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-je… J’ai besoin d’un peu de distance… c’est tout. De distance physique.

Le cœur de Cornélia s’emballa brusquement.

-Quoi ? s’alarma-t-elle, la panique l’ayant pleinement réveillée. Tu veux rompre ?

-Rompre ? Moi ? Quelle idée ! Non !

-Mais pourquoi veux-tu mettre de la distance ? Je ne comprends pas. Que t’arrive-t-il ?

-Il m’arrive, ma chère que l’alcool a de ben drôles d’effets sur toi, lâcha-t-il sur le ton de la réprimande. Et que tout mort que je suis, je ne suis pas de marbre, sache-le.

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- Et il n'y a plus, maintenant, que toi et moi, ajouta-t-il en s'asseyant à son tour.

Il souleva une mèche des cheveux de sa compagne pour embrasser sa nuque.

Son haleine était si fraîche qu'elle ne put se retenir de frissonner. Mais c'était également tellement grisant...

Elle lui abandonna d'abord son cou, puis, totalement éperdue sous ses caresses, s'étendit à nouveau, l'invitant à reprendre sa place au-dessus d'elle.

- ça ressemble à un rêve, souffla-t-elle, autant troublée par ce décor au réalisme perturbant qu'enivrée par le parfum qui émanait de la peau du vampire tandis qu'elle repoussait sa chemise.

- Alors ce doit être mon rêve, chuchota-t-il à son oreille.

source site "dans notre petite bulle"

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-D'abord il y a eu les lucioles. Elles sont presque toujours là.

-Les lucioles ?

Il lui sourit, l'air autant étonné qu'amusé.

-Oui, enfin je ne sais pas ce que c'est exactement, reprit-elle en rougissant. Ce sont des toutes petites lumières qui volent et s'agitent autour de nous. Elles apparaissent à peu près à chaque fois que tu m'embrasses.

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"Elle amena une main barbouillée devant elle, puis baissa les yeux sur sa chemise de nuit. Elle hoqueta d'horreur devant le nombre de taches grenat qui maculaient le fin tissu blanc. La chemise et le gilet du vampire étaient fichus eux aussi...

- Tout va bien, souffla-t-il, toujours tremblant.

Puis, comme par réflexe, il baissa la tête sur son décolleté pour venir y récolter de sa langue un peu du sang qu'il avait perdu durant l'étreinte.

Elle aurait voulu le repousser, sa rancune était vivace, inchangée, car rien n'était réglé. Mais, après ce qu'elle venait de lui infliger, la moindre des choses était encore de le laisser faire.

Suivant la trace des coulées, il remonta ensuite jusqu'au creux de son épaule, puis le long de son cou, et, enfin vint lécher sa joue et son menton, s'approchant de plus en plus dangereusement de sa bouche.

Elle savait ce qu'il voulait, il le réclamait depuis le début. Mais elle ne l'embrasserait pas.

Non. Elle s'y refusait.

Si elle lui permettait ce baiser, que se passerait-il ensuite ? Ce petit jeu l'avait déjà tellement émoustillée qu'elle ne pourrait plus rien gérer...

- Je te déteste, répéta-t-elle, comme pour se le rappeler. Je ne voulais pas devenir comme ça.

- Non, grommela-t-il sans s'arrêter, la voix étrangement enrouée, hachée par ses coups de langue. Tu ne peux pas. Tu es obligée de m'aimer... tu es ma compagne. Mienne, pour toujours. Et désormais, tu as autant besoin de mon sang que de ma protection. Je ne te laisserai jamais me quitter, tu m'appartiens. A moi, et à moi seul.

Henri se rendait-il compte qu'il citait presque mot pour mot Avoriel et son fameux message, celui qu'il inscrivait régulièrement dans son dos ?"

Extrait Chapitre 25.

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- Deux cent quatre-vingt-deux longue années que je te désire, susurra-t-il le souffle court. C'est un supplice que je ne puis plus longtemps endurer. Mets-y un terme sur-le-champ, je t'en prie. Si tu ne veux pas de moi, dis-le moi maintenant. Mais qu'on en finisse, par pitié.

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- Pourquoi t'opposer à mon envoûtement avec autant de hargne ? interrogea-t-il en essuyant le menton de la jeune fille avec une serviette propre et moelleuse. Le sommeil serait préférable, tu t'en rends bien compte ?

- Tu avais promis de ne plus le faire, balbutia-t-elle d'une voix tout juste audible.

- Et toi, tu avais promis de suivre mes consignes, de ne révéler à personne ton identité, de ne plus te servir de tes pouvoirs, et, surtout, de te tenir tranquille, rappela-t-il froidement, réprimant mal sa rancune. Dis-moi, ma chère, qui de nous deux a rompu le premier ses engagements ?

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Ca n'était pas possible... Elle ne pouvait pas le croire... Pourquoi Oswald lui faisait-il ca ? Ce genre de chose ne pouvait tout de même pas lui arriver ici... Pas à elle... Et pas avec cet homme...

Elle redoubla d'efforts pour se dégager de sous son corps et agita la tête en tous sens pour libérer ses lèvres.

