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Comment aurais-je pu lui reprocher son incapacité d'aimer la partie de moi que je détestais moi-même?»
1824. À la mort de ses parents adoptifs, James s'évertue à cacher une partie de son histoire aux gens qui l'entourent, dont Caroline Chardon de qui il est amoureux. Elle porte d'ailleurs leur enfant, fruit d'un amour interdit. Avant que James ne lui dévoile son terrible secret, il apprend que le fils de son fidèle serviteur, envers qui il a une grande dette morale, a été capturé et vendu comme esclave. James décide alors de partir à la recherche du jeune garçon: le retrouvera-t-il à temps? Réussira-t-il à avouer à sa douce promise ce qui le hante depuis tant d'années?
À travers les vies et les destins de Sukey, de Pan et de Henry, de Robert et de Kitty, découvrez les États-Unis au temps des plantations et de l'esclavagisme. Un véritable hymne à la liberté et à la richesse du cour.
Esclave, c'est pas un mot qui veut dire que quelqu'un est mauvais. Plein de gens par ici étaient des esclaves avant. Ça veut juste dire que quelqu'un t'a pris et que t'avais pas le choix. Ton papa a pas eu le choix d'être un esclave. Il y a pas de honte à ça. La seule honte est pour l'homme qui s'est servi de lui.
Une bonne suite qui traite également de l'esclavagisme mais sous un angle différent, qui, étonnement, m'a plus horrifiée que dans le premier tome. James est le parfait exemple du conditionnement par l'éducation de sa grand-mère, il a appris à considérer les nègres comme inférieurs depuis tout petit, sans qu'on ne lui donne la possibilité de remettre en question cette croyance ancrée en lui, jusqu'à, tout du moins, ce que le destin s'en mêle à notre grand plaisir !
J'ai aimé sa faillibilité, le fait qu'il doute et qu'il se montre parfois d'un égoïsme extrême, car, qui sait réellement ce qu'il aurait fait dans ce genre de situations ? Nous avons encore du chemin à faire pour arriver à un monde sans esclave et sans préjugés raciaux...
Spoiler(cliquez pour révéler)J'avoue que je ne croyais pas à la mort de Caroline et que j'attendais un retournement de situation jusqu'à la fin !
Tout comme « La Colline aux esclaves » j’ai adoré ce livre que l’on peut considérer comme une « suite » même si cela se passe des années après. Décidément j’adhère vraiment au style d’écriture de l’auteur, dont la plume est fluide, elle sait retenir notre attention et les pages défilent toutes seules. Il n’y a pas de temps morts ! J’ai pleuré, j’ai ri, je me suis indignée, bref ! Avec ce livre tout comme le précédent je suis passée par toute sorte d’émotions. En ce qui concerne les personnages, je dois avouer que j’ai eu du mal à me prendre d’affection pour James « Jamie » Pyke au début, Spoiler(cliquez pour révéler)car je sais que même si il a été élevé par sa grand-mère blanche et qu’il se considère comme tel, je n’ai pas beaucoup apprécié sa façon de voir les personnes de couleurs, heureusement au fil du livre et au fur et à mesure de ses péripéties, il finit par se rendre compte de la stupidité de ce comportement. Par contre j’ai tout de suite adoré Pan que j’ai trouvé très attachant et adorable.
En tout cas j’espère vraiment que Kathleen Grissom ne s’arrêtera pas là dans l’écriture et ce sera avec plaisir que je lirai son prochain ouvrage.
J'ai beaucoup aimé ce livre suite de La Colline Aux Esclaves . cela etant, il peut etre lu sans avoir lu le precedent. Mais ce serait dommage car les deux livres sont passionnants. très bien documentés sur les horreurs de l'esclavagisme sans etre glauque . Je vous recommande ces deux livres Attention il a été publié sous deux titres '' Fuir la colline aux esclaves '' et "Les larmes de la liberté" C'est le même texte.
J'ai adoré cette suite : on est complètement en empathie avec James, Pan et leurs compagnon d'infortune. J'ai trouvé l'évolution de James très intéressante tout au long du livre.
J'ai aussi aimé la construction, avec différents personnages pour narrateur et différentes époques.
Le premier opus, "La colline aux esclaves" m’avait retourné les tripes, me procurant des émotions en grand.
J’avais un peu peur de ne pas ressentir la même chose dans sa "suite" puisque je ne serais plus en compagnie du personnel de la plantation du capitaine Pyke à Tall Oaks puisque nous allions suivre la destinée de James et celle de Suckey, dont on avait fait connaissance dans le précédent volume.
Niveau émotions, elles furent différentes mais toujours au rendrez-vous car le personnage de James – qui s’est enfui de la plantation et apprend à se débrouiller seul – est émouvant dans le fait qu’il refuse sa condition de Nègre (sorry pour le mot, mais à cette époque de 1830…) puisqu’on lui a toujours dit qu’il appartenait à la classe Blanche.
Son secret, il va falloir le préserver, le protéger, car si les gens qu’il fréquente à Philadelphie apprennent ses origines négroïdes, il peut dire adieu à sa vie sociale, à sa position, à tout.
Bien que nous soyons dans le Nord et que les Noirs soient un peu mieux traité que dans le Sud, ils sont toujours esclaves et exclus de la Société. Nous ne sommes pas dans le monde des Bisounours et même si la liberté a une meilleure saveur dans le Nord que dans le Sud, il s’avère que les Noirs occupent toujours les places les plus basses dans la société.
