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« Avec Les Maîtres enlumineurs, Robert Jackson Bennett débute une nouvelle trilogie de fantasy épique passionnante, qui promet énormément pour la suite. Préparez-vous à d’anciens mystères, à une magie comme vous n’en avez jamais lu et à quelques coups de théâtre. » Brandon Sanderson
Toute l’économie de l’opulente cité de Tevanne repose sur une puissante magie : l’enluminure. À l’aide de sceaux complexes, les maîtres enlumineurs donnent aux objets des pouvoirs insoupçonnés et contournent les lois de la physique. Sancia Grado est une jeune voleuse qui a le don de revivre le passé des objets et d’écouter chuchoter leurs enluminures. Engagée par une des grandes familles de la cité pour dérober une étrange clé dans un entrepôt sous très haute surveillance, elle ignore que cet artefact a le pouvoir de changer l’enluminure à jamais : quiconque entrera en sa possession pourra mettre Tevanne à genoux. Poursuivie par un adversaire implacable, Sancia n’aura d’autre choix que de se trouver des alliés.
"Si c'est pour le bien de Tevane, j'utiliserais tous les moyens nécessaires.
- Oui, oui. Gregor Dandolo, l'ami de petites gens." Elle soupira. "Je trouve étrange que ton premier effort soit d'envoyer tant de ces petites gens en prison."
Instinctivement, il aurait répondu : Ce ne sont pas seulement les petites gens que j'aimerais envoyer en prison. Mais il n'était pas stupide au point de le faire.
L'intrigue est bonne, le système de magie bien décrit - quoique pas si original que ce que l'on m'avait vendu.
Par contre, la réactivité de Sancia aux différents objets est assez mal traitée - pourquoi ses gants ne lui posent pas de problème ? Elle vole dans tous les sens mais elle ne touche jamais rien par inadvertance ?
J'ai eu un peu de mal à entrer dans l'histoire, une question me trottant sans arrêt dans la tête : comment une clef peut-elle "voir" ?? Après un petit travail de lâcher prise sur ce type de questions, j'ai été happée par l'histoire en plongeant dans l'action avec Sancia. Malheureusement, au fil des pages, j'ai trouvé que cela devenait lent, avec beaucoup de descriptions et j'ai commencé à passer 1 page, 2 pages, etc... Je n'ai pas été suffisamment conquise par ce tome 1 et j'en resterai là.
Mesdames, messieurs, très chers lecteurs, installez vous dans ma carriole, je vous invite à venir visiter Tevanne.
Comment Monsieur ? La carriole n'a pas de moteur, ne fait pas de bruit et n'a pas d'attelage !? C'est une première fois par chez nous à ce que je vois. Prenez place, je vais vous expliquer le prodige qui nous permet de nous mouvoir.
Voyez-vous, ce véhicule, dans lequel nous arpentons les rues de Tevanne, est mû par la force des “Siggilums” appelé également “Sceau” mais ce que la majorité des habitants ici appelle des Enluminures. Il s'agit de petites inscriptions au reflet argenté qui confère à l'objet sur lequel il est écrit des propriétés nouvelles. Prenez par exemple cette carriole dans laquelle nous sommes, sur ses roues lui ont été indiqué comme une force de poussée, ce qui lui permet de penser qu'elle est tiré vers l'avant et de ce fait avance ; génial non ?
Oh ! L'emploi des enluminures est multiple, vous n'avez pas idée de ce qui peut-être accomplie avec.
Mais je ne vais pas vous assommer de nomenclature, à la fin de notre bref parcours, je vous laisserais à la taverna, entre les mains de maître Robert Jackson Bennet, qui vous contera l'histoire de Tevanne.
Sachez tout d'abord que Tevanne est constitué à 80 % de maisons marchande aux nombres de 4 et les 20% restants sont appelés les communes, si vous voulez mon avis, un endroit peu ragoûtant. Les maisons marchandes vivent dans la prospérité, tandis que les communes sont un peu en reste de la société, ceux qui n'ont pas trouvé leur place dans les maisons marchandes végètent dans ces bas-fonds et n'ont que peu d'avenir, ces endroits sont peu surs, dangereux et puant.
Les maisons marchandes se développent en commerçant les objets qu'elles enluminent, chacune à des spécialités si je puis dire. Une certaine course à l'ingéniosité et à la nouveauté anime une concurrence qui pousse chaque Hypathus de chaque maison à se surpasser. Les Hypathus sont en quelque sorte les maîtres à penser de l'enluminure certains diront des génies ; je ne pousserais pas si loin que ça.
