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Paris 1889. Tous les regards sont tournés vers la Ville lumière où va se tenir l'Exposition Universelle. Caché parmi les merveilles technologiques et les créations artistiques exposées se trouve un objet d'une puissance inimaginable qui pourrait changer le cours de l'Histoire.
Contraint de récupérer l'artefact par le mystérieux Ordre de Babel, le chasseur de trésor Séverin Montagnet-Alarie se voit promettre une récompense qu'il n'aurait jamais imaginée : récupérer son héritage. Pour réussir son coup, il va s'entourer d'un groupe atypique : un historien, une brillante ingénieure, un rival aristocrate, un faussaire de génie et une danseuse-espionne.
Ensemble, ils vont explorer le cœur sombre et scintillant de Paris où le danger les attend. Séverin va se retrouver tiraillé entre son désir de vengeance contre ceux qui lui ont fait du tort et la peur de perdre ses proches - dont la femme qu'il aime - alors qu'il les entraîne dans une quête extrêmement périlleuse.
Ce livre faisait partie de mes sorties les plus attendues de l’année ; il s’avère toutefois que c’est l’une de mes plus grosses déceptions jusque là.
Le seul point que j’ai apprécié dans The Gilded Wolves est l’atmosphère sombre de l’histoire. Elle semble magique et mystérieuse - le monde paraît cependant trop mystérieux.
Les explications sur le système de magie et les Maisons sont trop vagues et superficielles, et, à l’exception de certains noms de lieu de Paris, on ne sait pas grand-chose de la capitale ou de la situation actuelle du pays, que Roshani Chokshi attendait de ses lecteurs de connaître ; je ne pense pas que ce soit sage de sa part étant donné que le contexte politique français de la fin du dix-neuvième siècle n'est pas connu de tous. Mais qu’importe. En fait, je pense que le mot « vague » est le meilleur pour décrire ce roman. Les références historiques sont juste jetées dans l’histoire, les lieux, bien qu’étant décrits avec détails, restent obscur au lecteur, l’intrigue semble complexe mais brouillonne… Pendant toute ma lecture, j’avais l’impression de regarder une photo dont seul le tout premier plan est net, et le reste, bien qu’existant, est trouble.
Bien que les personnages semblent être une partie importante de cette histoire, ils sont vraiment plats.
Dans le manga Fullmetal Alchemist, les alchimistes sont des scientifiques qui peuvent manipuler les éléments chimiques: après les avoir disloqués, ils les rassemblent pour créer de nouveaux objets. Néanmoins, il y a une chose qu’ils ne peuvent façonner: l’être humain. Même si les alchimistes réunissent toutes les composantes du corps humain (le carbone, le fer, etc.) il y a toujours un ingrédient qui manque: la Vie, car ils ne créent qu’une coquille vide.
Il m’a semblé que la règle d’or des alchimistes avait été enfreinte par l’auteur de ce livre: elle utilise de nombreuses caractéristiques pour ses personnages (une passion pour les araignées, des talents culinaires, des yeux gris, un passé tragique,…) et pourtant, ils ne paraissent pas vivants du tout. En outre, cette impression de vague est toujours présente: quelle est leur histoire ? Que veulent-ils ? Qui sont-ils ?
A cause de cela, je n’ai pu m’attacher à aucun personnage - en fait, je n’ai même pas pu m’intéresser à eux. J’étais vaguement attirée par Tristan, au début, car il me rappelait mon cher Neville Londubat, mais son intrigue de demoiselle en détresse m’a ennuyée. J’ai même fini par ne pas réagir à tout ce qu’il subit.
J’ai déjà expliqué que l’intrigue était confuse, mais elle l’était vraiment. Je ne pouvais jamais me souvenir de ce qui s’était passé ou même comprendre ce qui était en train de se passer. J’ai finalement juste lu sans chercher à suivre les évènements. Les Maisons ? Le fragment de Babel ? Les Anneaux ? L’Ordre ? Les combats ? Je ne pense pas avoir saisi tout ça.
Je regrette de ne pas avoir aimé ce livre autant que je le voulais (ou même tout court). Je sais à présent que je ne lirai pas la suite.
J’ai beaucoup aimé me plonger dans le Paris de l’exposition universelle de 1889 et découvrir les aventures de ces jeunes protagonistes. Chaque personnage a son histoire et sa personnalité et ils sont tous attachants (même si j’ai une petite préférence pour Zofia). Ce n’est pas seulement une chasse au trésor, c’est également une très belle histoire d’amitié.
Le livre a pour moi très bien commencé. On est plonge dans le monde de l'ordre, de l'éden et les aventures de Séverin et ses complices. L'organisation du livre avec des parties et des extraits et des archives est très intéressante et ajoute à son originalité. Cependant, j'ai trouvé que l'histoire devenait un peu décousue au fil de ma lecture et qu'elle s'essouflait sur la fin. J'ai eu du mal à le finir si bien que ça m'a sortie de l'histoire au 2/3 du livre. Une bonne lecture mais sans plus.