Une trame prenante, plusieurs récits qui s’entrechoquent, car en plus de découvrir la vie de James, nous aurons celle du jeune Pan, enlevé par des marchands d’esclaves et celle de Suckey, qui n’a rien à envier à ses semblables.
Les conditions de vie déplorables et inhumaines des Noirs en ces temps reculés est bien décrite, et quelques scènes sont assez éprouvantes, comme ces colonnes d’esclaves, enchaînés et tirés par des cavaliers hargneux maniant le fouet en cuir avec violence et plaisir.
Ce roman est différent du premier, mais il m’a permis d’avoir des nouvelles des personnages qui évoluaient dans le premier et ces nouvelles m’ont fait plaisir pour certains et j’ai été peinée pour d’autres.
James est un personnage intéressant, émouvant et qui va évoluer au fil du temps, apprenant à considérer les Noirs comme des êtres vivants, des êtres humains et non comme des animaux. On ne peut pas trop lui en vouloir, on l’a élevé dans cette mentalité et en changer prend du temps.
Il va vivre des aventures stressantes, éprouvantes et devra renaître différemment pour pouvoir avancer sur le chemin de l’acceptation de soi et des autres. L’auteur amorce ces changements de manière subtiles ou brusques, tout dépend du moment et des événements, mais le tout est amené de manière réaliste.
Le récit est, une fois de plus, éprouvant pour l’âme et le cœur, il tord les tripes, donne envie de hurler, d’entrer dans le roman et d’en liquider quelques uns.
Mon cœur s’est serré plusieurs fois, dont une fois de trop car j’aurais aimé une autre destinée pour un personnage, mais il est vrai que nous aurions franchi alors les limites du réalisme pour entrer dans l’ère des Bisounours et que cela aurait enlevé cette part de réalité au récit.
Un roman qui m’a ému, comme son précédent, mais d’une autre manière car l’auteur, tout en restant dans le même sujet qu’est l’esclavage, a su renouveler son récit tout en gardant ce qui avait fait la recette du premier.
Un roman fort, profond, émouvant, dont on ne sort pas vraiment indemne.
J'ai une préférence pour le premier tome. Mais cela n'empêche pas celui-ci d'être excellent. Nous sommes vraiment plongé dans l'époque et dans les affres de l'esclavage.
Beaucoup d'émotion.
Spoiler(cliquez pour révéler)Seul petit regret, ne pas retrouver Lavinia excepté par quelques lettres.
Quand j'ai su qu'il s'agissait en quelque sorte d'une suite de "La colline aux esclaves", j'ai sauté sur le livre.
J'ai moins été conquise par "Fuir la collines aux esclaves". Le roman est certes fort en émotion mais pas autant que "La colline aux esclaves".
La première partie se concentre surtout sur l'ascension sociale de James Pyk et de son histoire d'amour. La deuxième partie quant à elle, nous plonge dans le périple de James pour retrouver Pan et leur fuite. J'ai été beaucoup plus captivée par cette seconde partie qui a été intense et très intéressante même si parfois, j'avais l'impression que l'auteur prenait des raccourcis et qu'il y avait un peu trop de hasard.
Une belle histoire qui nous plonge dans l'Amérique des années 1830 et qui fait suite à "La colline des esclaves". Nous retrouvons James Pyke, le fils de Belle, héroïne du premier roman, devenu adulte. La première partie m'a semblé un peu longue, manquant de rythme, écueil compensé en partie par la suite, où l'intrigue s'étoffe et devient plus palpitante. Quant au personnage principal, James, j'ai beaucoup aimé sa complexité. En effet, au fil des pages, il évolue, nous surprend parfois par ses réactions. Ce que j'ai apprécié par-dessus tout, c'est le fait qu'il ne soit pas manichéen. Il n'a rien du héros parfait, mais il pourrait être n'importe lequel d'entre nous, avec ses forces et des failles. Même si je n'ai pas eu le même coup de cœur que pour le premier roman, j'ai vraiment pris beaucoup de plaisir à lire ce roman.
Encore un très bon roman sur le thème de l'esclavage. Ici l'auteur s'est attardé sur les escaves fuyards et leur périple pour atteindre le nord anti-esclavagiste.
Résumé
Comment aurais-je pu lui reprocher son incapacité d'aimer la partie de moi que je détestais moi-même?»
1824. À la mort de ses parents adoptifs, James s'évertue à cacher une partie de son histoire aux gens qui l'entourent, dont Caroline Chardon de qui il est amoureux. Elle porte d'ailleurs leur enfant, fruit d'un amour interdit. Avant que James ne lui dévoile son terrible secret, il apprend que le fils de son fidèle serviteur, envers qui il a une grande dette morale, a été capturé et vendu comme esclave. James décide alors de partir à la recherche du jeune garçon: le retrouvera-t-il à temps? Réussira-t-il à avouer à sa douce promise ce qui le hante depuis tant d'années?
À travers les vies et les destins de Sukey, de Pan et de Henry, de Robert et de Kitty, découvrez les États-Unis au temps des plantations et de l'esclavagisme. Un véritable hymne à la liberté et à la richesse du cour.