Approchez-vous, que je ne parle pas trop fort. Mais sachez qu'avant que les maîtres enlumineurs ne produisent actuellement ce qui agrément nos vies, il existait, selon les légendes, des géants ! On les appelait les Occidentaux, vous devinerez pourquoi hein. Ces Occidentaux avaient poussé l'art de l'enluminure à des niveaux ahurissants. Mais à vouloir plus, il paraît qu'ils se sont détruits eux-mêmes. Ah ! Les légendes, comment savoir si tout cela est vrai ?
Ah, nous arrivons, voici notre conteur Monsieur Bennet, il va vous raconter l'histoire de Sancia, régalez-vous.
Je suis toujours emprunté pour parler de fantasy, toujours peur de spoiler, mais sachez que j'ai réellement apprécié cette lecture.
Le système de magie, que les plus grossiers appeleront des runes, est tout à fait sympa et novateur. Ces enluminures, comme vous expliquait votre chauffeur, modifient en quelques sortes la nature des objets, comme par exemple, persuader du bois qu'il est aussi fort et imputrescible que la pierre. Au début, on ne saisit pas la portée des enluminures, mais plus le roman avance, plus on se rend compte que les possibilités sont quasi-infini. le pire, c'est que l'auteur prend la peine de vous expliquer le fonctionnement des modifications apportés, comme pour vous ôter du doute que “c'est magique et c'est comme ça, je l'ai décidé”. Certains diront que parfois, c'est trop d'explications. J'avoue qu'avant de lire d'autres critiques, je n'avais pas remarqué ce point, pour moi, c'était fluide et utile. La magie “magique ”, c'est bien, mais étayée, c'est pas mal aussi. C'est d'ailleurs par le biais de cette magie que le roman prend un ton steampunk, parce qu'au même titre que la carriole qui vous a mené ici, les objets acquièrent des automatismes dictés par les enluminures qui permettent au final disons le, des chaînes de productions.
On ne va pas se mentir, ça reste de la fantasy, épées arbalète, armure et tout le toutim.
Alors une fois, l'univers dressé, de quoi va nous parler l'auteur ? de l'histoire de Sancia, une jeune femme qui fait office de voleuse issue des communes. le roman ouvre in médias res sur un de ses larcins pour le moins risqué. Ça donne le ton tout de suite, l'univers, notre personnage assez brut de décoffrage, un langage pas toujours châtié et de l'action.
De ce côté-là, on sera servi, ça ne retombe jamais, une montée dramatique qui ne cesse de nous emmener plus loin dans les complots, les possibilités de l'enluminure, l'histoire précédente l'époque à laquelle nous sommes dans le roman. Et cette histoire avec un grand H, va prendre de l'importance au fil du roman.
Alors Sancia n'occupera pas seul le haut de l'affiche, elle va rencontrer d'autres personnes au fil de ses péripéties, et devra des fois s'allier à des personnes avec lesquelles aucune accointance n'aurait pu se faire en temps normal.
J'ai apprécié l'intrigue en elle-même, bien construite, bien dosée, les éléments s'agglomèrent progressivement pour venir épaissir le tout. Les personnages sont agréables et bien définis, avec une histoire personnelle utile à l'intrigue. le seul petit point négatif, c'est leur grossièreté pour la plupart, mais certaines réactions sont savoureuse et amènent parfois des échanges qui font rire pour leurs côtés acerbes.
Le coeur de l'intrigue c'est ce premier vol que commettra Sancia, elle se retrouveras en possession d'une clef, mais pas une clef bannale, non, juste “Clef” avec des capacités particulières. Je ne peux pas en dire plus : désolé, il faut le lire :)
Il s'agit d'une trilogie, j'ai hâte de la sortie poche des tomes suivants, voir ou tous cela va nous mener.
La magie est clairement mise en avant dans ce roman. « Le meilleur système de magie de toute l'histoire de la Fantasy », nous vend-on.
J'aurais tendance à relativiser cette description. Mais quoi qu'il en soit, le « sytème » est tellement au coeur du roman qu'il mérite bien qu'on s'y attarde. Et comme il est expliqué dès les premières pages, ce ne sera pas du spoil !