Elle parvint à pousser quelques petits cris, mais le maitre de musique lui assena une gifle si rude qu'elle lui coupa le souffle. Puis il lui plaqua violemment la paume sur la bouche :

-C'est bon maintenant, arrête de faire ta mijaurée ! Tu es la putain d'un vampire, non ? Tu crois que je ne sais pas ce que ca veut dire ? Tu dois être une sacrée trainée pour en combler un de ce gabarit-là ! D'ailleurs, c'est plutôt déplacé de la part d'un fille telle que toi de faire autant de manières, surtout après m'avoir autant allumé. Je te préviens, si tu ne te calmes pas un peu, je dirai à ce cher Henri qu'on couche ensemble depuis des semaines. Vu qu'il a déjà des soupçons, ca ne le surprendra pas plus que ca, j'en suis sur. Tout le monde saura quelle garce est la compagne du prince et je ne donne pas cher de ta peau de petite pleurnicheuse.

Quoi ?!

Elle écarquilla les yeux, stupéfaite d'entendre celui qu'elle avait cru être un ami proférer de si terrifiantes menaces et d'aussi abominables injures.

[...]

Soudain, l'homme qui la malmenait fut projeté dans les airs, défonça de son corps la porte à double battant de la salle de musique, pour atterrir dans le couloir, et terminer sa course par une glissade grotesque sur le carrelage fraichement briqué.

Cornélia ne comprit pas immédiatement ce qui se passait, mais dans un réflexe, elle se redressa précipitamment et chercha une issue par laquelle s'échapper. Elle n'eut que le temps de distinguer une ombre noire, surmontée de deux lueurs d'un rouge flamboyant, se jeter sur Oswald, échoué au sol à quelques mètres de là.

- Misérable vermine ! cracha une voix révulsée, débordant de fureur.

C'était Henri...

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Tu es mon exception (…) ou plutôt mon …obsession. Je doute que tu puisses saisir le sens exact de ces paroles parce qu’il y a encore trop de choses sur mon compte que tu ignores. Mais retiens bien ça, Cornélia, avec toi, je ne peux répondre de rien. J’aime comme je hais, avec excès, démesure, déraison et toute l’inconscience dont je suis capable. Jamais tu ne devrais me céder, parce qu’ensuite tu te verras contrainte de subir ma jalousie démente, ma monstrueuse possessivité et tout ce qui va avec mon atroce caractère. Tu ne pourras plus te défaire de moi et très vite tu me haïras de nouveau. A condition, bien sûr, que ce ne soit pas déjà le cas, après de telles révélations…

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Le brasier n'était pas loin... et il était aussi nocif que délicieux.

Elle le laissa venir, l'emplir tout entière pour la consumer un court moment. Ensuite, quand la souffrance devint plus vive que le plaisir, elle l'envoya vers celle à qui elle accordait la paix.

Un hurlement monstrueux, comme des milliers de cris humains joints en une seule manifestation de souffrance, retentit soudain et résonna dans toute la caverne, entrainant de multiples coulées de poussière s'échappant du plafond rocheux.

L'instant d'après, l'intérieur du cercueil fumait et Cornélia se tenait à quatre pattes, les mains enfouies dans le sable, incapable de tenir debout plus longtemps. Sa bouche était restée grande ouverte. Si bien qu'elle fit le rapprochement et comprit que ce n'était autre que son propre cri qui avait ébranlé les murs de la caverne.

Vidée de ses forces, elle vacilla.

Elle allait s'écrouler, lorsque, dans son champ de vision, irrémédiablement filtré de rouge, apparut Henri.

D'abord ce fut ses chaussures et le bas de son jean maculé de terre qu'elle vit. Puis il s'accroupit devant elle, d'un mouvement aussi prompt que leste, et lui saisit le menton pour lui relever la tête et planter ses prunelles dans les siennes. Il eut un léger mouvement de recul et un soupir d'effroi lui échappa. Puis l'incompréhension, la colère et le dépit vinrent peindre ses traits.

- Non... murmura-t-il comme pour lui-même.

Il tourna la tête pour considérer la salle, le tombeau exhumé, et les deux vampires qui se tenaient statufiés, sidérés par ce à quoi ils venaient d'assister, cloués sur place par la terreur que leur ainé, ainsi que sa compagne, leur inspirait en cet instant.

-Non, répéta-t-il d'une voix brisée, laissant sa main s'attarder sur le visage de la jeune fille.

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- Je veux faire une partie de billard avec mes amis, exigea-t-elle en désignant les trois musiciens.

- Oh oui, s'exclama l'un d'eux. Lise est excessivement douée à ce jeu ! Il se pourrait même qu'elle soit capable de vous battre, monsieur le prince.

- Je ne m'adonne pas à ce genre de passe-temps futile, rembarra ce dernier, comme par automatisme.

- Joue avec moi, continua Cornélia, bien décidée à tester jusqu'au bout la patience de son compagnon.Toi contre moi. Et interdiction de faire usage de tes pouvoirs.

Il l'étudia quelques secondes, puis à contrecœur, céda :

- A ta guise.

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