On est plongé dans le Paris du dix-neuvième, avec ses couleurs et son ambiance, mélanger à une nouvelle forme de magie, le forgeage. J'aime beaucoup l'idée de cette alchimie. À la fois limité et infini avec des règles qui mélangent habilement science et magie (ça rappelle un peut l'alchimie).
L'univers est un mélange entre notre monde (avec de vrais évènements historiques) et une réécriture fantastique. Ce qui permet un regard critique sur les travers d'une société aux parts le biais de protagoniste en marge de cette société.
Toute l'intrigue autour des maisons et l'ordre de Babel est plutôt bien menés et donne vraiment envie d'en savoir plus. Surtout avec ce qu'on apprend à la fin !
Les personnages sont riches et variés, aussi bien moralement que culturellement. On suit le point de vue de quatre d'entre eux et c'est intéressant d'avoir leur différente vision du monde sur de même événements. Ils sont tous uniques et réfléchissents ce qui les rends autant plus vivants et attachants.
La plume est agréable et nous plonge dans ce monde onirique.
Aventure (certains passages ont un côté Indiana Jones), enquête (avec des énigmes plutôt recherchées) et acquisition (On suit une bande de voleurs après tout) un mélange vraiment prenant qui fait qu'on ne s'ennuie jamais !
Pour ce premier tome on a deux flirts mit en avant, un entre-deux personnages qui se cherche sans vraiment savoir où ils veulent aller et une sorte de triangle amoureux plutôt bien mené, car les deux partis ont une raison de plaire et on comprend l'hésitation du personnage (au pire il ne choisit pas et on a un trouble, moi je vote pour !)
En bref ! Une bonne découverte, j'ai passé un bon moment à lire ce roman et j'ai hâte de pouvoir lire la suite.
Je m'attendais à beaucoup plus aimer ce roman, le début commençait si bien : l'univers était riche, intéressant, original et en plus l'action se passait à Paris pendant l'exposition universelle, avec des énigmes à résoudre (ce qui m'a fait fortement penser à DaVinci Code)! J'adore la fantasy historique, donc que demander de plus ?
Sur le papier, il avait tout pour me plaire mais malheureusement ça ne l'a pas trop fait...
J'ai trouvé les personnages tous lisses, sans profondeur... Séverin était fade (évidemment en voyant bon nombre de commentaires comparer ce livre à Six of Crows, j'ai comparé Séverin à Kaz Brekker... Sauf que Kaz ne souffre pas la comparaison 😅). Leila ne servait pas à grand chose (j'ai trouvé que son don était mal exploité), Enrique était le personnage le mieux construit avec Zofia je trouve (j'aimerais beaucoup qu'ils finissent ensemble d'ailleurs !), Hypnos était là pour faire des blagues dans les situations désespérées (non vraiment j'ai trouvé qu'il ne servait à rien d'autre) et Tristan... Ahlala Tristan ! Qu'est-ce qu'il m'a agacée à tout le temps répéter « Goliath par-ci, Goliath par-là ». Pour le coup il ne servait vraiment à rien 😅 Spoiler(cliquez pour révéler)je dois avouer que je n'ai rien ressenti quand il est mort... 😅 . J'ai vu aussi beaucoup d'avis disant que les explications sur l'univers et le forgeage étaient assez nébuleuses. Je n'ai pas ressenti de difficultés à comprendre l'univers et ses codes. L'action commence immédiatement. Cependant, ce que je reprocherais ne sont pas les explications mais la plume de l'autrice que j'ai trouvé très distante. Je n'avais pas l'impression de ressentir quoique ce soit, mais d'être toujours un peu en retrait (pas trop pendant les 150 premières pages qui sont excellentes mais surtout à partir du milieu et ce jusqu'à la fin du tome).
Je dois malgré tout reconnaître la qualité du travail de l'autrice : on sent bien qu'elle est ferue d'histoire. J'ai apprécié les énigmes, sa façon de rattacher des événements historiques à ses explications, toutes les petites anecdotes qu'elle a pu glisser. Et c'est d'ailleurs tellement dommage ! J'aurais vraiment voulu aimer ce livre, j'avais tellement d'attentes, il y avait moyen de faire quelque chose d'exceptionnel !
Et au final ça n'a été qu'une lecture assez mitigée...
Je lirai malgré tout la suite, en espérant que les personnages soient plus approfondis.