L'auteur reprend l'idée ultra classique des runes (les fameuses enluminures) qui, gravées selon un certain protocole sur des objets faits de matériaux précieux, leur confèrent des pouvoirs magiques. C'est le cas par exemple de certains objets dans les romans de Tolkien, à commencer par l'Anneau Unique.
J'ai toujours les même critiques envers cet auteur : l'univers est intéressant mais les plot-twists sont très prévisibles. Il y a un côté "grandiloquent" dans l'évolution des personnages que je trouve un peu simpliste.
Je pense que je ne lirai pas la suite, j'ai préféré "La Cité des Marches" (où les plot-twists étaient aussi prévisibles mais où l'univers et le type de magie m'ont davantage plu.)
Incroyable, incroyable, incroyable. Voici les premiers mots qui me sont venus à la suite de la dernière page... Je savais que j'allais aimer ce titre avant même de le commencer, et ça n'a pas loupé.
« Une magie comme vous n'en avez jamais lu » nous est promis sur le bandeau jaune du Livre de Poche : pari réussi.
J'ai adoré suivre Sancia, notre personnage principal féminin. Son douloureux passé, ses cicatrices, sa force, son courage, tout ce qui fait d'elle ce qu'elle est ; nous la rencontrons alors qu'elle est en pleine mission pour voler un mystérieux objet. Aidé par ses fabuleuses capacités, qui lui permettent d'entendre les objets ''magiques'', les murs, et tout ce qu'elle touche de sa main nue, Sancia parviendra finalement à voler ce qui était prévu (en même temps, c'est la meilleure de son domaine, voyez-vous). Mais... Il se pourrait bien que ce vol change sa vie à tout jamais...
Ahhh. Que c'était bien. Et pourtant, au début, j'ai eue du mal à entrer dans le récit ! Il m'a fallu lire et relire plusieurs fois certaines phrases, certains passages pour complètement m'imprégner de l'univers (aussi, serait-ce la fatigue qui m'a ralenti ?). Quoi qu'il en soit, passé un certain moment j'étais à fond dedans. Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde, j'avais hâte de retourner à la lecture chaque soir et ça, c'est vachement bon signe. Comme je le disais plus haut, j'ai adoré suivre Sancia et ses nouveaux camarades. Particulièrement un en particulier, commençant par la lettre C, qui m'a beaucoup touché - je ne saurais l'expliquer. Finalement, j'ai fini par m'attacher à lui, ce fameux C, et à Sancia - évidemment.
L'intrigue en elle-même n'a peut-être rien de bien originale, si je puis dire. Les plus forts et les plus riches qui oppressent les plus faibles et les plus pauvres. Des coins propres, qui gaspillent de l'eau à foison, et de l'autre côté des coins sales, où les maisons tombent en ruines. Mais... Oui il y a un mais. J'ai trouvé l'histoire très bien menée. J'ai été totalement embarquée - après plusieurs chapitres - et j'ai totalement accrochée, malgré une concentration extrême qu'il me fallait parfois pour comprendre certaines choses. ^^'
J'ai fini cette petite brique de presque 800 pages en apnée et surtout, oui surtout, en ayant envie de dévorer la suite. Mais comme je suis particulièrement maniaque quant aux éditions de mes bouquins - je veux que ça soit identique au tome 1 -, je vais attendre que la suite sorte en format poche pour me la procurer...
En bref : une super lecture à laquelle je ne rends pas du tout honneur avec cet avis fouillis, je le sais bien. Un univers que j'ai apprécié, des personnages auxquels je me suis attachée, une magie ancienne qui m'a régalée. Tout n'était peut-être pas parfait, certes, mais je peux le dire... ce premier tome des Maîtres Enlumineurs fût un coup de coeur.
[Cet avis a été écrit à chaud. Avec du recul, je me rends bien compte des défauts qui parsèment ce roman. Malgré tout, je ne peux lui enlever le fait de m'avoir fait passer un excellent moment, son charme ayant totalement opéré sur moi.]
TW - Avertissement de contenu : Spoiler(cliquez pour révéler)violence (une scène violente sur un animal qui m'a marquée / situation choquante, horrible et révoltante concernant des enfants), mort, sang, entre autres. ''Peu'' de détails en comparaison avec d'autres titres mais il faut le savoir, pour les plus sensibles comme moi.
