Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 654
Membres
1 013 292

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

— Je ne pense qu’à toi tout le temps, ajouta-t-il. Et je ne pense pas pouvoir être capable de t’oublier, quoi que je fasse, malgré toutes tes conneries. (Il passa une main dans ses cheveux, puis haussa les épaules.) Je t’aime. Je crois que je suis tombé amoureux de toi le jour où je t’ai vue t’entraîner avec Tom, sur cette plage de Cornouailles. Il n’y a rien que je désire plus que de passer ma vie avec toi. Parce que je t’aime telle que tu es, Mack. Il n’y a pas d’autre raison. (Une expression étrange naquit sur ses traits.) Il faut que tu le saches. 

Je pouvais sentir mon cœur battre la chamade ; je dus serrer les poings pour empêcher mes doigts de trembler.

— Je t’aime aussi, répondis-je simplement. 

Afficher en entier

Corrigan fit un pas vers moi, furieux. Je l’imitai, avant de me souvenir que j’avais du mal à rester debout à ce moment, et mes genoux se dérobèrent sous mon poids. Les trois hommes bondirent vers moi, mais Corrigan fut le premier à m’attraper. 

Afficher en entier

Ses yeux se posèrent sur mon visage, et il m’observa attentivement.

— Alors, qu’est-ce qui s’est passé ? ajouta-t-il. C’était un de mes hommes ?

— Quoi ? demandai-je sans comprendre.

— Ton visage. Tu as un bleu qui en couvre la moitié et on dirait que tu ne vois que d’un œil. Qu’est-ce qui s’est passé ?

— Rien.

— Mackenzie…

— Je me suis pris une porte.

Un muscle tressaillit sur la mâchoire de Corrigan. Sa voix se fit basse et menaçante.

— Sérieusement, qu’est-ce qui s’est passé ?

— Je viens de te le dire, répliquai-je, exaspérée. Je me suis pris une porte.

Il se pencha vers moi jusqu’à ce que je sente son haleine chaude sur ma joue. Ma poitrine se serra.

— Qui est la menteuse, maintenant ? murmura-t-il. 

Afficher en entier

– Si on n’avait pas été là, il y aurait eu encore plus de morts, dis-je.

C’était insensible de dire ça, mais c’était aussi la vérité. Un muscle sur la mâchoire de Corrigan se mit à tressaillir.

– Si tu n’étais pas suicidaire, il y aurait eu plus de morts, dit-il en se tournant vers moi et en me fixant d’un regard vert flamboyant. Tu n’as vraiment aucun instinct de survie ou quoi ?

Je le dévisageai.

– Tu viens juste de dire qu’il y aurait eu plus de morts si je n’avais pas fait ce que j’ai fait. Est-ce qu’il y avait un autre choix ?

Corrigan gronda, et de la fourrure noire apparut par endroits sur sa peau.

– Tu ne peux pas mourir.

– Je suis navrée, mon Seigneur, mais les Draco Wyr ne sont pas immortels, répondis-je en essayant de garder un ton léger.

Afficher en entier

Tu as un caractère de merde, c'est vrai, mais c'est normal. Tu es une femme.

Afficher en entier

Je rêve, ou quelqu'un t'a remplacé par Mack version 2.0 ?

Afficher en entier

“You were saying?” I asked, once we’d vaguely righted ourselves. “When you were a vampire…?”

“He’s a vampire?” Katya squeaked.

“Used to be. He’s not anymore,” I reassured her.

“You got something against vampires?” he demanded.

“Aubrey…”

“At least I’m not so short that the only ride I’d be allowed on at Disneyland is the merry-go-round!”

“Have you even been to Disneyland?”

“They do night shows and I like Minnie Mouse. What of it?” he asked, petulantly.

Afficher en entier

“So let me get this straight,” said Alex slowly, “you have a secret hidden twin. You were abandoned as a child and you don’t know who your father is. You’re trying to manage a high-powered job in the middle of the worst recession the country has seen for decades. There’s a super-villain with murderous tendencies and shadowy motives after you and many others. And you’re in love with someone who hates you.”

“Pretty much,” I said sadly.

“Well, you know what this means,” he said, in a particularly sombre tone.

“What?”

“We need to get working on a theme tune right away. Because if this isn’t a soap opera, darling, then I don’t know what is.”

Afficher en entier

Alex held something out in his palm.

“What’s that?” I kept my voice low and quiet, unsure whether there was anyone around who might hear us.

“Breath mint.” When I narrowed my eyes at him, he grinned slightly. “I was in Russia with you, remember ?

Afficher en entier

You’re correct that the English language is a curious thing. Why would your parents call you Mackintosh ?

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode