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Paris, 1831. Les regards de Cosette et de Marius se sont croisés, un matin, dans le jardin du Luxembourg. Deux âmes disposées à s'aimer. Mais Jean Valjean veille, lui, l'ancien bagnard dont Cosette est devenue la seule raison de vivre. Promenades supprimées, déménagement : il croit tout danger écarté, quand soudain, une figure menaçante ressurgit du passé.
Dans une de ses précédentes flâneries, il avait remarqué là un vieux jardin hanté d'un vieux homme et d'une vieille femme, et dans ce jardin un pommier passable. A côté de ce pommier, il y avait une espèce de fruitier pas mal clos où l'on pouvait conquérir une pomme. Une pomme, c'est un souper; une pomme c'est la vie. Ce qui a perdu Adam pouvait sauver Gavroche.
j'aime forcément, mais je dois avouer que j'ai laissé de côté les grandes envolée descriptive d'Hugo sur la waterloo, napoléon ou les rues de paris pour ne m'attacher qu'à l'intrigue romanesque! puisse-t-il me pardonner mais je ne m'attendais pas à autant de détails socio-historiques à la lecture de son oeuvre, j'avais surtout envie de retrouver Cosette et Jean Valjean!
J'ai bien aimé ce deuxieme tome dans lequel on voit grandir Cosette et on fait la connaissance de Marius que j'ai personnellement autant aimé que détesté ! On se laisse toujours embarquer par les péripeties des personnages j'ai hate de pouvoir conclure cette histoire avec le dernier tome !
J’ai lu le tome 1 il y a très longtemps, j’ai eu un peu de mal à me remémorer les personnages pour ce tome 2, mais plus je lisais plus sa allait. On est vraiment dans la continuité du tome 1 car l’histoire des Misérables est en plusieurs parties mais pour en faire 3 tomes ils ont couper l’historie en plein milieu des parties, ce qui fait qu’on se retrouve avec le chapitre 8 de la partie 2 pour commencer ce tome 2, je trouve ca assez étrange d’avoir faire ça.
Mais en tout cas j’aime toujours autant cette historie qu’au tome 1, peut être un peu moins car il y a un peu des longueurs dans ce tome 2 mais rien de bien pénible. On retrouve tout nos personnages et dans ce tome il y a beaucoup d’intrigue j’ai beaucoup aimé
Bonjour à tous. Ceci est la deuxième partie des "Misérables" de Victor Hugo. A moins que je ne vous l'aie déjà dit, ce dernier nous présente dans son roman la façon dont certaines personnes comme l'inspecteur Javert sont si prisonnières de leur devoir de policier qu'elles ne se rendent pas compte que la justice n'a pas toujours raison. En effet, dans ce roman, le héros Jean Valjean est un forçat victime de l'injustice sociale puisqu'il a été condamné à 19 ans de bagne après avoir volé un pain pour se nourrir et fait quatre tentatives d'évasion. Je dirais même que le but du roman de Victor Hugo est de nous encourager à lutter contre l'injustice sociale qui sévit encore.
Ce deuxième volume des Misérables commence tranquillement, avec une fois de plus une digression de Victor Hugo. Là où les points positifs de la religion étaient mis en avant dans le premier livre, ici il décide de nous montrer l’envers du décor en dénonçant le fanatisme. Même si cela ne concerne pas directement l’intrigue principale, je trouve cela intéressant de montrer les deux points de vue. Hugo tourne tout de même son récit sur la providence (de Dieu, je suppose) et la religion est étroitement liée à la progression des personnages. Cependant, ces longueurs peuvent toujours être un peu pénibles. J’avoue avoir perdu le fil sur certains discours.
Le premier livre se déroulant plutôt en zone rurale, le second nous plonge dans les rues de Paris, qui n’est pas magnifié, mais qui est rendu plus authentique. Hugo nous fait visiter la ville à travers les quartiers où vivent les gens ordinaires, ou encore en nous montrant les petites rues qui n’ont pas de grand nom. Mais ce que j’aime particulièrement dans l’écriture de Victor Hugo, c’est sa façon de réintroduire ces personnages principaux dans le récit : tout est en subtilité. Si l’on revoit Jean Valjean, il ne sera pas cité par son nom, mais évoquer par la description, les rumeurs qui l’entourent ou par la vision d’un personnage.
Et en parlant de protagoniste, des nouveaux font leur apparition : des liens commencent à se tisser entre les nouveaux et les anciens, dont certains personnages secondaires qu’on croyait peut-être sans importance. Même les lieux se rapprochent pour créer des rapports encore plus fort entre les protagonistes.
On fera donc la rencontre de Marius et des membres des Amis de l’A.B.C avec Enjolras. Pour ce dernier, je suis un peu déçu qu’il ne soit pas particulièrement mis en avant. Il reste assez discret alors que je pensais croiser plus de chapitre avec lui et son club. Quant à Marius, il m’a un peu blasé, en particulier à cause de son idylle avec Cosette, qui m’a procuré le même effet. Si au départ, leur histoire semble toute mignonne, cela vire rapidement à l’obsession pour Marius. De ce fait, je trouve qu’en grandissant, Cosette n’a pas gagné au change : elle devient le cliché de la femme se préoccupant plus de sa beauté que de se nourrir l’esprit, ce qui fait d’elle un être naïf et enfantin. (Il semblerait que Jean Valjean l’est trop gâté.) Avec ce qu’elle a vécu, j’aurais pensé qu’elle serait plus combative et qu’elle jouerait un rôle dans la révolution. Heureusement qu’il y a Gavroche et Éponine pour remonter le niveau. Ils sont beaucoup plus attachants.
L’histoire continue à faire son bonhomme de chemin et on sent la révolution monter, malgré le peu de passage qu’elle prend par rapport à la romance entre Cosette et Marius. J’attends de voir la suite avec impatience, surtout si on rentre enfin dans le vif du sujet.
Encore trop addictif, j'ai envie de connaître la fin de leurs histoire, qui est terrible en plus de ça. Quand tout paraît aller bien, ça retombe sur les personnages de plus belle. Frustrant, et génial !
L'écriture exceptionnelle de Victor Hugo n'a d'égale que son talent pour trouver des scénarios excellents, géniaux, dans lesquels le suspens nous tient jusqu'à la fin de l'intrigue...
Résumé
Paris, 1831. Les regards de Cosette et de Marius se sont croisés, un matin, dans le jardin du Luxembourg. Deux âmes disposées à s'aimer. Mais Jean Valjean veille, lui, l'ancien bagnard dont Cosette est devenue la seule raison de vivre. Promenades supprimées, déménagement : il croit tout danger écarté, quand soudain, une figure menaçante ressurgit du passé.
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