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Aussitôt son frère parti, le vampire moitié loup-garou saisit ma main qui disparut dans la sienne. Ou j’avais des mains vraiment très petites ou celles de Keir étaient hors norme !

— On se fait un chinois ? me proposa le frère de Liam.

Son sourire joyeux dévoila des canines, ayant certes leur charme, mais qui soulignait un peu trop son ascendance loup-garou à mon goût.

— Quand tu dis : « on se fait un chinois », tu ne penses pas à bouffer le livreur de nouilles, j’espère ?!

Là-dessus, Keir éclata de rire.

— Quelle idée !

Mouais. J’avais vu juste, j’en étais certaine.

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— Oui, je vous ai vue, et oui, c'est du sang.

— Oh.

— Si je ne veux pas me mettre « à dos mon fils unique », je préfère éviter la tentation.

Il se tourna alors vers moi avec un sourire narquois.

Décidément.... Je détestais cette capacité de lire l'esprit d'autrui.

— Tu veux savoir ce que je pense de ce... baiser, n'est-ce pas ?

Emmery fixa le contenu de son verre.

— Eh bien, je suis fasciné... C'est une relation bien étrange que vous avez là. Limite contre nature. Ne te vexe pas, c'est comme si tu tombais folle amoureuse d'une assiette de spaghettis... Mais le monde des vampires n'étant qu'une suite de paradoxes, plus rien ne m'étonne.

Une assiette de spaghettis... rien que ça !

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« Liam mit alors un bras possessif autour de ma taille, démontrant clairement sa position. Un écriteau clignotant « pas touche, c'est à moi » autour de mon cou n'aurait pas été plus efficace ! »

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(Keir)

Celui qui paraissait être le chef lui demanda de l'emmener dans ses appartements, d'un signe du menton, il me fit comprendre de le suivre discrètement.

Chouette !

J'allais peut-être enfin pouvoir lui décoller la tête du reste du corps.

Nous retraversâmes la grande salle... Tiens bizarre... Pas un seul sang chaud dans les environs... Ils étaient partis casser la croûte ?

Le jeune homme ouvrit une porte et une fois qu'Anae fut entrée dans la pièce, il la suivit en me la claquant au nez.

J'avais comme une grosse envie de l'enfoncer d'un coup de pied. J'hésitais toujours à le faire lorsqu'il ressortit brusquement puis la verrouilla avant de me coller un petit objet métallique dans la main.

Génial, ce débile venait de me donner la clef. Plus stupide que lui, tu crèves de mort cérébrale !

- Surveille-moi cette porte comme si ta vie en dépendait ! m'ordonna-t-il.

Pas de problème, abruti !

Je hochai juste la tête façon robot en guise de réponse. Je trouvais cela encore mieux que de lui rétorquer qu'il avait été certainement bercé trop près du mur étant bébé. On n'imagine pas les séquelles que ça engendre.

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D’une part, je tentais de garder ma pudeur sauve en maintenant la couette contre moi, et de l’autre, j’essayais de mettre de l’ordre dans mes cheveux très emmêlés.

- Tu t’attends vraiment à ce que mon dos te réponde ? plaisantai-je d’une voix aigüe sans oser le regarder.

- Wouaaaahh… tes cheveux ! On dirait un nid d’oiseaux !

Je me tournais brusquement vers lui, prête à me battre. Oui, valait mieux se disputer plutôt que subir la gêne de « l’après »

- Dis donc tu t’es regardé ? On dirait une perruche !

Puis je lui donnais un méchant coup d’oreiller sur la figure.

Une surprise comique s’afficha sur son visage.

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Il sourit de toutes ses dents, découvrant ainsi des canines qui dépassaient d’une rangée de dents parfaites, sans que cela soit très choquant.

- Et, que je sache, nous n’avons pas eu non plus ce genre de contact.

- Oh.

- Disons que… Hum, quel que soit le contact et votre niveau de… rapprochement – son sourire s’élargit à ses mots – Liam doit être déjà handicapé par un désir exacerbé, beaucoup plus profond que celui de mon père ou… le mien à ton égard. Ca doit être assez violent pour provoquer une soif proportionnelle. L’amour, le désir… la soif, le tout étant étroitement lié… Tu es surement SON élue… Ce qui expliquerait aussi… Le pauvre… ricana Keir.

