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Extrait

Extrait ajouté par Fred_93 2011-01-22T18:16:11+01:00

« Une perle naquit au coin de son œil, s’accrocha à ses cils, captant la lumière des étoiles jusqu’à ce que, trop lourde de douleur refoulée, elle roule sur sa joue et se perde dans la nuit. »

[Les mondes d’Ewilan, La forêt des Captifs, p 161]

« - Je suis un peu en miette. Je fais des cauchemars, le jour, la nuit, et j’en ferais encore longtemps. Mais si tu n’avais pas été là, si tu n’étais pas là maintenant, près de moi, je ne serais plus qu’un désert stérile, une ruine sans cœur. Tu m’a sauvée. Je…

- Tu m’as déjà remercié, tu sais.

- Je n’arrive pas à trouver les bons mots pour décrire ce que je ressens. Nos vies sont entremêlées, nos passés, notre avenir… Je suis liée à toi par un sentiment plus fort que les tempêtes, plus profond que le plus profond des océans et, comme une idiote, je ne parviens pas à te le dire, ou alors une seule fois, quand…

- Je m’en souviens. Tes premiers mots sont gravés en moi à tout jamais.

- Je ne parviens pas à les répéter. Pourtant, je voudrais tellement que tu saches… que tu comprennes…

- Je comprend. Je suis là et je serais toujours là parce qu’il m’est impossible d’être ailleurs que près de toi. Et je vais te dire les mots. Ces mots qui refusent de sortir de toi et que, moi, j’ai tant de mal à garder enfermés. Je t’aime. Plus que la vie, plus que l’amour, plus que tout. Je t’aime »

[Les mondes d’Ewilan, La forêt des Captifs, p 310-311]

« Une larme naquit dans un univers violet, roula sur le velours d’une joue, porteuse d’un bonheur sans limite, alors qu’un sourire émerveillé illuminait son visage. Je sentis quelque chose mourir en moi.

Ou peut-être éclore. »

[Les mondes d’Ewilan, La forêt des Captifs, p 311]

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