Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
C’est dans le bourg paumé de Torpa que Sacha entonnera l’hymne des étudiants, à l’« Institut des technologies spéciales ». Pour y apprendre quoi ? Allez savoir. Dans quel but et en vue de quelle carrière ? Mystère encore. Il faut dire que son inscription ne relève pas exactement d’un choix : on la lui a imposée… Comment s’étonner dès lors de l’apparente absurdité de l’enseignement, de l’arbitraire despotisme des professeurs et de l’inquiétante bizarrerie des étudiants ?
A-t-on affaire, avec Vita nostra, à un roman d’initiation à la magie ? Oui et non. On évoque irrésistiblement la saga d’Harry Potter et plus encore Les Magiciens de Lev Grossman. Mêmes jeunes esprits en formation, même apprentissage semé d’obstacles. Mais c’est sur une autre terre et dans une autre culture, slaves celles-là, que reposent les fondations d’un livre qui nous rappellera que le Verbe se veut à l’origine du monde. Les lecteurs de fantasy occidentale saturés d’aspirations à l’héroïsme tous azimuts en seront tourneboulés.
Rien n’est aussi fort que la peur, dit-il avec regret. C’est la conséquence de lois objectives et immuables. Vivre, c’est être vulnérable. Aimer, c’est avoir peur
C’est un vrai ovni ! Je n’ai jamais rien lu de similaire, mais pour autant il est difficile de décrire ce roman. C’est un roman qui nous plonge dans des sensations, des pensées, une de construction et un apprentissage - mais de quoi ? - tout est mystérieux tout le long du roman mais ce n’est pas dérangeant.
Jai beaucoup aimé et je suis contente d’avoir écouté les retours des autres pour me lancer dans l’aventure, ce roman vaut la peine d’être lu mais ne peut pas être décrit !
Je ne suis même pas sure de ce que j'ai lu. Mais c'était une claque, du début à la fin (même si j'ai trouvé cette fin un peu en deçà). Bref, reprenons dans l'ordre.
Nous commençons à suivre Sacha lors de ses vacances d'été à la mer. Elle est heureuse d'y retrouver sa mère; il fait beau et chaud, et elle a l'avenir devant elle à 16 ans.
Mais une ombre apparait, qui prend de plus en plus de place dans ces vacances idylliques ; un homme, tout de noir vêtu, commence à l'observer, puis à la suivre, et elle finit coincée dans une boucle temporelle en essayant de l'éviter.
De là, les choses s'enchainent rapidement ; Sacha commence à faire des missions pour cet homme en noir, qui lui font vomir des pièces... et elle finit par intégrer un Institut, au fin fond de la campagne, plutôt qu'une grande école d'étude supérieure comme sa mère le voulait. Et cet Institut est étrange, avec des étudiants franchement bizarres et des professeurs enseignant des matières encore plus inquiétantes. Dark Academia en plein, et c'est une réussite pour moi.
A partir de l'arrivée de Sacha à Torpa, impossible de me détacher du roman. J'ai avalé les plus de 500 pages qui le composent en moins d'une semaine (ce qui est très rapide pour moi).
Autant le dire tout de suite, ce n'est pourtant pas un roman pour tout le monde ; rien n'est expliqué clairement dans l'univers. Ni ce qu'est l'Institut, ni les règles de "magie", ou de transformation... En ce sens, le lecteur est au même stade que Sacha. Il doit comprendre tout seul avec les éléments qui lui sont donnés par les professeurs. La différence c'est que les exercices faits par Sacha et ses camarades étudiants ne sont jamais expliqués ou décrits clairement non plus. Tout est dans les descriptions, les ambiances décrites par les auteurs.
Ca ne m'a pas gênée du tout ; j'ai adoré ce jeu de piste. Plus généralement, j'adore décrypter les livres pour plonger dans leur univers, encore plus en Fantasy. Adeptes de la Horde, de la Maison des Feuilles ou encore du Livre des Martyrs, vous ne vous sentirez pas perdus avec Vita Nostra. L'univers s'est déployé devant moi au fur et à mesure de l'avancée de Sacha dans ses études.
Beaucoup de commentaires, de critiques du roman évoquent le passage à l'âge adulte, les métamorphoses et épreuves à travers lesquelles un adolescent passe pour devenir adulte. Ce double message, je ne l'ai pas vraiment perçu au cours de ma lecture. Oui, il est possible d'analyser le roman à l'aune de la philosophie, avec Platon présent en filigrane à de nombreuses reprises.
