Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Les Nuits blanches, c'est d'abord un vrai roman d'amour. Un jeune homme solitaire et romanesque rencontre, une nuit, dans Pétersbourg désert, une jeune fille éplorée. Désespérée par un chagrin d'amour, Nastenka se laisse aller au fantasme du jeune homme, amoureux depuis le premier instant, le berce — et se berce — dans l'illusion, jusqu'à ce que... le fiancé revienne et qu'elle se jette dans ses bras. Dès lors, comme le note Michel Del Castillo dans sa lecture, tout est soudain "marqué au sceau de l'inauthenticité".
La nouvelle traduction d'André Markowicz tire de ce roman un parti stylistique étonnant. Discordante, ironique, la voix que l'on entend ici est bien celle du grand écrivain russe, qui n'a cessé sa vie durant de se battre, au nom de la vérité, contre l'élégance trompeuse, celle des mots et celle des sentiments.
Et vous vous demandez vous-même : Où sont passés tes rêves? Et vous hochez la tête et vous vous dites : Comme les années s'envolent vite ! Et vous vous demandez encore : Qu'as-tu donc fait de tes années? Où as-tu enterré la meilleure part de toi? As-tu vécu ou non ? Attention vous vous dires, attention, tout sur terre s'éteint.
"Pourquoi notre rêveur, fatigué, épuisé, se jette-t-il sur le lit et s'endort-il, dans l'arrêt de sa respiration maladivement secouée par le ravissement avec une souffrance si langoureusement délicieuse dans le cœur ? Oui, Nastienka, on se tromperait et malgré soi on croirait, du dehors, qu'une passion véritable, authentique, trouble son âme, et croirait malgré soi qu'il y a quelque chose de tangible dans ses rêves immatériels"
Un livre qui laisse des marques, des cicatrices. Comme celles que j'ai laissé au livre auquel on peut observer les pages légèrement gondolées suite aux larmes qui ont coulées. Quel livre exquis, délicieusement tragique. Comme les mots du personnage guérit nos maux. Comme la mélancolie nous caresse avec la subtilité du langage le plus poétique. En tant qu'adolescente rêveuse, incorrigible romantique, ce livre ne peut qu'aller dans mes favoris !
Quelle poésie. Le personnage masculin peut nus faire écho sur la solitude et la peur de finir seul. Nous avons un personnage féminin, fougueuse et remplie d'espoir et de certitude.
C'est un faux roman d'amour qui "parodie" la grandeur d'âme et la passion amoureuse à travers la relation d'un jeune homme solitaire et Nastenka (la conasse originelle dépourvue d'authenticité et de valeur 🖕🏻🖕🏻). Purée pourquoi les pires cruauté se font toujours au nom des meilleurs sentiments?!
Parce que le prénom de Nastenka est écrit plus de 138fois dans moins de 60pages, ce livre est la description de l'amour du point de vue d'un rêveur, le brasier d'une existence de quelques nuits qui feront rêver éternellement.
Je suis très heureuse d'avoir commencer les œuvres de Dostoïevski par cette lecture.
Ce fut court mais impactant, triste mais beau et contemplatif mais lyrique.
Je ne sais vraiment comment décrire mon ressenti mais je me suis sentie emportée dans ces ruelles, j'ai eu l'impression d'écouter ces conversations et de visualiser les évènements qui prenaient place dans le récit.
Je pense que j'aurai plus apprécier ma lecture si j'avais lu ce livre d'une traite mais dans tous les cas j'en garderai un très bon souvenir.
J'ai vraiment adoré cette nouvelle bouleversante et déchirante. Le narrateur étant complètement fou amoureux de Nastenka, Spoiler(cliquez pour révéler)qui elle, n'aura même pas cherché à connaître le nom de celui qui aurait tant fait pour elle. Pour le coup, on en vient vraiment à la détester. Même si, certes, elle était amoureuse du locataire, elle aura fait espérer le narrateur rêveur... Je ressens beaucoup de peine pour cet homme solitaire qui avait trouvé la personne pouvant l'aider dans sa vie mélancolique.
Dostoïevski a parfaitement su me faire transmettre des sentiments déchirants et nous plonger dans la malheur du narrateur, ce que j'aime par dessus tout lorsque je lis une oeuvre.
Un petit livre qui se lit très vite et pourtant contient beaucoup.
En peu de pages l’auteur parvient à instaurer une ambiance, une certaine empathie pour son personnage principal et au fil des pages, l’envie de connaître le dénouement de l’histoire.
Le dénouement est un peu triste. Spoiler(cliquez pour révéler)Parfois aimer veut dire laisser partir l’objet de son affection, il faut être reconnaissant de ce que l’on a connu de beau même si ça ne dure pas. La nature humaine est ainsi faite qu’il lui est souvent difficile d’appliquer ces préceptes.
C'est une courte nouvelle qui se lit en une petite heure. J'ai bien aimé l'histoire, les personnages et la temporalité de l'histoire. C'est la première fois que je lisais un auteur russe et ce genre d'histoire.
Résumé
Les Nuits blanches, c'est d'abord un vrai roman d'amour. Un jeune homme solitaire et romanesque rencontre, une nuit, dans Pétersbourg désert, une jeune fille éplorée. Désespérée par un chagrin d'amour, Nastenka se laisse aller au fantasme du jeune homme, amoureux depuis le premier instant, le berce — et se berce — dans l'illusion, jusqu'à ce que... le fiancé revienne et qu'elle se jette dans ses bras. Dès lors, comme le note Michel Del Castillo dans sa lecture, tout est soudain "marqué au sceau de l'inauthenticité".
La nouvelle traduction d'André Markowicz tire de ce roman un parti stylistique étonnant. Discordante, ironique, la voix que l'on entend ici est bien celle du grand écrivain russe, qui n'a cessé sa vie durant de se battre, au nom de la vérité, contre l'élégance trompeuse, celle des mots et celle des sentiments.
Afficher en entier