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Au château de Fleurville, Camille et Madeleine sont deux « petites filles modèles » qui font la joie de leur maman. Hélas, il n'en est pas de même pour la pauvre Sophie... Battue, fouettée par sa méchante belle-mère, la malheureuse accumule les sottises.
Un jour, Madeleine peignait sa poupée ; Camille lui présentait les peignes, rangeait les robes, les souliers, changeaient de place les lits de poupée, transportait les armoires, les commodes, les chaises, les tables. Elle voulait, disait-elle, faire leur déménagement : car ces dames (les poupées) avaient changé de maison.
MADELEINE - Je t'assure, Camille, que les poupées étaient bien mieux logées dans leur ancienne maison : il y avait bien plus de place pour leurs meubles.
CAMILLE - Oui, c'est vrai, Madeleine ; mais elles étaient ennuyées de leur vieille maison. Elles trouvent d'ailleurs qu'ayant une plus petite chambre elles y auront plus chaud.
MADELEINE - Oh! quand à cela, elles se trompent bien, car elles sont près de la porte, qui leur donnera du vent, et leurs lits sont tout contre la fenêtre, qui ne leur donnera pas de chaleur non plus.
On ne naît pas bon ou mauvais mais l'éducation que l'on reçoit détermine grandement ce que l'on devient par la suite. C'est le message que souhaite laisser la Comtesse de Ségur avec ce livre.
Il s'agit de la suite des Malheurs de Sophie. Cette dernière est maltraitée par sa belle-mère et agit en conséquence. Mais au contact de Camille, Madeleine, Marguerite et de leurs mères, elle va petit à petit devenir une petite fille sage, gentille, bienveillante...
Ce livre, c'est un peu le Super Nanny du XIXème siècle.
Un livre dans la lignée des malheurs de Sophie. C'est toujours plaisant à lire, même si il faut faire avec les moeurs de l'époque. Comme demander pardon à dieu quand on s'est fâché, ou applaudir l'histoire d'une esclave noir qui sait rester à sa place.... (Bon ce passage dure à peine un paragraphe, mais il fait tout de même rire jaune.)
Et je relirai avec plaisir Les Vacances, parce qu'apparemment je ne m'en souvient que très peu ! Je n'avais vraiment aucun souvenirs des cousins mentionnés à la fin, et pourtant c'est celui que je lisais le plus étant enfant...
Un des tous premiers livres que j'ai lu, et j'aime y revenir régulièrement... J'ai toujours adoré toutes les bêtises faites par Sophie, un vrai livré réconfort pour moi
Suite de " Les Malheurs de Sophie " j'ai adoré la lecture de ce grand classique qui trône fièrement dans ma bibliothèque. J'ai aimé suivre les petites histoires de Camille, Madeleine, Sophie et Marguerite... et bien d'autres personnages encore. À nôter tout de même, que ce livre qui est souvent associé à des histoires enfantines comporte des moments troublants et extrêmement douloureux pour les personnages.
J'ai adoré ce second tome ! Bien que ce soit une suite, il peut parfaitement être lu indépendamment des autres livres.
Ce fut très agréable de retrouver cette ambiance et ces personnages. C'est une lecture qui fait du bien, toujours aussi douce, aussi feel good 🥰 Une lecture doudou ❤
Au début, Sophie m'a un peu manqué tout de même, mais j'ai vite appris à apprécier la compagnie de Camille et Madeleine. Et puis, il y a Marguerite. La petite Marguerite, que j'aime beaucoup depuis longtemps, qui est vraiment adorable. Elle non plus n'a pas changé, elle est exactement comme mes souvenirs 🥰 Ce fut un réel bonheur pour moi de partager un moment à ses côtés ! Elle est trop mignonne et adorable !
C'est une excellente lecture à laquelle je ne trouve pas de point négatif... si ce n'est encore une fois la cruauté envers les animaux, heureusement bien moins présente que dans "Les Malheurs de Sophie" ! Parce que justement Sophie devient bien meilleure au fil de ce tome, on peut voir une grande évolution s'opérer en elle.
J'ai préféré ce livre au premier, même si j'ai adoré "Les Malheurs de Sophie" également, mais j'ai pris énormément de plaisir à lire celui-là, et notamment à lire les moments de réconciliation, qui sont vraiment très touchants 🥺
Il me tarde à présent de retrouver tout ce petit monde dans le troisième volume, et de lire les autres personnages que je n'ai pas encore pu retrouver !
Alors. Je sais, c'est un livre de littérature enfantine, qu'il faut prendre en compte le côté "pédagogique" (et moralisateur) et le contexte social et les mœurs de l'époque. MAIS. Je me suis lassée du trop de niaiseries, surtout dans les propos des petites. "Ma bonne Sophie" "ma petite Camille, comme tu es bonne"... Ça aurait pu être doux et tendre comme un bonbon d'enfance qui vous renvoie vers votre enfant intérieur, mais pour moi c'était plutôt répétitif et assez lourd, comme une indigestion d'un trop plein de guimauves. Sinon ça se lit vite, ça passe le temps mais je n'ai pas été réceptive car ça n'a pas été une lecture "nostalgique" pour moi mais une découverte - que je ne regrette pas d'avoir faite cependant.
On suit le quotidien animé de Camille, Madeleine, Marguerite et Sophie. Elles vivent à la campagne en compagnie de Mme de Fleurville (la mère de Camille et Madeleine) et Mme de Rosbourg (la mère de Marguerite) qui se chargent de leur éducation.
En vivant de multiples expériences, les petites filles vont corriger certains de leurs défauts, devenir plus altruistes et plus posées. De plus, un lien amical va s'établir entre elles.
Résumé
Au château de Fleurville, Camille et Madeleine sont deux « petites filles modèles » qui font la joie de leur maman. Hélas, il n'en est pas de même pour la pauvre Sophie... Battue, fouettée par sa méchante belle-mère, la malheureuse accumule les sottises.
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