une "doula" qui aide les femmes à mettre fin à leur grossesse. Celles-ci sont menacées par des groupes extrémistes pro-vie.
Attention, ce livre aborde des sujets qui peuvent être sensibles pour certains.
Ici, nous allons parler d'avortement, une mention est également faite aux viols et à la séquestration.
Nous nous retrouvons à Los Angeles, dans le côté sombre de la vie aux USA. Les clans pour et contre l'avortement s'opposent, souvent avec virulence.
Nous suivons Brendan, chauffeur Uber qui, un jour, va prendre en charge une vieille dame. Sa course l'amène à une clinique qui pratique l'IVG. Alors qu'il déjeune non loin de la clinique, il est témoin d'un attentat qui fera un mort. Elise, la vieille dame, va entrer dans la vie de Brendan avec fracas et changera son destin.
J'ai trouvé ce roman intéressant car il soulève un débat qui fait surtout rage aux USA (peut-être un peu moins chez nous) : celui de l'avortement.
Certaines scènes m'ont horrifiée car l'auteur ne nous épargne pas la pourriture qui gouverne ce monde... La religion catholique est également très mise en avant, ce qui, encore une fois, soulève une certaine rage chez le lecteur (sauf peut-être si vous êtes vous-même fervent catholique).
Il s'agit d'un récit fort, bien mené. J'ai apprécié ma lecture.
Résumé
Après le succès d'Isabelle l'après-midi, Douglas Kennedy se réinvente encore et change de décor. Direction Los Angeles et une Amérique rongée par la crise... A mi-chemin entre roman noir et chronique sociale, Les hommes ont peur de la lumière est surtout le bouleversant portrait d'un homme bien, piégé par la violence.
Dans un Los Angeles crépusculaire, le grand retour de Douglas Kennedy au roman noir !
Un après-midi calme et ensoleillé, un bâtiment en apparence anonyme et soudain, l'explosion d'une bombe.
L'immeuble dévasté abritait l'une des rares cliniques pratiquant l'avortement. Une victime est à déplorer et parmi les témoins impuissants, Brendan, un chauffeur Uber d'une cinquantaine d'années, et sa cliente Elise, une ancienne professeure de fac qui aide des femmes en difficulté à se faire avorter.
Au mauvais endroit au mauvais moment, l'intellectuelle bourgeoise et le chic type sans histoires vont se retrouver embarqués malgré eux dans une dangereuse course contre la montre. Car si au départ tout semble prouver qu'il s'agit d'un attentat perpétré par un groupuscule d'intégristes religieux, la réalité est bien plus trouble et inquiétante...
Tout à la fois thriller haletant et chronique d'une Amérique en crise, Les hommes ont peur de la lumière est surtout le puissant portrait d'un homme et d'une femme qui, envers et contre tout, essaient de rester debout.
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