J'ai adoré ce beau bébé (presque 800 pages!). Les personnages sont attachants et forment une sacrée équipe, dysfonctionnelle de prime abord mais au sein de laquelle ils se complètent bien finalement. Il y a pas mal d'actions et surtout une magie complexe et une mythologie qui m'ont fait quelques nœuds au cerveau mais que j'ai beaucoup aimé. J'ai bien apprécié l'ambiance également. Curain, je lirais la suite!
Très déçue par cette histoire. L'histoire et l'intrigue sont simplistes et les réactions des personnages ne sont pas toujours logiques ou sont banales. Un livre plutôt tourné ado.
Pourquoi personne ne parle pas plus de ce bijou de la fantasy ? Clairement une masterpiece que nous avons la!
L’originalité du monde, sa complexité, les personnages construits et tous attachants … bref c’est une réussite sur tous les points!
J’étais un peu septique au début et passé les 300 premières pages je n’ai pas pu le lâcher. J’avais besoin de savoir ce qu’il allait se passer et l’auteur ne nous épargne rien. C’est un monde cruel qu’il a construit et magique, clairement magique. J’ai adoré l’héroïne Sancia mais aussi tous les protagonistes secondaires. J’ai souffert avec eux, ri avec eux, pleuré avec eux. Et si j’ai adoré Sancia, j’ai tellement aimé également Clef, Orso, et même Estelle …
Je me lance tout de suite avec le prochain et j’ai hâte de découvrir ce que nous réserve encore l’auteur. Je conseille vraiment ce livre à tous les amateurs de fantasy adulte, si vous avez aimé les livres de Sanderson vous retrouverez ce petit quelque chose dans ce livre.
C’est par hasard que j’ai découvert Les maîtres enlumineurs. C’est pour ses personnages, son worldbuiding et son système de magie que je l’ai adoré.
Même s’il m’aura certainement manqué quelque chose pour qu’il passe dans la catégorie des coups de cœur – néanmoins, je n’arrive pour autant pas à mettre le doigt dessus précisément – j’ai passé un très bon moment lors de ma lecture.
J’ai été charmée par son système de magie, à la fois simple et complexe, sans compter que je n’ai pas eu l’occasion de croiser quelque chose de vraiment semblable lors de mes précédentes lectures (la comparaison entre les dons de Sancia et ceux d’Ophélie dans la Passe-Miroir, notamment le fait de « dialoguer » avec les objets s’arrête assez vite lorsque l’on comprend un peu mieux les règles qui régissent le monde des maîtres enlumineurs). Les différentes applications de cette magie étaient ingénieuses et le potentiel énorme. J’ai également complètement adhéré à l’univers tout entier, la façon dont il était décrit, construit, qui rendait le tout cohérent, sans manquer de lancer quelques critiques acerbes sur notre propre mode de fonctionnement.
Tout n’a pas été parfait, la faute à quelques longueurs ou des situations similaires se répétant. Ce point pourra ne pas plaire à tout le monde. Certains personnages m’ont paru plus soignés que d’autres – j’ai particulièrement apprécié les questionnements autour de Sancia, sa condition, sa façon de se percevoir et ce que cela impliquait pour elle ou encore Clef, dont la venue apporte une sorte de vent de fraîcheur bienvenu. D’autres (particulièrement du côté des « méchants ») seront un peu trop manichéens à mon goût.
Ce tome est une très belle introduction à l’univers. Son final bouleverse suffisamment les choses pour donner envie d’aller ouvrir rapidement le deuxième tome !
Résumé
« Avec Les Maîtres enlumineurs, Robert Jackson Bennett débute une nouvelle trilogie de fantasy épique passionnante, qui promet énormément pour la suite. Préparez-vous à d’anciens mystères, à une magie comme vous n’en avez jamais lu et à quelques coups de théâtre. » Brandon Sanderson
Toute l’économie de l’opulente cité de Tevanne repose sur une puissante magie : l’enluminure. À l’aide de sceaux complexes, les maîtres enlumineurs donnent aux objets des pouvoirs insoupçonnés et contournent les lois de la physique. Sancia Grado est une jeune voleuse qui a le don de revivre le passé des objets et d’écouter chuchoter leurs enluminures. Engagée par une des grandes familles de la cité pour dérober une étrange clé dans un entrepôt sous très haute surveillance, elle ignore que cet artefact a le pouvoir de changer l’enluminure à jamais : quiconque entrera en sa possession pourra mettre Tevanne à genoux. Poursuivie par un adversaire implacable, Sancia n’aura d’autre choix que de se trouver des alliés.
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