Musiques 🎶 :
- Enemies to Lovers de Joshua Kyan Aalampour
- Winning move de Joshua Kyan Aalampou
- The Parisian Masquerade de Joshua Kyan Aalampour
Je sais que la trilogie Les loups dorés est souvent comparée à Six of crows (une de mes sagas préférées de tous les temps !) et je comprends l’idée, car on a pas mal d’éléments similaires : des jeunes qui s’allient pour monter un plan de dingue à la commande d’une instance supérieure, une bonne dose de magie et d’action…
J’ai beaucoup aimé cette lecture, même si je l’ai trouvé un cran en dessous de Six of crows notamment sur le travail des personnages. Les loups dorés reste néanmoins un coup de cœur et un très bon début pour une trilogie de fantasy que je continuerai sans nul doute ! Un joli mélange de fantasy et de fiction historique qui pourra plaire à de nombreux.ses lecteur.ices !
Une lecture plutôt sympa, à partir du moment où j'ai arrêté de la comparer à Six of Crows... au début, c'est un peu dur, car il y a plusieurs détails qui sautent aux yeux...
Le début ne m'a pas vraiment plu, on sent que l'univers a ses particularités et qu'elles ne sont pas forcément bien expliquées... mais une fois lancé dans l'intrigue, ça va mieux, et l'histoire devient facilement addictive. Je lirais la suite.
Je ne suis pas passé loin du coup de cœur avec ce premier tome ! Oui, il y a quelques similitudes avec SOC mais je suis vite passé outre. Le worldbuilding est vraiment génial, j'ai adoré tout les rebondissements et ce puzzle géant mis en place tout de long. Mais le meilleures dans ce roman reste les personnages qui portent vraiment tout le récit !
Bien que la description du Paris de la fin du XIXème siècle soit très riche, ce roman reste très confus dans la mise en place de ses éléments : la "magie", l'Ordre et sa place dans la société... J'ai été un peu perdue.
Le problème est que la confusion se poursuit parfois dans l'action. On se demande comment les personnages aboutissent d'une action à une autre. C'est assez dommage car l'intrigue est prometteuse et les personnages intrigants. Leurs relations parfois un peu naïves sont quand même bien écrites. Je pense que je lirai la suite en espérant que tout ça se clarifie un peu.
Un premier tome mitigée. Une romance très voyant entre deux personnage et qui est très difficile à voir car un moment ils se tournent entre eux et ils y se chamaillent après. Ce livre m'a intriquée et je m'attendait a mieux. Personnage sympa et intriquant. A voir si je lis le prochain tome.
Je ne peux dénier que l'autrice ne manque pas de bonnes idées, seulement, elles ne sont pas bien introduites, maîtrisées. Cela rend les scènes d'action confuses. On nous en dit trop et pas assez à la fois. On s'attarde sur des détails mathématiques incompréhensibles et on en oublie de nous expliquer correctement le système de magie. Je n'ai pas vraiment compris les histoires autour des fragments de Babel, de l'oeil d'Horus, car ils étaient noyés dans les détails parasites.
Concernant les personnages, je ronge mon frein. Tristan est pathétique. Enrique est énervant - il faut vraiment arrêter de mettre des personnages dont le seul rôle et de faire des blagounettes qui coupent les situations de tension (on dirait les films Marvel). Séverin manque de crédibilité à mon goût - môssieur le directeur d'hôtel qui a réussi on ne sait comment. J'ai seulement apprécié Zofia, même si je trouve que l'autrice en faisait peut-être un peu trop, au point de verser dans le cliché.
Pour finir, j'ai une question : Pourquoi Hypnos n'utilise-t-il pas son don d'illusionniste ??? Sérieusement, on aurait pu couper l'intrigue de moitié s'il avait utilisé ses pouvoirs.
Bref. Il existe de bien meilleurs livres en librairie. Ça m'apprendra à sauter sur tout ce que publie De Saxus comme si le texte allait forcément égaler la beauté de la couverture !
Résumé
Paris 1889. Tous les regards sont tournés vers la Ville lumière où va se tenir l'Exposition Universelle. Caché parmi les merveilles technologiques et les créations artistiques exposées se trouve un objet d'une puissance inimaginable qui pourrait changer le cours de l'Histoire.
Contraint de récupérer l'artefact par le mystérieux Ordre de Babel, le chasseur de trésor Séverin Montagnet-Alarie se voit promettre une récompense qu'il n'aurait jamais imaginée : récupérer son héritage. Pour réussir son coup, il va s'entourer d'un groupe atypique : un historien, une brillante ingénieure, un rival aristocrate, un faussaire de génie et une danseuse-espionne.
Ensemble, ils vont explorer le cœur sombre et scintillant de Paris où le danger les attend. Séverin va se retrouver tiraillé entre son désir de vengeance contre ceux qui lui ont fait du tort et la peur de perdre ses proches - dont la femme qu'il aime - alors qu'il les entraîne dans une quête extrêmement périlleuse.
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