Pour moi, ce roman a d'abord été l'histoire de Sacha, de ce drôle d'univers oùSpoiler(cliquez pour révéler)le Verbe domine tout, et de l'apprentissage de ces étudiants pour le maitriser, pour en faire partie., de ce qu'elle a appris des relations avec les autres à travers les échanges avec ses camarades de classe ou de dortoir.
Et cette jeune fille qui a tant grandi au cours des années, c'est aussi le lecteur, qui assimile beaucoup d'éléments au cours de sa lecture.
La seule chose qui me laisse dubitative, c'est la fin. Je l'ai relue plusieurs fois pour essayer de mieux la comprendre. Si j'ai commencé en étant déçue, je vois mieux désormais où veulent en arriver les auteurs. Il y a tout de même une impressions de "tout ça pour ça?". Heureusement que Vita Nostra a une suite directe, avec Sacha en personnage principal (non traduit en français).
Il m'est très difficile de transmettre à travers les mots les émotions de cette lecture. Vita Nostra est un roman qui doit s'expérimenter ; pas toujours clair, et pourtant limpide dans les émotions qu'il peut convoyer. Un métamorphose qui commence, et qui continuera pour moi avec les romans suivants.
Voilà qu'une comète est passée devant mes petits yeux.
Oui, je le dit. Ce roman est juste magnifique. Je ne m'attendais pas à être aussi satisfait en le lisant. L'écriture est belle, fluide et intelligente. L'idée qui est développée par les auteurs est juste géniale.
Dans ce roman, nous suivons Sacha (Alexandra), une jeune fille qui est à l'aube de ces seize ans. Cette dernière vie avec sa mère de manière très fusionnelle et heureuse malgré les soucis inhérents à la vie. Un jour, alors qu'elles étaient en vacances à la mer. Sacha se croit suivi par un homme en noir. Après un temps, il s'approche d'elle et lui demande d'accomplir des missions qui sont particulières. Au début, elle rechigne mais accepte. En rentrant chez elles et quelques mois après, l'homme en noir, satisfait de Sacha lui propose d'aller étudier à Torpa à l'institut technologique. Quand elle s'embarque pour cet institut, elle ne se doutait pas un instant que ça vie aller changer du tout au tout. Un monde nouveau s'ouvre à elle, un monde fait de mot et de magie.
Ce premier tome est un petit diamant à lire. Il est vrai qu'au débout vous pouvez être dérouté. Mais au final, quand on assemble toutes les pièces du puzzles, on se dit, mais c'est bien sûr. Et la beauté du roman se dévoile à nous.
Une très bonne lecture. La plus étrange à mon actif.
Voilà une lecture dont il est délicat de parler, je vais donc commencer en reprenant la 4e de couverture, qui décrit « un roman d’initiation ». Oui, on suit une adolescente dans son passage à l’age adulte .
Elle dit aussi « On évoque irrésistiblement la saga d’Harry Potter ». PAS DU TOUUUUT ! Surtout, ne vous attendez pas à un Poudlard et sa magie merveilleuse, parce que ça n’a RIEN à voir !
C’est mon premier roman de « dark academia », et c’était malaisant, oppressant, bizarre ! Donc, parfait pour le mois d’Halloween.
Tout le roman tourne autour d’une question fondamentale : Pourquoi ? On oblige de jeunes adultes à rejoindre une école, pas des moyens pas nets du tout, et à étudier des matières tirées par les cheveux. Dans quel but ? Que va-t-il leur arriver ? Est-on face à une secte ?
Les élèves n’en savent rien, le lecteur non plus, et on tourne les pages en espérant saisir des indices et à la fin, une réponse. Ils ont peur, nous aussi, ils désespèrent, nous aussi.
En plus, je ne suis pas familière avec le cadre slave : j’étais donc d’autant déstabilisée, par exemple avec les noms et prénoms, ou les moyens de communication qui se font assez rares. Et quand il y en a, ce n’est pas forcément une bonne nouvelle… Et puis, il y a le froid : les personnages ont froid dans ce vieil internat pas isolé, à tel point que je me frottais les mains pour me réchauffer.
Ce livre était une sacrée expérience. Je n’ai pas tout compris aux discussions philosophiques et métaphysiques. J’ai essayé de suivre, de prendre mon temps, mais au bout d’un moment j’ai admis.
