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Page de ma chronique:

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Extrait de ma chronique:

Les oubliés du dimanche est pour moi une révélation. Ce livre fait partie de mes plus belles lectures de l'année. L'auteur a une très belle plume remplie de sensibilité et de poésie. Ses personnages sont touchants et l'histoire est émouvante. C'est une lecture qui mène à la réflexion, un livre doudou qui une fois en main est impossible à lâcher.

Je vais le poser aujourd'hui dans ma bibliothèque, mais à regret. J'aimerais tellement me replonger une nouvelle fois dans cette lecture et ressentir encore et encore cette magie qui caractérise bien ce livre. Une magie qui fait du bien, qui apaise et donne la pêche.

Les oubliés du dimanche, c'est tout ça à la fois, un livre d'une grande beauté.

Sans mon club lecture je n'aurais jamais lu ce roman, son titre et sa couverture ne m'attiraient pas et son résumé de trois mètres de long encore moi. Par conséquent, dès le début je n'ai pas donné beaucoup de chance à ce roman. 

Depuis le mystérieux accident de ses deux parents, Justine vit chez ses grands-parents. Elle est passionnée par le 3e âge depuis toute petite. Cela explique qu'elle est devenue aide-soignante dans une maison de retraite à 21 ans. Elle passe énormément de temps avec ses patients surtout avec Hélène qui passe son temps à lui raconter l'histoire de sa vie.

Les oubliés du dimanche est découpé en deux parties : les chapitres où  Justine retranscrit dans un journal tout le passé d’Hélène pour pouvoir remettre ce journal à un prénommé Roman.  Et les autres chapitres, on suit le quotidien de Justine, notre héroïne. 

Les chapitres d’Hélène sont la seule chose qui m'a poussé à terminer ce roman. Au fil de notre lecture on construit un puzzle, la vie d’Hélène.  De fil en aiguille, l'histoire prend forme, on commence à comprendre. On est forcément touché par cette petite femme qui a vécu tellement de chose. Nous suivons ses aventures, dès son plus jeune âge, son apprentissage de la lecture, la rencontre avec l'homme qui deviendra son mari, la guerre... Une histoire sublimement mélancolique.  

Cependant, le quotidien de Justine est un peu répétitif,  cela manquait un peu de dynamisme. Justine est une héroïne très touchante, elle est complètement perdue dans ses relations avec les hommes et sa famille. De plus sa relation avec ses patients est très intéressante, j'ai beaucoup aimé découvrir le métier d'aide-soignante. Parallèlement nous allons découvrir les secrets de famille que j'ai trouvée peu crédible et c'est cela qui m'a beaucoup dérangé. 

Un titre et une couverture qui reflètent un sublime roman sur la vieillesse.  On comprend très rapidement la signification de la valise, de la mouette et de la mer. Cependant le titre, on le comprend au fil du temps. Les oubliés du dimanche est souvent cité même dès le début alors on est dans une grande l'incompréhension. De plus j'ai beaucoup aimé faire cette petite enquête qu'on mène indirectement en tant que lecture. Rapidement, le "corbeau"  bouleverse le petit quotidien de la maison de retraite. L'inconnu appel  les familles des patients pour leur faire croire que le membre de la famille est décédé afin qu'ils aient de la visite. Cela m'a fait beaucoup réfléchir sur l'importance de la famille. 

Pour conclure, je suis un peu mitigée, j'ai trouvé que Les oubliés du dimanche était un roman émouvant qui m'a fait beaucoup réfléchir par rapport à la famille, particulièrement de la relation avec ma grand-mère. De plus j'ai trouvé Justine très touchante, vis-à-vis de ses patients. Mais j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup trop de longueur et que l'histoire de famille n'était pas très crédible. 

Un livre tellement doux et attachant! Des personnages qui nous donnent pleins d’emotions Et surtout Hélène a qui on s´attache énormément jusqu’a la fin.

Une belle surprise pour ce livre que je recommande!

Ce livre me laisse perplexe.. je ne peux pas dire que je n’ai pas aimé ni que j’ai aimé... il y a du bon et du moins bon... mais reste quand assez agréable à lire... l’histoire d’Hélène et Lucien est triste mais belle... celle des parents de Justine un peu trop glauque à mon goût

Valérie Perrin est une fée. Ce roman est une pépite. C’est une histoire de famille, de secrets, de mystères, avec une écriture tellement belle, vraie et poétique. Je suis toujours sous le charme de ses écrits. Je n’en ressors jamais indemne. Merci d’exister aussi joliment Valérie et de nous le partager !

Un 1er livre de cet auteur très prometteur !

Le style est différent, accrocheur, saccadé et parfois cru. On aime ou pas, et personnellement j'adore et j'adhère !

Les personnages sont entiers, humains et vivants. On s'attache à eux, on aime écouter leurs histoires. On suit ainsi le passé de Hélène, son amour décousu avec Lucien. Mais aussi le passé de Justine, à la recherche de vérité sur ses parents.

En bref une très belle découverte que je recommande les yeux fermés

Je ne sais comment définir ce livre. J’ai eu un peu de mal à me fondre dans l’histoire puis n’ai finalement pas réussi à le lâcher. Et finalement, il me laisse perplexe. J’ai aimé le côté intergénérationnel et découvrir l’histoire d’Hélène et Lucien mais j’ai eu plus de mal avec l’histoire de Justine, surtout ce qui concerne ses grand-parents.

