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Il faut de la maturité pour être capable de repérer l'immaturité chez les autres.

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J'étais si obnubilé par l'idée d'assurer notre sécurité que j'en avais oublié la première règle de toute armée. Ne jamais abandonner un soldat en danger, quels que soient les risques encourus pour le secourir.

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Ils étaient morts, tous, enveloppés dans les corps dérobés d'hommes et de femmes qui avaient autrefois été de vrais gens, menant de véritables vies.

Les Macchabs étaient bel et bien des envahisseurs. Des assassins, aussi. Mais surtout des voleurs, des voleurs de dignité.

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- (…) À présent, petite leçon : quand tu te bats, le moindre mouvement de ton adversaire est prévisible si tu sais être attentif aux détails. Le combat à mains nues, c'est avant tout être capable de lire dans son ennemi, de déduire quel sera son prochain mouvement, et d'agir en conséquence. Tu saisis ?

- Je saisis, confirmai-je, quelque peu sceptique.

Elle sourit de nouveau :

- Bien, mais entre savoir et faire, il y a de la marge !

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– Réponds-lui de ma part qu’il y a beaucoup d’enfants chez les Fossoyeurs, mais pas beaucoup d’enfance.

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- Je veux les tuer. Jusqu'au dernier.

Un silence de plomb s'abattit sur l'assemblée.

- On veut tous ça, murmura Sharyn.

- Vraiment ? Je n'en ai pas encore vu la preuve.

- Will ..., commença Tom.

(...)

- Non ! (...) Vous agissez comme ça depuis des années et ce matin deux Fossoyeurs et une fille innocentes sont morts. Vous savez pourquoi ça s'est produit ? Parce que les Macchabs sont en guerre. Elle est déjà déclarée. Ça ne leur pose aucun problème, à eux, de passer à l'attaque. Après tout, que risque-t-il ? S'il tuent quelques Fossoyeurs, notre seule réaction consistera à trouver ça bien triste et à chercher une nouvelle base. Eh bien, moi, ça ne me convient pas ! Ecoutez, je suis nouveau parmi vous et je suis jeune. Vous pensez sans doute que je ne sais pas de quoi je parle. Mais j'en ai assez de me cacher ! Je veux faire payer ces sacs à vers ! Et si vous ne me le permetttez pas en tant que Fossoyeurs, alors je le ferais seul !

(...)

Finalement, d'un geste las, Tom se leva. Tout le monde le regardait ; personne ne parlait. Le chef des Fossoyeurs se tourna vers moi et, en dépit de ma colère indignée et de ma fanfaronnade, je détournais les yeux.

- Will, dit-il d'une voix posée, je veux que tu quittes cette réunion. Tout de suite.

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Ma vie bascula du tout au tout un mercredi matin ensoleillé du mois d'octobre quand je découvris que mon voisin était un mort vivant.

La journée avait pourtant débuté on ne peut plus normalement; ma mère me harcelait pour que j'enfile mes vêtements, et ma soeur Emily, 5 ans, pleurait parce que le câble était en panne et qu'elle ne pouvait donc pas regarder Dora l'exploratrice. Moi, j'était dans la salle de bain, à essayer de plaquer contre mon crâne cette mèche rebelle qui s'obstinait à s'y dresser.

Mon nom complet est William Karl Ritter mais tout le monde m'appelle Will. J'ai douze ans et il serais difficile d'être plus "dans la moyenne"; Je ne suis ni maigre ni gros, je ne suis pas particulièrement grand mais pas petit non plus. Et si je ne suis pas moche comme un pou, on ne peut pas dire que je sois très beau. Ce qui me singularise, en fait, c'est que je suis roux. Le teint pâle et les yeux verts de ma mère, et les tâches de rousseur et les cheveux poils-de-carottes de mon père qui qualifiait toujours cette tignasse d'héritage familial. Il prétendait en effet que le premier Ritter à avoir mis le pied sur le sol Américain avait déjà les cheveux roux, caractéristique qui s'était ensuite transmise de génération en génération. Si cette histoire est avérée, c'est quand même un étrange héritage! Qui à déjà entendu parler d'un Allemand aux cheveux roux, hein? J'ai toujours détesté être roux et c'est toujours le cas aujourd'hui. Enfin, plus ou moins...

Il y avait beaucoup de choses que je ne supportait pas à cette époque. Le collège par exemple. Je m'ennuyait en cours. Et je détestait qu'on m'appelle le "Rouquin". Le pire, c'était quand les durs du bahut s'amusaient à me plaquer au sol et à jouer à "relie les points" avec un stylo. Les points en question étaient mes tâches de rousseurs... Mais ce qui me faisait le plus souffrir, c'était que mon père n'était pas là pour intervenir et régler les problèmes.

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Sharyn réapparut quelques secondes plus tard, entraînant dans son sillage un gars d'environ seize ans, grand et maigre.

- Je vous présente Nick Rooney, le chef des Mères.

Harleen et Maria gloussèrent tandis que Dave me chuchotait à l'oreille :

- Il ressemble à aucune mère de ma connaissance.

Il remarqua alors que le garçon tenait une tarte aux pommes fumante dans sa main droite encore recouverte d'un gant de cuisine.

- Hé, mec ! s'exclama-t-il soudain. Si tu me donnais un peu de ça ?

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Il était tard, Emily devait être couchée, maman en train de regarder la télévision. Demain, toutes deux iraient à l'église.

La vie. Ma vie normale.

-Ta mère te manque ? demanda Tom, comme s'il lisait dans mes pensées.

J'acquiesçai.

-Ta sœur aussi ?

-Oui.

-Tu veux toujours rentrer chez toi ?

-Plus que jamais, répondis-je avec mélancolie.

-Parfait : ça te donne une bonne raison de te battre.

-Je sais.

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- Mais alors, pourquoi les zombies...

- Ne les appelle pas "zombies", martela-t-elle.

- Pourquoi ça ?

- Parce que les zombies sont lents et stupides. Pas les Macchabs - ou Macchabées, ou Cadavres, comme tu veux. Conseil d'amie : ne l'oublie jamais.

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