Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Un soir d'octobre 1815, un homme épuisé et affamé entre à pied dans la ville de Digne. Chassé des auberges, Jean Valjean a perdu tout espoir de trouver un lit pour la nuit lorsqu'il frappe à la porte d'une maison. En entrant, il annonce : " Vieilles gens, sachez-le, je suis un forçat ! J'ai passé dix-neuf ans au bagne de Toulon. " A ces mots, son hôte, Mgr Myriel, fait rajouter un couvert et sort deux beaux chandeliers d'argent. Au matin, le forçat s'enfuit après avoir volé son bienfaiteur..
force d'aller en avant, il parvint au point où le brouillard de la fusillade devenait transparent. Si bien que les tirailleurs de la ligne rangés et à l'affût derrière leur levée de pavés, et les tirailleurs de la banlieue massés à l'angle de la rue, se montrèrent soudainement quelque chose qui remuait dans la fumée.
Au moment où Gavroche débarrassait de ses cartouches un sergent gisant près d'une borne, une balle frappa le cadavre.
L'adjectif "grand" est-il suffisant pour qualifier ce livre? Côtoyer quelqu'un est toujours plus éclairant qu'entendre parler de lui. Victor Hugo est un magicien si envoûtant que je ne parviens pas à me détacher de lui, malgré cette syntaxe qui nous sépare. J'aime sa fausse nonchalance et ses faux égarements dont il fini par nous montrer l'utilité avec un brio infatigable. Même si je suis parfois un peu perdu dans les descriptions, j'admire ses connaissances historiques et géographiques précises, ses phrases courtes et politiquement tranchantes. Victor Hugo sait rendre les personnages sublimes, montrer leur détermination ou leur perversité avec force et les faire aimer ou haïr.
Mais je suis en colère. Avec Monsieur Hugo, on passe 20 pages de description et de discours à s'ennuyer ferme et en 4 lignes, il nous met par terre. Il va falloir trouver un équilibre! Ça ne peut pas continuer! (Ah oui, il est mort) Que de phrases puissantes qui nous frappent et que de jeux d'esprit! Cependant, les références historiques innombrables m'ont manqué pour profiter réellement du roman. Les personnages sont introduits avec une subtilité peu commune. Certains passages sont insoutenables de réalisme, c'est presque pire que la confortable réalité. Je suis en colère, et en même temps, c'est un chef d’œuvre.
J'ai lu ce livre pour le collège, et autant dire que si on ne m'avait pas dit de le lire, je ne l'aurais jamais lu, mais je n'est pas été déçue de le lire, j'ai adoré la manière d'écrire de Victor Hugo, j'aime bien les personnages, je les ai trouvé tellement touchants. Même si parfois, on se perd dans l'histoire, il y a beaucoup de rebondissements, ce qui fait qu'on ne s'ennuie pas dans l'histoire.
L'adjectif "grand" est-il suffisant pour qualifier ce livre? Côtoyer quelqu'un est toujours plus éclairant qu'entendre parler de lui. Victor Hugo est un magicien si envoûtant que je ne parviens pas à me détacher de lui, malgré cette syntaxe qui nous sépare. J'aime sa fausse nonchalance et ses faux égarements dont il fini par nous montrer l'utilité avec un brio infatigable. Même si je suis parfois un peu perdu dans les descriptions, j'admire ses connaissances historiques et géographiques précises, ses phrases courtes et politiquement tranchantes. Victor Hugo sait rendre les personnages sublimes, montrer leur détermination ou leur perversité avec force et les faire aimer ou haïr.
Mais je suis en colère. Avec Monsieur Hugo, on passe 20 pages de description et de discours à s'ennuyer ferme et en 4 lignes, il nous met par terre. Il va falloir trouver un équilibre! Ça ne peut pas continuer! (Ah oui, il est mort) Que de phrases puissantes qui nous frappent et que de jeux d'esprit! Cependant, les références historiques innombrables m'ont manqué pour profiter réellement du roman. Les personnages sont introduits avec une subtilité peu commune. Certains passages sont insoutenables de réalisme, c'est presque pire que la confortable réalité. Je suis en colère, et en même temps, c'est un chef d’œuvre.
J'ai lu ce livre pour l'école, sinon je pense que je n'aurai pas eu l'idée de le lire. Et c'est dommage.
J'ai beaucoup aimé l'intrigue, malgré quelques difficultés avec le style d'écriture au début, car je suis habituée à un style plus actuel.
L'histoire est très intéressante, elle ouvre les yeux sur la réalité de l'époque, que l'on voit habituellement(dans les livres) d'un point de vue bourgeois. Si vous aimez les romans historiques, je vous le recommande car l'univers est très bien retranscrit.
En revanche je n'ai pas su m'attacher aux personnages, même s'ils sont chacuns intéressants dans leurs différentes psychologies. C'est sans doute du au fait que le roman saute parfois jusqu'à plusieurs années, et que l'on retrouve les protagonistes grandis et changés, sans vraiment comprendre.
Malgré les quelques points négatifs, cette histoire est magnifique et mérite clairement sa place parmi les grands classiques.
Elle m'a réconciliée avec le style classique, je la recommande donc fortement !
C'est mon deuxième livre de Victor Hugo après Le dernier jour d'un condamné que j'ai aussi adoré ! Je trouve l'écriture de Victor Hugo géniale et j'ai adoré les personnages ! Je les trouve très bien détaillé et leur action nous permet d'apprendre leur caractère sans jamais utilisé d'adjectig pour les décrire ! Ce livre est une merveille !
un gros pavé, une écriture plus ou moins digeste... j'en garde pas un extraordinaire souvenir. Malgré tout ça fait parti du patrimoine culturel français ;) !
Elle aimait avec d'autant plus de passion qu'elle aimait avec ignorance. Elle ne savait pas si cela est bon ou mauvais, utile ou dangereux, nécessaire ou mortel, éternel ou passager, permis ou prohibé ; elle aimait.
Résumé
Un soir d'octobre 1815, un homme épuisé et affamé entre à pied dans la ville de Digne. Chassé des auberges, Jean Valjean a perdu tout espoir de trouver un lit pour la nuit lorsqu'il frappe à la porte d'une maison. En entrant, il annonce : " Vieilles gens, sachez-le, je suis un forçat ! J'ai passé dix-neuf ans au bagne de Toulon. " A ces mots, son hôte, Mgr Myriel, fait rajouter un couvert et sort deux beaux chandeliers d'argent. Au matin, le forçat s'enfuit après avoir volé son bienfaiteur..
Afficher en entier