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- Désormais, nous sommes ensemble.

C'était une question.

- Oui, confirmai-je. Nous sommes ensemble.

- Tu ne t'en iras pas avec un autre homme.

- Non. Et toi?

- Non. Tu es mon seul et unique amour.

- Tant mieux.

C'est ainsi qu'en un clin d'oeil nous devînmes un couple.

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j'éssayais de lui jeter un coup d'oeil concupiscent, sans succés: il ravala un éclat de rire. j'enfonçais l'index dans ses cotes et il s'esclaffa.

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- Viens ici, murmura-t-il tout à coup.

Il était assis par terre devant l'âtre, adossé contre une chaise. il tapota le sol entre ses jambes et je m'y installai aussitôt.

- Je n'en reviens pas d'avoir le droit de te serrer dans mes bras, avoua-t-il.

Si mon coeur avait pu se manisfester, il l'aurait fait.

- J'ai le droit de te toucher autant que je le veux. Je n'ai plus à y réfléchir à deux fois.

- Tu y réfléchissais à deux fois?

- J'avais peur de t'effaroucher.

- Moi aussi.

- Nous sommes deux idiots.

- Oui, mais désormais, tout va bien.

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— Elle veut que nous passions à huit heures demain matin, annonça-t-il en sortant un crayon de son sac et en ouvrant le journal du matin à la page des mots croisés.

Tôt ou tard, il finira par craquer et se mettra au sudoku mais pour l'heure, il est fidèle à ses mots croisés.

— Dans ce cas, je devrais faire mon footing maintenant.

Je remarquai qu'il s'était figé, la main au-dessus de sa grille. Nous courons souvent ensemble bien qu'en général Tolliver m'abandonne en fin de parcours pour se donner à fond.

— Il fera trop froid demain matin.

— Ça ne t'ennuie pas d'y aller toute seule ?

— Non, non.

Je lui tournai le dos pour enfiler ma tenue mais ça, c'était normal. Sans être des maniaques de la pudeur, nous maintenons nos distances en ce domaine. Après tout, nous sommes frère et sœur.

Pas du tout, protesta mon second moi-même. Vous n'êtes pas liés par le sang.

Je fourrai la clé dans ma poche et sortis dans l'air glacial dissiper mon humeur chagrine.

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Il allait bientôt neiger.

Laissant de côté ma fascination pour les astres loin tains, je me concentrai sur mes préoccupations immédiates. Je déverrouillai la portière à distance et descendis sur l'étroit trottoir qui courait devant notre entrée. Un mouvement dans ma vision périphérique attira mon attention et je tournai légèrement la tête.

Le coup m'atteignit juste sous le coude. La douleur fut fulgurante. Je poussai un cri et appuyai sur le bouton d'alerte de la télécommande. Le klaxon se mit à hurler alors que le trousseau m'échappait des doigts. Je tentai de lever les bras pour me protéger. Celui de gauche refusa d'obéir. Je ne pus qu'apercevoir un homme affublé d'une cagoule noire avant de recevoir un deuxième coup en pleine tête. J'avais eu beau me jeter sur le côté pour éviter de recevoir l'impact de plein fouet, j'eus l'impression qu'elle allait s'envoler quand la pelle m'écorcha le crâne. Je titubai. La dernière chose dont je me souvienne, c'est d'avoir levé les mains pour parer ma chute : une seule répondit à mon ordre.

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Je m'arrêtai ensuite devant la dépouille la plus ancienne : les vibrations qui en émanaient étaient un tantinet plus faibles.

— Lui, c'est le premier. Il s'appelait... James quelque chose. James Ray, James Roy, James Robert. Je ne suis pas... Impossible de vous donner son nom de famille. Tolliver, je t'en prie, emmène-moi loin d'ici. Je n'en peux plus.

Je tenais à peine debout lorsque je localisai Hunter. Il avait succombé à une hypothermie. Il devait faire partie des kidnappés du mois de novembre.

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Dès que j'avais touché le sol, j'avais su que j'aurais bientôt des nouvelles pour Twyla Cotton. Le bourdonnement déjà intense s'accrut alors que je me rapprochais de l'allée érodée. Ce n'était pas le signal d'un seul cadavre. Un sentiment d'horreur m'envahit. Je n'osais pas regarder Tolliver. Il me prit le bras. Il avait compris que je me dirigeais vers ce qui avait été autrefois le jardin.

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— Loin de moi l'intention de vous offenser. Cependant, sachez que je ne vous aurais jamais contactée si vous n'aviez pas bénéficié d'un taux de réussite considérable. Je ne suis pas de ceux qui écoutent ce médium -John Edward. Je déteste qu'on me lise les lignes de la main, je fuis les séances de spiritisme, je ne consulte jamais le moindre horoscope.

— Je vous entends, répliquai-je d'un ton sec.

Tolliver sourit à son tour.

— Nous comprenons que vous nourrissiez une certaine méfiance à notre égard.

— En un mot, oui, avoua-t-elle.

— J'en déduis que vous frisez le désespoir, intervins-je.

Elle parut agacée.

— En effet, convint-elle parce qu'elle n'avait pas le choix. Nous frisons le désespoir.

— Je ne vais pas me dérober. Je veux simplement savoir contre quoi je me bats.

Ma franchise sembla la rassurer.

— D'accord. Alors je m'explique. Elle reprit son souffle.

— Depuis cinq ans, des garçons disparaissent régulièrement dans ce comté. Six à ce jour. Par « garçons », je veux dire des adolescents âgés de quatorze à dix-huit ans. Certes, les jeunes de cette tranche d'âge sont susceptibles de fuguer, sujets au suicide ou aux accidents de voiture mortels. Si nous les avions retrouvés ou si nous avions su qu'ils s'étaient enfuis, nous nous en serions contentés, si tant est que l'on puisse s'en contenter. Nous acquiesçâmes en chœur.

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- Mademoiselle Connelly, nous avons appris que vous aviez été agressée hier soir, dit Stuart

- Oui

J'étais furieuse contre moi d'avoir expédié Tolliver au motel et je lui en voulais de m'avoir prise au mot.

- Nous en sommes affligés, assura Klavin d'un ton mielleux qui me donna envie de vomir. Pouvez-vous nous dire pourquoi on vous a agressée ?

- Non. C'est probablement en rapport avec tombes.

- Je suis content que vous évoquiez ce sujet, intervint Stuart. Pouvez-vous nous expliquer comment vous avez fait pour les trouver ? De quelles informations disposiez-vous au préalable ?

- Aucune.

Apparement l'agression ne les intéressait déjà plus. en toute franchise, je pouvais les comprendre. J'avais survécu. Huit jeunes garçons n'avaient pas eu cette chance.

- Comment saviez-vous qu'ils étaient à cet endroit ? s'enquit Klavin, les sourcils arqués. Connaissiez-vous l'un d'entre eux ?

- Non. Je n'étais jamais venue ici auparavant.

Je retins un soupir. Je savais exactement comment cette conversation allait se dérouler. C'était inutile. Ils ne me croiraient pas, ils s'acharneraient à me soupçonner de leur mentir, perdraient du temps et gaspilleraient l'argent des contribuables en essayant d'établir un lien entre l'un des garçons et moi, ou entre l'assassin et moi. Ce lien n'existait pas.

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