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— Je me suis cassé la main droite, lâcha-t-elle sans détour.

— Bon sang, maman, ça va ? m’écriai-je.

— Maintenant, oui.

— Pourquoi tu ne m’as rien dit ?

— Eh bien, voilà, c’est fait.

— C’est très invalidant ? demandai-je. Tu peux cuisiner ? T’habiller toi-même ?

— Avec une seule main ?

— Ben, tu en as quand même une autre.

— Très drôle.

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— Pendant que tu aurais emménagé avec David, m’interrompit ma mère. Tu sais que ton père n’aurait jamais approuvé que tu vives dans le péché.

— Nous sommes au xxie siècle, maman, objectai-je. Et de toute façon, papa tenait à ce que je veille sur tout. Il n’aurait pas voulu que tu te retrouves isolée.

— Je ne suis pas isolée.

— Quand as-tu pris cette grande décision ?

— Laisse-moi réfléchir… il y a à peu près un mois.

— Un mois ? Mais… (La tête commençait à me tourner.) Nous nous parlons chaque jour. Et même deux ou trois fois, certains jours. (Soudain, je réalisai que ces derniers temps, c’était toujours ma mère qui m’appelait.) Je me disais bien que je ne reconnaissais pas le numéro. D’où m’appelles-tu ?

— De mon portable.

— Tu as un portable ? Vraiment ? m’étonnai-je. Et quand as-tu mis la maison en vente ?

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— Tu es trop âgée pour avoir un petit ami…

— Eh bien, un grand ami, dans ce cas. Et je ne suis pas tendue, marmonnai-je. Je me suis fait du souci en ne te voyant pas venir à mon pot de départ, hier soir. Tu as eu une autre migraine ?

— Non. J’étais dans le déni, répondit platement ma mère. J’espérais que tu allais renoncer à abandonner Fakes & Treasures.

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En dépit de la gravité de la situation, je dus combattre une envie de glousser. Toute cette histoire me semblait surréaliste. Gayla n'avait pas disparu depuis vingt-quatre heures que le flic du coin - avec du jaune d'oeuf sur sa chemise - était convaincu qu'un crime avait été commis. Je n'arrivais pas à imaginer la police de Londres se lancer dans une investigation pareille.

Nous attendîmes sans rien dire, pendant que Shawn terminait sa conversation téléphonique derrière les rideaux de brocart. Quand il revint vers nous, son expression était grave.

- Mauvaise nouvelle, j'en ai bien peur. La valise de Gayla a été retrouvée, mais pas le moindre signe de la jeune femme.

Mon estomac se contracta et ma mère me saisit la main. Tout à coup, l'envie de rire nous était passée.

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- Visiblement, Elinor Glyn, qui avait coutume de séjourner au manoir de Honeychurch pendant ce que l'on avait coutume d'appeler les "coquines années 1890", est la première à s'être lancée dans la littérature érotique.

- Jai vu l'un de ses livres dans ton bureau.

- Elinor Glyn est censée avoir été la première it-girl.

- Ce qui signifie ?

- Le fait d'avoir ce truc ou pas. Tu sais, le sex-appeal, expliqua ma mère. Angelina Jolie l'a, cette pauvre Lavinia, non... ni toi non plus, malheureusement, mais tu pourrais, si tu faisais plus d'efforts.

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