J’étais éblouie par la nouvelle. Donc, Liam me désirait intensément. Malgré moi, un sourire rêveur étira mes lèvres.

- Tu veux peut-être comparer ?

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Extrait non corrigé diffusé sur le compte FB de Céline Mancellon le 31/08/2019

"— Anae !

Je grommelai une réponse sans être certaine d’avoir suffisamment articulé pour que Melissa la comprenne. Dans mon esprit, ça ressemblait beaucoup « Laisse-moi dormir encore cinq minutes ».

— A-NA-É ! réitéra-t-elle. C’est quoi ce putain de clebs dans le salon !

J’ouvris immédiatement les yeux. Je fais un cauchemar ? C’est réel ? Oui ? Non ?

— Quel clebs ? baragouinai-je en m’extirpant difficilement de mon lit.

— Celui qui renifle tous les coins de notre appart’ !

Non. C’était impossible. Le gros chien de cette nuit ne pouvait pas être entré chez nous. Je me précipitai dans le salon et découvris qu’effectivement, il était là. Sur le canapé en cuir en train de se lécher minutieusement les pattes avant.

— Ce chien, c’est la réincarnation d’Houdini, ma parole, murmurai-je, estomaquée.

En entendant ma voix, il leva la gueule dans ma direction. Difficile de deviner ce qui pouvait bien se passer dans sa caboche de toutou stalker.

— Je croyais qu’on était d’accord sur le fait de ne pas prendre d’animal de compagnie.

Je jetai un bref regard à mon amie.

— Je n’ai rien pris, c’est lui qui s’est tapé l’incruste ! me défendis-je, tout en désignant le psychopathe canin d’un geste de la main.

Melissa haussa un sourcil avant de croiser les bras sous sa poitrine.

— Tu veux me faire croire que ce chien est rentré tout seul chez nous ? C’est-à-dire, qu’il a tapé le code, a ouvert la porte d’en bas puis celle de notre appartement fermée à clé sans l’aide d’un être humain ?

Oui, alors, forcément, énoncé de cette manière, ça paraissait peu probable, mais le fait est que je n’y étais pour rien s’il était dans notre salon au lieu d’errer gentiment dans les rues.

— Je te le jure, Méli ! Quand je suis retournée me coucher, il était assis sur le trottoir d’en face !

— Quand tu es retournée te coucher ? répéta-t-elle, étonnée.

— Oui, j’ai eu encore une insomnie, alors je suis allée faire un petit tour à vélo en ville et… et ce chien s’est mis à me suivre. Voilà. Franchement, je ne sais pas de quelle façon il a atterri sur notre canapé.

Ma colocataire se rapprocha de moi, l'air soucieux.

— Tu as peut-être eu une crise de somnambulisme puis tu l’as fait entrer. Je ne vois que ça pour expliquer sa présence.

C’était possible, en effet. D’aussi loin que je me rappelais, même avant mes cauchemars avec les goules, mon sommeil n’avait jamais été un long fleuve tranquille. N’empêche que… je posais à nouveau mon regard sur le gros chien noir qui prenait ses aises et me snobait. Pourquoi l’aurais-je invité chez nous ?

Melissa rejeta une partie de sa longue chevelure auburn et bouclée derrière son épaule puis soupira. Mon amie était plus petite que moi, mais bien plus musclée. La sportive féminine par excellence. Surtout dans son tailleur brun de comptable efficace qui soulignait ses courbes. Moi, je trouvais que je ressemblais à un spaghetti. Où étaient mes hanches ? Mes seins ? Je n’avais comme atout que des cheveux châtains aussi raides que des baguettes de tambour qui rejetaient en bloc toute forme de coiffure, même un simple élastique. Quand je sortais chasser la goule, j’étais obligée de les nouer en une longue tresse et celle-ci tenait à peine l’espace d’un combat.

— Bref. Appelle la fourrière. Il se peut que son maître soit à sa recherche et…

— C’est bizarre, la coupai-je, les yeux rivés sur notre invité surprise.

— Toute cette histoire est bizarre ! s’exclama-t-elle avec humeur.

Je secouai la tête.