Une merveilleux moment de lecture, drôle et tendre, touchant, émouvant, un délice !

Ce bouquin ? C’est un polar ! Un polar, j’vous dis, je ne suis le seul à le dire, l’auteure aussi, aux environs de la page 42 (ma liseuse est imprécise sur ce sujet) on est averti : « tout le monde soupçonne tout le monde, on se croirait dans un Agatha Christie sans cadavre. Ça serait drôle d’imaginer un de ses romans où miss Marple enquêterait parce que personne n’est mort… »

Lors d’un récent téléchargement, mon fournisseur, bon commerçant, a sélectionné quelques volumes « Recommandés pour vous » histoire de se sentir chouchouté et personnellement dorloté… par une machine. Parmi les titres proposés "Les Oubliés du dimanche" de Valérie Perrin. Le titre me dit vaguement quelque chose, mais c’est surtout le nom de l’auteure qui m’accroche. Valérie Perrin… voyons voir… Comme cela fait de nombreuses années que j’ai renoncé à encombrer mes étagères de bouquins ramasse-poussière et que ma mémoire défaille, je fais confiance au numérique. En outre c’est plus rapide. Bingo ! Valérie Perrin est l’auteure de "Changer l’eau des fleurs" livre délicat et profond que j’avais beaucoup aimé. Voyons-voir si celui-ci est du même tonneau que celui-là ?

Ainsi, ce livre est le premier roman de Valérie Perrin, laquelle est née à Gueugnon en 1967. "Les Oubliés du dimanche" (2015), a reçu de nombreux prix, dont celui de Lire Élire en 2016. En 2018, elle a reçu le prix Maison de la Presse pour son deuxième roman "Changer l'eau des fleurs". En outre elle est photographe et scénariste et travaille aux côtés de son mari, le réalisateur Claude Lelouch.

Eh bien mes enfants, le scoop ! Les deux livres ont bien été écrits par la même personne ! ADN stylistique à l’appui ! Même délicatesse, même humour, même joliesse, mêmes sauts d’époques d’un chapitre à l’autre, mêmes jeux d’histoires entremêlées ! J’AIME !

À tenir éloigné de tous celles et ceux qui n’ont pas aimé "Changer l'eau des fleurs" pour leur éviter toute souffrance superflue !

"La mouette et le corbeau"…

On dirait le titre d’une fable, ça. C’est une fable, un conte ?

Il était une fois une petite fille, Hélène, à qui la vie ne souriait pas et qui s’apprêtait à faire une grosse bêtise. Au moment de commettre l’irréparable, un choc violant retentit à sa fenêtre. Apeurée mais curieuse elle regarda dans le jardin, sous la fenêtre, et découvrit qu’une mouette était venue s’assommer en se cognant à la vitre. Elle la recueillit, la soigna et lui rendit sa liberté. La mouette d’Hélène (tout un roman) va veiller sur elle sa vie durant, jusqu’à la maison de retraite… qui recèle … un corbeau !

Il était une fois une maison de retraite, Les Hortensias, dimanche, jour de visites, les familles viennent voir leurs anciens, les emmènent au restaurant, s’assurent qu’ils vont bien, ou pas, c’est selon. Mais certains ont beau espérer, personne n’apparaît, jamais. Alors le corbeau s’ébroue et téléphone aux familles annonçant le décès de l’ancêtre lequel tout heureux voit arriver, tout à coup ses proches bien-aimés… Qui est ce corbeau qui se joue des émotions des familles ?

Il était une fois, Justine, vingt-et-un ans, aide-soignante par vocation aux Hortensias, orpheline, élevée par ses grands-parents avec son cousin, Jules, orphelin comme elle, et pour cause, leurs parents sont tous morts dans le même accident de la route…

Et voilà deux histoires qui se chevauchent sans cesse, celle d’Hélène et celle de Justine, au point qu’il arrive, parfois de se demander dans quel roman on se trouve. Quel est le plus romanesque des deux ? À vous de voir. Mais toujours beaucoup de sensibilité et d’émotion à la clé. Gageons que certains trouverons quelques passages un peu trop larmoyants à la commisération excessive. Bon, on veut faire pleurer dans les chaumières… et pourquoi pas après tout, laissons-nous porter. Laissons la censure aux senseurs. Ne gâchons pas notre plaisir, l’écriture est légère, agréable, drôle et souvent poétique et si l’on sent monter l’émotion, pourquoi la rejeter ?

Cela dit, j’ai quand-même préféré le second roman ("Changer l'eau des fleurs") même s’il est le frère jumeau de celui-ci, dans sa conception. Espérons que si troisième roman il y a, Madame Valérie Perrin saura renouveler le genre…

J'ai dévoré ce roman ! Une véritable merveille ! Valérie Perrin a un immense talent pour ce qui est de faire rentrer le lecteur dans l'histoire, comme si il assistait à tout !

J'ai ressenti tellement d'émotions, je me suis beaucoup attachée aux personnages et j'avais l'impression de les connaitre vraiment ! Ça me donne vraiment envie de découvrir les histoires de ces personnes âgées, seules, et qui ont tant de choses à raconter !