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Elle est belle, attirante, disponible. Il n'a pas hésité à la suivre pour prendre un dernier verre. A présent il est seul, dans une cave, enfermé dans une cage. Isolé. Sa seule compagnie ? Sa séductrice et son bourreau. Et elle a décidé de faire durer son plaisir très longtemps. De le faire souffrir lentement. Pourquoi lui ? Dans ce bras de fer rien n'est dû au hasard. Et la frontière entre tortionnaire et victime est bien mince...
Mais peut-être n'ai-je pas su t'écouter ? Écouter tes silences, tes absences. Moi qui passe mes journées à écouter, pourtant.
Je t'aurais expliqué... Qu'on n'oublie pas, qu'on ne guérit jamais de la passion. Ni de l'humiliation. L'humiliation d'avoir offert ce que l'on a de plus précieux avec, en retour, le mépris absolu.
Non, on ne guérit pas. Mais avec le temps, on reconstruit sa vie.
Excellent thriller alternant huis-clos et enquête policière. Le rythme est soutenu, grâce à ce style merveilleusement efficace, et nous fait passer un moment terrifiant aux cotés du prisonnier, jusqu'à un final surprenant. Superbe !
Un roman glaçant et assez effroyable ! Cette femme qui torture de mille façons un flic dans une cave pour, selon elle, lui faire payer le meurtre de sa soeur jumelle fait froid dans le dos. Elle cherche par tous les moyens à lui faire avouer : ne pas manger, mourir de froid, torture psychologique... L'ambiance est sombre, très oppressante et les dialogues sont très durs ! Il y a beaucoup de suspense et les révélations sont assez incroyables. Le style de Karine Giebel fait mouche une nouvelle fois : fluide, brute, sans descriptions inutiles. La psychologie des personnages est bien fouillée. Ce que j'ai particulièrement aimé (et ce que j'aime tout court avec Karine Giebel) c'est qu'il n'y a pas de Happy-End (carrément l'opposé de MHC) ! J'ai eu l'occasion de rencontrer Karine Giebel et elle m'a expliqué que pour elle, le Happy-End gâche tout dans un roman noir. Et elle a raison. Celui-ci est clairement désespéré. Tous au fond sont des victimes et c'est bouleversant de voir à quel point le bourreau du filc se fait manipuler. A la fin j'étais assez frustré (mais je n'expliquerais pas pourquoi, pour ceux qui n'ont pas lu) mais j'imagine comment ça aurait continué si le roman avait été plus long. Un huit-clos effroyable dont personne ne ressors indemne. Diaboliquement efficace, terrifiant et addictif !
Karine Giebel va une fois de plus chercher le plus sombre de l’humanité dans cette histoire de séquestration et de vengeance.
Ne laissant aucun répit aux protagonistes, elle va leur faire vivre un véritable enfer, dans le seul but de faire avouer un crime sordide. Mais qui est vraiment la victime dans l’histoire ? Un sombre côté de Misery en puissance !
Le génie de l’auteur réside dans le fait de parvenir à nous faire éprouver de la compassion pour le bourreau et à nous demander s’il n’est pas en fait victime dans l’histoire. Jusqu’à la fin on jongle entre plusieurs interrogations, ne sachant pas qui on souhaite réellement voir s’en sortir.
On souffre réellement dans ce roman et la noirceur de l'âme humaine est tellement bien développée et utilisée qu'on a l'impression de lire ce roman en totale apnée. Qu'est-ce que j'ai souffert avec Benoît ! J'ai enduré tous ses supplices avec lui tandis que je souffrais aussi pour Lydia et sa souffrance émotionnelle. Et lorsque deux personnes en totale souffrance s'affrontent, notre coeur ne peut que souffrir pour les deux. C'est une histoire forte et puissante sur la rédemption, le pardon, le deuil et ses conséquences et la folie.
Nul doute que je vais continuer de découvrir la bibliographie de cette auteur qui fut une véritable révélation !
Un très bon thriller, fidèle à l'autrice. L'histoire est très addictive, cependant, je l'ai trouvé moins surprenante que certains autres des livre de Giebel.
Le commandant Benoit Lorand, officier au commissariat de Besançon, est un homme à femmes. Séducteur dans l’âme, il enchaîne les conquêtes entre deux enquêtes, deux filatures ou en soirée avant de rentrer chez lui retrouver son épouse et son petit garçon. Mais un jour, il ne rentre pas, il a suivi la femme de trop… Lorsqu’il se réveille, il est emprisonné dans une cave, aménagée pour lui, semble t-il. Et l’enfer commence. Sa geôlière, une rousse incendiaire, l’observe, l’affame, le torture. A qui a t-il affaire ? Jusqu’à quand parviendra-t-il à survivre dans ces conditions?
