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Je voulais m’y intéresser. Je voulais à tout prix dissiper la tension qui rendait mes sœurs si malheureuses. Je m’obligeai à adresser un sourire à ma tante.

— J’attends un bébé. Les filles vont avoir un petit frère ou une petite sœur.

Je dus lutter de toutes mes forces pour ne pas m’excla-mer : « Après toutes ces années ? »

— C’est merveilleux ! Les filles, qu’en pensez-vous ?

Tolliver chercha ma main sous la table et la serra très fort. Nous n’avions jamais envisagé que Hank et Iona puissent avoir un enfant un jour. Quant à moi, je ne me suis jamais demandé pourquoi ils n’en ont pas eu. En fait, je les ai simplement considérés comme deux empêcheurs de tourner en rond qui nous privaient de nos sœurs.

Toutefois, ils prennent bien soin d’elles et Dieu sait qu’elles ne sont pas faciles !

En un éclair, je me rendis compte qu’il n’était plus question pour nous de nous immiscer dans cette relation entre Hank, Iona et les filles. Je décelai une lueur d’incertitude dans les prunelles de Mariella. Elle et Gracie avaient suffisamment de problèmes sans que nous venions bouleverser leur existence. Elles voulaient se réjouir de la venue prochaine de ce bébé mais elles avaient reçu un sérieux coup sur la tête.

Je compatissais.

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Déçue par mon comportement ridicule, j'allumai le poste pour visionner une rediffusion de New York Police Judiciaire en dégustant ma soupe et ma salade. Le soleil ne se couche jamais sur New York Police Judiciaire et si c'était un épisode que je connaissais par cœur, je pouvais me rabattre sur l'une des multiples incarnations des Experts - Miami, Manhattan ou Las Vegas. La justice a toute sa place à la télévision, moins dans le monde réel. Peut-être est-ce pour cela que tant d'entre nous adorons la télévision.

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Il était 4 h 30 du matin. J'avais dormi comme une marmotte. A présent, j'étais parfaitement réveillée. J'empilai les oreillers derrière mon dos et allumai le poste de télévision en mettant le son au minimum. Pas question de regarder les informations : elles sont toujours tragiques et j'en avais par-dessus la tête du sang et de la cruauté.

Je tombai sur un vieux western. Quel bonheur de voir les bons l'emporter sur les méchants, les poules des saloons révéler leur cœur d'or, de constater qu'à une époque, les gens qui recevaient des balles s'effondraient sur le sol sans verser une goutte.de sang. Ce monde-là était bien meilleur que celui dans lequel je vivais et je pris plaisir à le visiter, surtout aux petites heures du matin.

Je dus m'assoupir sans m'en rendre compte car lorsque je rouvris les yeux, il était 7 heures et la télé marchait toujours. Je tenais la télécommande dans ma main.

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Je vis une femme, la jeune trentaine, traverser le parking. Son visage n'était pas visible car il était légèrement détourné de l'objectif. Elle avait de longs cheveux blonds. Elle était petite. Compacte. Je plaquai une main sur ma bouche afin d'être sûre de ne m'exprimer que lorsque je serais sûre de ce que j'allais dire.

Dans la séquence suivante, elle déambulait dans le centre commercial. Elle portait un sac au logo du magasin Buckle. Cette fois, elle était face à la caméra. L'image n'était pas très nette et elle n'y apparaissait que brièvement mais je fermai les yeux, accablée.

— Ce n'est pas elle. Cette personne n'est pas ma sœur.

J'avais les yeux piquants de larmes mais je ne pleurai pas. Toutefois, le choc était rude.

— Vous en êtes certaine ?

— Pas complètement, admis-je en haussant les épaules. Comment le pourrais-je sans être devant elle ? Je ne l'ai pas revue depuis huit ans. Cependant, le visage de cette femme est plus rond et sa démarche n'est pas du tout celle de Cameron.

— Revoyons le film, au cas où, proposa Flemmons d'une voix neutre.

Je me redressai sur mon siège et me concentrai. Cette fois, je notai les détails.

