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Elle se tourna vers Bowen, le regarda dans les yeux.

— Si tu crois une seconde que je vais coucher avec toi, c’est que tu es complètement maboul.

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— Ses blessures ne guériront plus, expliqua-t-elle. À moins qu’il ne revienne vers moi pour que j’en annule les effets, le sort finira par le détruire.

— Tu as fait de lui un mortel ? demanda Tierney, qui devait être le jeune frère de Tera.

Une telle cruauté les laissa tous sans voix. Tous sauf Cade. Pour autant qu’elle puisse en juger – c’était un démon, après tout –, il semblait même l’admirer.

— Rappelle-moi de ne pas te mettre en pétard, sorcière, lâcha-t-il.

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Alors, un petit conseil : la prochaine fois que tu feras des avances à une femme, essaie de ne pas lui révéler que tu es prêt à effacer toute son existence d'un tour de clé, pour pouvoir retrouver une femme que tu lui préfères de loin, et depuis toujours ! Marika à Bowen.

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Sans prévenir, il posa un doigt sur le tatouage qu’elle avait au creux des reins.

— Qu’est-ce que ça veut dire ?

Elle laissa échapper un petit cri, réaction de surprise mais aussi réaction purement viscérale. Elle aurait aimé s’arcbouter contre sa main et ne comprenait pas pourquoi.

— T’as fini de me mater, un peu ? lança-t-elle sèchement.

— Je sais pas. Dis-moi ce que cette marque signifie.

Mari n’en avait pas la moindre idée. Elle l’avait depuis toujours. La seule chose qu’elle savait, c’était que sa mère reproduisait systématiquement ce signe dans ses lettres. Du moins l’avait-elle fait jusqu’à ce qu’elle abandonne Mari à La Nouvelle-Orléans pour prendre un congé sabbatique de deux cents ans…

Il tapota la marque d’un doigt impatient, attendant une réponse.

— Ça veut dire : « Parier ou boire, c’est à toi de voir. » Maintenant, retire tes pattes de là ou je te transforme en amphibien.

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Bowe avait trouvé étonnant que les deux démons dont Mariketa avait parlé fassent partie de ceux qu'il connaissait. Il avait déjà croisé la route des frères - ils avaient combattu ensemble, plusieurs siècles auparavant - et les avait remarqués à l'Assemblée, brièvement, quand il était parvenu à quitter la sorcière du regard.

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MacRieve se tendit brusquement, et elle suivit son regard. Là, contre le mur du fond, se trouvait un sarcophage, le premier qu'elle ait jamais vu. Il y avait forcément une coiffe à l'intérieur ! Ils se ruèrent simultanément vers le coffre mortuaire et se bousculèrent juste devant. Dans un grognement, il lui attrapa les bras pour l'écarter, puis il marqua un temps d'arrêt et la regarda en fronçant les sourcils. — Je rêve, ou tu envisages de jouer avec moi ? Ses mains glissèrent le long des bras de Mari et se posèrent sur ses hanches. Elle poussa un petit soupir, mal à l'aise. — Qu'est-ce qui te fait dire que je cherche toujours à jeter des sorts ? Elle avait l'adrénaline suffisante, en l'occurrence, mais savait qu'elle ne parviendrait pas à la canaliser. En particulier tant qu'elle sentirait la chaleur de ses mains calleuses à travers l'étoffe de son short.

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Extrait ajouté par Thyda 2015-12-22T22:37:16+01:00

« — Nïx, il faut que tu m'aides.

— Qu'est-ce qui te met dans cet état, loup ?

— Tu avais raison sur toute la ligne. A propos de la Quête, à propos de l'âme sœur que j'allais rencontrer. Toutes tes prédictions se sont avérées. Si tu m'avais dit qui m'avait ensorcelé, on n'en serait pas là, mais bon.

— J'ai dit que tu étais victime d'un ensorcellement, pas d'un enchantement. Et tout le monde savait que Mariketa n'était pas encore une sorcière. Franchement, mon poussin...

Reste calme.

— Mais je suis vraiment désolée que tu aies connu dix-huit décennies de tristesse et de mal heur, ajouta-t-elle.

Pour Bowe, la princesse avait agi aussi mal que la sorcière qui avait tué son père. La seule différence était l'intensité de la douleur. Mais il n'avait pas le temps de penser à ce qu'elle lui avait fait.

— Il faut que je retrouve Mariketa.

Dieux qu'elle lui manquait ! L'absence de sa sorcière était mille fois plus douloureuse que ce que la pire des sorcières pouvait lui infliger.

— Tu l'as encore perdue ? Bowen, tu dois prendre soin de ta captromancienne un peu mieux que ça !

— Nïx!

— J'étais déjà au courant, bien sûr. Elle est partie dans une autre dimension. »

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—Espèce de sorcière concupiscente.

—Embrasse-moi avec fougue, MacRieve. Mets-y du tien.

—Concupiscente et exigeante. Bons dieux, tu me plais.

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Extrait ajouté par eola 2013-12-22T00:39:35+01:00

- Montre-moi ses seins magnifiques, lui murmura-t-il à l'oreille.

- Mais tu viens de les voir!s'écria-t-elle exaspérée, même si elle était secrètement ravie de l'attirance que ses formes exerçaient sur lui.

- S'il ne tenait qu'à moi, petite sorcière, tu serais toujours torse nu.

Elle du se mordre la joue pour réprimer un sourire et accéléra le pas pour qu'il ne le voit pas.

- Tu ne devrais pas plutôt te préoccuper de me sortir de cette jungle en vie ?

- Allez, quoi. Que je me rappelle pour quoi je serais heureux de mourir.

Il était si...garou.Si taquin.Et Mari trouva soudain cela assez...drôle. Elle s'attendait presque qu'il fasse mine de trébucher pour pouvoir lui tomber dessus et lui mordiller le lobe de l'oreille.Et elle était quasi sûre qu'elle aimerait ça.

Elle attendit un instant, le temps qu'il reprenne ses distances et s'imagine qu'elle l'ignorait, puis elle se retourna brusquement en relevant son tee-shirt et son soutien-gorge pour exposer sa poitrine. Il trébucha, se prit les pieds dans une racine et, les mains sur le coeur, tomba à genoux. Elle rabattit ses vêtements, tourna les talons et poursuivit son chemin avec un sourire béat.

Mais en un instant, il fut derrière elle.

- Gentille fille.On peut toucher maintenant ?

Elle le chassa d'un revers de la main.

- C'était pour rire.

- Ne me tente pas. Il n'y a pas dix minutes, tu m'as fait jouir à montrer le blanc des yeux, et je rebande déjà plus qu'avec la première servante que j'ai troussée.

Elle se retourna.

- Mmm...tu voudrais peut-être que je mette un corset et que je me penche sur un seau ?

Il eut du mal à ne pas rester bouche bée.

- Seulement si tu veux voir un homme répandre sa semence dans la seconde.

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Extrait ajouté par Folize 2013-11-14T18:07:37+01:00

Elle frissonna en sentant son souffle dans son oreille.

- Et qu’est-ce qui te fait croire que je vais te laisser faire?

- Tu aimes le sexe, je le sais. Et je t’ai piqué ta solution de substitution. Je l’ai jetée dans une rivière. Il m’a fallu un moment avant de comprendre ce que c’était… et un autre pour arriver à croire que j’avais trouvé ça dans ton sac. Ensuite, t’imaginer en train de t’en servir? Ça m’a mis dans un tel état que j’avais du mal à tenir debout.

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