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- Tu es complètement défoncé, ou quoi ? Pourquoi tu ne portes pas de chemise ?

- Je dors tout nu, a-t-il répondu en ajoutant du lait et du sucre à mon café. Je m'habille progressivement, au fur et à mesure que la journée passe. Tu aurais du venir il y a une heure !

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-Tu me trouve aimable, Cole ?

-Comme dans "douce et aimable "?

-Comme dans "apte a etre aimée".

-Possible sauf que tu ne laisse personne tenter le coup.

J'ai fermée les yeux et avalé ma salive.

Malgré mes paupières sérrées, une larme brulante à coulé de mon œil gauche. J'étais furieuse quelle m'ait échappé.[...] la seconde suivante ses lèvres touchais les miennes

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SAM

Je ne sais depuis combien de temps j'étais là quand j'entendis la porte de la salle de bain s'ouvrir, puis se refermer. [...]

J'étais curieusement embarrassé de la savoir [Grace] dans la pièce tandis que je me tenais sous le jet d'eau chaude. Une douche prise en sa présence me semblait plus intime que le sexe, et, même dissimulé par le rideau, je me sentais mille fois plus nu qu'au lit. [...]

Le visage de Grace surgit à l'extrémité du rideau de douche. Elle me regardait en souriant. Je poussai un glapissement. Elle se pencha juste assez pour atteindre le robinet et le fermer.

- Je crains fort, dit-elle en écartant d'un geste le rideau et en me tendant ma serviette, que ce soit le genre de choses auxquelles tu seras exposé pendant ta vieillesse.

Je me tenais là, tout dégoulinant et me sentant parfaitement ridicule, face à Grace qui me souriait d'un air de défi. Pris au piège. Dédaignant la serviette, je saisis son menton entre mes doigts humides et l'embrassai. De l'eau coula de mes cheveux sur mes joues et nos lèvres. J'étais en train de tremper sa chemise, ce qui ne semblait pas la préoccuper. L'idée d'une existence peuplée d'incidents similaires m'apparaissait plutôt séduisante.

- J'espère que c'est une promesse! répliquai-je galamment.

Elle entra en chaussettes dans la douche et m'enlaça.

- Une certitude.

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Et je dois avouer que, même pour un cynique, cette danse des loups qui bondissaient, sautaient les us par-dessus les autres et se glissaient les uns sous les autres, était un spectacle inoubliable ; et Grace et Sam en formaient un autre.

Je pouvais, bien sûr, envoyer des images à Sam, mais il peinait visiblement à me comprendre. Grace et Sam, en revanche, apparaissaient en accord parfait - Sam tournait imperceptiblement la tête, et Grace ralentissait aussitôt pour presser un loup attardé à humer une odeur intrigante ; Grace captait un de mes messages, le transmettait à Sam d'un signal de la queue, et tous deux changeait soudain de direction, comme je l'avais indiqué, sans jamais cesser, tout en courant et malgré l'urgence de la situation, de s'effleurer, se frôler et se bousculer légèrement. Je retrouvais dans ces deux loups la connivence de leur couple humain.

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Puis j'ai entendu Cole cesser de respirer; la seconde suivante, ses lèvres frolaient ma bouche.

Ce n'était pas un de ces baisers affamés et éperdus de désir que j'avais déja échangés avec lui, et cela n'avait rien à voir avec tout ce que j'avais vécu jusqu'alors. Celui-ci courait sur mes lèvres comme des dogts légers et délicats, avec une douceur de réminiscence. Ma bouche s'est entrouverte, figée, et tout est devenu incroyablement calme. La main de Cole est venue se poser sur mon cou, et son pouce préssé dans la peau prés de ma machoire ne disait pas : j'en veux plus! mais : je veux ça!

Dans le silence parfait; je crois qu'aucun de nous ne respirait.

Cole s'est redressé, lentement, et j'ai ouvert les yeux. Il avait ce masque inexpressif qu'il affichait quand quelque chose lui importait.

- Voilà comment je ferais, si je t'aimais! m'a-t-il déclaré.

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Il a glissé ses mains jusqu'à mes hanches, froissant le tissu, effaçant mes doutes, et ses doigts tendus de désir et la chaleur de ses paumes à travers l'étoffe m'on tordu les entrailles. Je me sentais tellement à cran que ça faisait mal, un petit gémissement m'a échappé.

- Je peux arreter, si tu ne te sens pas prete.

-Non, n'arrete pas!

Nous étion agenouillés sur le lit, et il me caraissait sans relache avec une délicatesse infinie, comme jamais encore, comme s'il redécouvrait la forme perdue de mon corp. Il a éfleuré mes omoplates à travers le tissu, puis mes épaules, et ses doigts ont couru jusqu'a ma poitrine.

J'ai fermé les yeux.

p 300

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cole m a embrassée.J'aurai du lui dire d arrêter, de rester sans bouger mais je n ai pas pu .Recroquevillée contre le mur je lui laissai me donner un de ses baiser dont on ne se remet pas vite.Si on avait pris tout les nôtres , sur une lame de microscope , je sais se qu on aurais trouvé:

dans le 1er, meme un expert n aurait rien vu, dans le suivant serait apparue l amorse de quelque chose-une chose assez mineure et plutot fragile - qui se serait developpée peu a peu jusqu a celui ci, detectable meme par un oeil de novice. celui ci suggerer que nous ne serions jamais guéris l un de l autre, [...]

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-Bon . Alors nous voilà!

-Me voilà.

Cole est sorti de la cuisine derrière moi, et Koeing a froncé légèrement les sourcils. Cole lui a adressé un sourire mordant et plein d'assurance, et j'ai vu à son visage le policier le reconnaitre peu a peu.

-Mais bien sur. Y a-t-il d'autre personnes disparues qui vivent sous votre toit? Elvis ? Jimmy Hoffra ? Amélia Earhart peut ètre?

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Cole :

La vie, c'était un gâteau qui avait l'air bon dans la vitrine de la pâtisserie, mais qui se transformait en sciure et en sel quand je mordais dedans.

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"- Je ne veux pas recommencer, Grace. Ca ne me suffit plus de t’observer de loin, des bois, pas maintenant que je vis avec toi – pour de bon. Je ne peux plus me contenter de te regarder. Je préfère courir le risque, quel qu’il soit, même celui de…

- Mourir.

- Oui, même mourir – plutôt que voir de loin tout ça disparaître. Je ne peux pas m’y résoudre, Grace. Je veux tenter le coup.

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