Les morsures de l’ombre est l’un des tout premiers livres de Karine Giebel. Le style est déjà très affirmé, froid et incisif, on devine d’emblée que les personnages vont y laisser des plumes. Une répétition de situations extrémement tendues mettent à mal les nerfs du lecteur, sans que l’on parvienne toutefois à prendre véritablement en pitié le personnage central qui est détestable ; un homme qui finit par se remettre en question sans toutefois pouvoir effacer le mal commis. Par les tortures qui lui sont iinfligées, ce récit pourrait passer pour un défouloir destiné aux femmes bafouées! Le dénouement machiavélique est inattendu et ne laisse aucun espoir quant au côté sombre de l’âme humaine.
La marque de fabrique de Karine Giebel est déjà affirmée dans ce roman, celle du huis-clos intense, étouffant, qu’ elle va par la suite peaufiner dans ses autres romans et développer brillamment jusqu’à atteindre l’intensité du Purgatoire des innocents ou de Toutes blessent, la dernière tue. A l’époque des Morsures de l’ombre, l’auteure avait déjà le don de troubler les frontières entre le bien et le mal, en rendant notamment les victimes détestables et les bourreaux sujets à la grâce. Dans les thèmes évoqués ce roman n’atteint toutefois pas l’intensité des suivants, notamment lorsque par la suite Karine Giebel explorera des sujets d’actualité tels que l’esclavage moderne ou le harcèlement. Je n’ai pas encore lu l’intégralité des titres de l’auteure, mais je pense que celui-ci manque un peu de maturité, ses livres plus récents me semblent plus approfondis et efficaces, cependant la lecture fluide et haletante promet un bon moment de lecture.
Un thriller qui vous happe dès les premières pages dans une atmosphère angoissante et vous glace d'effroi au fur et à mesure que l'histoire avance. La psychologie des personnages est décortiquée avec minutie et nous permet de voir au plus profond de leurs âmes et de comprendre la folie ou la noirceur de chacun. Une fin magistrale qui vous laisse sans voix.
Premier livre que je lis de Giebel et je ne suis pas déçues.
Un commandant de police se fait kidnapper et toute son équipe se met à sa recherche. Mais sans savoir que presque tous les personnages y sont confrontés sans forcément le vouloir...
J'ai aimé ce livre mais ce n'est pas un de mes livres préférés. Le début est long, voir très long. C'est au 3/4 du livre que je n'es pu me détacher de celui-ci, où le dénouement se fait, qui est pour le moins superbe !
Le commandant Benoît Lorand se réveille dans une cave, enfermé à l’intérieur d’une cage sans avoir le moindre souvenir de la manière dont il a atterrit dans ce trou à rats. Sa tortionnaire est une certaine Lydia, une belle jeune femme rousse qui a quelques problèmes psychologiques. Apparemment cette dernière lui reproche quelque chose dont Benoît lui affirme en être innocent mais celle-ci ne le croyant pas, a bien décidé de le faire souffrir. De leur côté, les collègues de Benoît peinent à retrouver sa trace.
A travers ce roman policier, Karine Giebel nous offre un récit glaçant car les douleurs que Benoît subit sont juste inimaginables et horribles ainsi, on se demande si son cauchemar va s’arrêter. Quant à Lydia, on la voit de plus en plus sombrer dans la folie et donc devient davantage terrifiante.
A chaque instants, j’ai essayé de comprendre ce qu’a bien pu faire Benoît, s’il disait vrai quand il affirmait être innocent bref, jusqu’au dénouement j’ai été tenu en haleine. D’autant plus que la fin est totalement imprévisible.
Pour conclure, j’ai passé un très bon moment avec ce livre dans lequel il n’y a pas de temps morts et la tension entre Benoît et Lydia monte crescendo.
Résumé
Elle est belle, attirante, disponible. Il n'a pas hésité à la suivre pour prendre un dernier verre. A présent il est seul, dans une cave, enfermé dans une cage. Isolé. Sa seule compagnie ? Sa séductrice et son bourreau. Et elle a décidé de faire durer son plaisir très longtemps. De le faire souffrir lentement. Pourquoi lui ? Dans ce bras de fer rien n'est dû au hasard. Et la frontière entre tortionnaire et victime est bien mince...
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