Pour reprendre une dernière fois la 4e de couverture, « les lecteurs de fantasy occidentale en seront tourneboulés » : je confirme, je suis toute retournée, et si quelqu’un avait la bonté de me donner son interprétation de la fin, j’en dormirais peut être mieux la nuit !
Je ne suis pas fan des fins ouvertes, et celle-ci est particulièrement frustrante. J’ai une impression en ce qui concerne Sacha (que j’espère fausse), mais comme j’aurais voulu savoir ce qui arrive à ses camardes de promo ! J’attendais vraiment une réponse à toutes mes questions, et au final, je n’en ai pas. Je me doute que les auteurs attendent une réflexion personnelle de la part des lecteurs : après tout c’est une lecture qui exige un certain investissement. Mais roooh, je suis frustrée !
Je suis aussi un peu déçue en ce qui concerne les fameux camarades. J’aurais vraiment voulu qu’on développe plus les personnages secondaires. Notamment Lisa Pavlenko et Denis Miaskovski. On sait qu’il leur arrive des choses, mais on reste cloîtré du point de vue de Sacha, qui malheureusement, est assez renfermée sur elle même.
Globalement, c’est une très bonne lecture que je recommande. Enfin pas pour Noël.
Le titre de la série est très bien trouvé. Merci Ovide !
Il y a une certaine complexité à définir ce qu’est Vita Nostra si ce n’est une exception dans le genre du Fantastique. Une bouffée d’air frais, tantôt glacial, tantôt chaleureuse à mesure que l’on parcourt les pages au rythme d’une plume assez incroyable dans laquelle les mots filent encore et encore et parviennent à donner un sens à ce concept assez fou et qui fonctionne. Je n’ai pas vu les mois s’écouler jusqu’à ce qu’on soit déjà à la deuxième année. Pourtant, j’ai été déroutée par l’absence de chapitre, assez frustrée et embêtée même, car j’ignorais où m’arrêter. Eh bien finalement, j’ai juste terminé le livre en 3 jours.
Pour revenir à l’histoire, donc, j’ai trouvé qu’il était découpé façon “slice of life” avec la vie estudiantine de Torpa, entre cours classiques et spécialités. Bien qu’il n’y ait rien de classique à propos de cette histoire. D’ailleurs, le temps s’écoule étrangement dans ce tome. La première année est longue, la seconde, un peu moins et lorsqu’arrive la troisième année, c’est d’une rapidité presque déconcertante. On apprend au même rythme que Sacha, qui déteste ne pas comprendre pourquoi elle est là, pourquoi elle a été choisie, pourquoi elle doit apprendre ce charabia, jusqu’à ce que, après plusieurs échecs elle comprenne et trouve toute une harmonie dans le chaos. Elle embrasse le silence une fois sa terreur passée. Car la peur est un des points majeurs de l’histoire : peur de l’échec, peur de grandir, peur du changement, peur de l’amour, la Peur avec un grand P, en somme.
Par contre, un détail important : ça n’a rien à voir avec Harry Potter. Vraiment, ça ne pourrait pas être plus différent. D’autant plus qu’il s’agit d’un genre de fantastique différent où les personnages ne se Spoiler(cliquez pour révéler)transforment pas en créatures/magiciens, mais en concept. En mot. C’est assez fou et encore, je ne suis pas sûre d’avoir tout compris tant me concept est intéressant.
Cependant et si j’ai beaucoup apprécié la lecture, je regrette de ne pas en savoir plus sur les camarades de Sacha. Notamment celleux qu’elle côtoie le plus et surtout, je trouve dommage la façon dont tous les personnages féminins sont écrits. Assez stéréotypé dans l’ensemble et, quelque part, heureusement que Sacha n’a pas tant d’interactions avec elleux. De même, certaines “épreuves” sont aussi étranges que pas nécessaire à mon sens, mais passons.
Je suis vraiment curieuse quant à la suite et je vérifierais si elle se trouve à la bibliothèque !