Sur le parking, on la voyait porter une énorme besace : jamais ma sœur n'aurait acheté un truc pareil. Certes, les goûts évoluent au fur et à mesure que l'on vieillit mais je doutais que ceux de Cameron aient changé à ce point-là. Elle était en talons hauts sous son élégant pantalon. Or Cameron préférait les chaussures plates au quotidien. Cela ne prouvait rien, bien sûr. Je n'utilise pas les mêmes accessoires qu'à l'époque du lycée. Mais la forme de ce visage, cette démarche rapide, les épaules légèrement en avant... non. Ce n'était pas Cameron.

— Je persiste et signe.

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— Cela fait partie du boulot. Il faut bien que quelqu'un s'interpose entre les gens normaux et les méchants.

Il n'avait pas dit les « bons ». Si j'avais été flic aussi; longtemps que Flemmons, aurais-je eu moi aussi l'impression que les « bons » n'existaient pas ?

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J'eus un sursaut de frayeur et ralentis, ne sachant que faire. Le véhicule roulait très lentement mais il se rapprochait.

Bien qu'aveuglé, l'inspecteur piqua un sprint dans ma direction. Ce faisant, il souleva son sweat-shirt et dégaina son pistolet. Je ne réagis pas sur l'instant, puis je crus qu'il allait m'abattre. Je m'arrêtai.

— Attention ! aboya-t-il.

Je fonçai vers lui sans réfléchir. U me poussa entre deux autocars et pivota sur lui-même pour faire face à la voiture, l'arme au poing. Le conducteur dut l'apercevoir et effectua une embardée puis, dans un crissement de pneus, redémarra et disparut du parking.

— Quoi ? Quoi ? bredouillai-je en me précipitant vers mon sauveteur, les bras écartés. Quoi ?

— Menace de mort, souffla-t-il, car il n'avait pas encore recouvré sa respiration normale. Vous avez reçu une menace de mort aujourd'hui. Je ne voulais pas que vous sortiez seule. Vous êtes une cible facile.

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On m'avait déjà tirer dessus à travers une fenêtre; c'est une expérience terrifiante. Cette fois-là aussi, je m'étais retrouvée couverte d'éclats de verre. Mais là, c'était bien pire, c'était la chose la plus horrible qui me soit jamais arrivée parce que la victime était Tolliver. Je songeais à l'étrangeté de la situation : comment un tel événement pouvait-il se produire deux fois ? Puis je m'arrachais à l'horreur pour essayer de me rendre utile. Matthew avait ôté sa chemise. Après l'avoir pliée, il l'appliqua sur l'endroit le plus ensanglanté.

- Tiens ça, imbécile, grogna-t-il.

Je posai les mains sur la compresse improvisée. Elle était déjà détrempée et écarlate.

S'il ne s'était pas rué aussi vite sur la porte, je l'aurais accusé d'avoir commus ce crime mais j'étais incapable de réfléchir. Si cette hypothèse m'était venue, je l'aurais sans doute adoptée sans hésitation.

Tollliver ouvrit les yeux. Il était blême, perplexe.

- Que s'est-il passé ? Que s'est-il passé ? Ma chérie, tu vas bien ?

- Oui, ne t'inquiète pas pour moi. Les secours arrivent, mon bébé.

Jamais, depuis tant d'années que nous vivons ensemble, je n'ai appelé Tolliver "mon bébé".

- On va te soigner. Tu n'est pas gravement atteint, tu vas t'en sortir.

- Qy'est-ce que c'était ? Une bombe ? Une explosion ? Je... papa, que s'est-il passé ? Harper est blessée.

Ne t'en fais pas pour Harper. Elle va bien.

Il le palpa, souleva sa chemise pour examiner son torse.

Soudain, les yeux de Tolliver se révulsèrent et son visage s'affaissa.

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manfred a eu le droit à une publicité retentissante,que j'ai vivement encouragée. on lui à proposé de participer à une emission de chasse au fantome et la caméra le met en valeur.

toutes les semaines, il recoit des demandes en mariage.

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