— Non. Ce que je veux dire, c’est qu’il ne cherche pas à te bouffer.

— Encore heureux ! Il ne manquerait plus que ça !

Je me tournai vers elle.

— Méli. Réfléchis un peu. Depuis que je te connais, chaque chien qu’on a croisé ensemble, du chihuahua au dogue allemand, ils sont tous devenus dingues en ta présence, mais lui, là – je désignai notre squatteur au pelage sombre de l’index – lui, il reste gentiment dans son coin sans chercher à te mordre.

Je n’étais peut-être pas tout à fait réveillée, mais il me sembla que le teint de ma colocataire était devenu subitement un peu pâlot.

— Il est moins idiot que ses concitoyens, c’est tout, suggéra-t-elle en détournant brièvement le regard.

Je plissai les yeux. Quelque chose cloche. Je refixais ensuite mon attention sur le chien noir.

— Essaie de le caresser, lui proposai-je.

De ce que je pouvais en voir, cette idée était loin de l’enchanter.

— Non mais tu es dingue, Anae !

Je lui saisi le bras et la tirait en direction du canapé.

— Mais si. On doit vérifier !

Melissa se débattit. Je n’insistais pas. Elle avait plus de force que moi, de toute manière.

— Hors de question de le provoquer. Déjà que je n’ai pas pu boire mon café à cause de lui, je ne vais pas en plus lui servir de petit-déjeuner. Désolée.

Elle alla chercher son sac. De mon côté, je posais mon postérieur sur l’un des tabourets près du bar qui séparait le salon de notre coin cuisine. Lorsqu’elle revint, je l’interpellai.

— Quoi, encore ?

— Tu ne trouves pas qu’il ressemble plus à un loup qu’un chien ? lui demandai-je.

— Non. Il n’en a pas l’od… il ne ressemble absolument pas à un loup. Et puis, franchement, un loup à Falkirk ? Il faudrait qu’il se soit échappé d’un zoo pour que ça arrive.

Je penchais la tête sur le côté.

— Imagine que ce soit le cas.

Melissa me dévisagea longuement.

— Tu n’as qu’à leur téléphoner.

J’éclatai de rire.

— Je me vois bien leur demander s’ils n’ont pas perdu un canis lupus dans la nuit. Épique. Je finirai sûrement ma journée avec une camisole de force sur le dos. Un aller simple pour l’asile.

Elle me tapota gentiment l’épaule.

— Tu es une artiste. Vous êtes tous excentriques. Ça passerait comme une lettre à la poste, ma chérie.

Sur ce, elle partit au travail en me faisant promettre de contacter la fourrière."

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« Je ne jouerai pas à la loyale, désormais. Pourquoi ? À cause de la force qui me pousse vers elle... cette puissance possédant le monde dans le creux de sa main et dont le nom est « amour ». Nul ne peut la vaincre, pas même moi, l'enragé. Je n'ai jamais rien voulu durant ma chienne de vie... Autant que je l'ai désirée, elle. De son bonheur dépend le mien. »

 

Keir MacDowen...

Les Ombres Brumeuses (livre 1)

Céline Mancellon

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(Anae)

Et la terre s'arrêta de tourner.

On pense toujours trouver ce genre d'émotion surréaliste dans les films ou livres romantiques. Du moins, c'est aussi ce que je pensais : le coup de foudre n'existe pas. Fadaises, rêves, fantasmes pour adolescentes malmenées par leurs hormones.

Alors d'où venait ce choc violent qui me transperçait ?

Des prunelles sombres me dévisagèrent avec intensité, provoquant une jolie envolée de papillons dans mon ventre.

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Quand elle dévoila la rondeur de ses fesses, il ravala difficilement un grognement animal. Il y avait quelque chose qui pulsait dans son corps et il ne savait pas très bien d’où ça venait. Liam tenta de se concentrer dessus, de chercher son origine, et lorsque la réponse apparût dans son esprit, son regard s’ouvrit de stupéfaction. Ses yeux se baissèrent vers son torse. Là, dans sa cage thoracique, il y avait une sorte de battement régulier. Il n’avait pas de cœur. C’était impossible. Dans un état second, il porta une main vers sa poitrine sans vérifier jusqu’au bout si c’était bien ça qui pulsait si fort.

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