Ce fut une lecture pour le moins déroutante, je ne sais même pas vraiment quoi en penser. Une chose est certaine : j'ai trouvé cet ouvrage malsain. Sur le papier, c'est très bien écrit, c'est addictif, techniquement je ne peux pas mal noter ce livre. Mais dans les faits, dans mon ressenti, je n'ai pas du tout le même avis. Je ne conseillerai pas ce livre, et en même temps, c'est paradoxal, tous les amateurs de littérature devraient faire l'expérience au moins une fois dans leur vie d'un tel ovni littéraire. Ah, et pour finir, beaucoup le présentent comme un Harry Potter-like, alors pour ma part - et ça n'engage que moi - je ne vois aucune corrélation avec ce dernier, mais alors vraiment rien !
Vita Nostra est un OVNI dans le genre. Je ressors de la lecture hagarde, déboussolée et pas certaine de ce qui vient de m'arriver et pourtant j'en redemande. Je veux de nouveau me replonger dans cette ville provinciale au charme désuet, je veux plus de détails sur ces profs tyranniques et pourtant capables de compassion et d'inquiétude pour leurs élèves, je veux plus de temps en compagnie de Sacha et Kostia et les autres, petit groupe soudé par une expérience hors du commun et pourtant misérablement seul. Un tel attachement à un livre si étrange n'est possible que grâce à la plume sensationnelle de l'auteur et de l'autrice qui ont décidément une imagination transcendante.
Petit bémol peut-être sur le manque de relation positive entre Sacha et les autres filles, ce jugement aussi des tenues, maquillages, comportements, etc des autres. J'aurais tellement apprécié une amitié ou au moins une compréhension plus poussée entre elle et Lisa, un personnage avec qui j'aurais aimé passé plus de temps.
A lire absolument à tout les adolescents. Manuel de vie. Ainsi que aux adultes. Ecris d'une façon très captivant. Addictive, car seulement une des nombreuses livres de cet écrivain.
Pas sûr d'avoir tout compris mais hâte de lire la suite ! On le décrit comme un Harry Potter pour adulte. Je le comparerai plus à la série the OA au niveau de l'ambiance surtout.
Vita Nostra est souvent qualifié "d'expérience de lecture unique en son genre" et après avoir terminé ce roman je ne peux qu'approuver.
Je pense que c'est le genre de livre qui ne plaira pas à tout le monde : en tant que lecteur, nous nous retrouvons complètement perdu, nous sommes dans l'incompréhension tout comme Sacha, l'héroïne, qui se retrouve perdue et terrifiée lorsqu'elle se retrouve contre sa volonté obligée d'intégrer l'institut des technologies spéciales de la petite ville de Torpa.
L'atmosphère de la Russie et la ville froide de Torpa en hiver m'a beaucoup plu. L'ambiance et les émotions intérieures de Sacha sont les éléments qui m'ont le plus intéressés durant ma lecture.
Ce premier tome reprend des concepts philosophiques assez complexes tels que le mythe de la caverne de Platon; et je dois dire qu'après la seconde moitié du livre, je n'ai plus compris ce qu'il se passait notamment tout ce qui concerne la grammaire et les élèves, mais je reste vague volontairement pour ne pas spoiler.
Je n'ai jamais été douée pour la philosophie, ce roman était peut être trop complexe pour moi 🤷🏻♀️ je suis tout de même curieuse de découvrir la suite de cette série puisque tous les livres peuvent se lire de manière indépendante.
Résumé
Vita nostra brevis est, brevi finietur…
« Notre vie est brève, elle finira bientôt… »
C’est dans le bourg paumé de Torpa que Sacha entonnera l’hymne des étudiants, à l’« Institut des technologies spéciales ». Pour y apprendre quoi ? Allez savoir. Dans quel but et en vue de quelle carrière ? Mystère encore. Il faut dire que son inscription ne relève pas exactement d’un choix : on la lui a imposée… Comment s’étonner dès lors de l’apparente absurdité de l’enseignement, de l’arbitraire despotisme des professeurs et de l’inquiétante bizarrerie des étudiants ?
A-t-on affaire, avec Vita nostra, à un roman d’initiation à la magie ? Oui et non. On évoque irrésistiblement la saga d’Harry Potter et plus encore Les Magiciens de Lev Grossman. Mêmes jeunes esprits en formation, même apprentissage semé d’obstacles. Mais c’est sur une autre terre et dans une autre culture, slaves celles-là, que reposent les fondations d’un livre qui nous rappellera que le Verbe se veut à l’origine du monde. Les lecteurs de fantasy occidentale saturés d’aspirations à l’héroïsme tous azimuts en seront tourneboulés.
Source : L'atalante.com
Afficher en entier