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Après tout, il fallait parfois renverser le monde pour le comprendre.
Afficher en entierLentement, doucement, j’ai marché et, une fois devant elle, j’ai prononcé le premier mot de la première phase de ma nouvelle histoire.
Je lui ai dit : «Bonjour. »
Afficher en entierCroire était déjà une guérison
Afficher en entierJe me suis promis intérieurement d'être plus attentif aux choses et aux gens.
Afficher en entierLa sérénité des petites joies rendaient les gens plus beaux.
Afficher en entierJ'aimais ce mot : «facile». Personne ne se rend compte à quel point ce mot est beau parce que la plupart des gens oublient ce qu'il veut réellement dire. Il faut éprouver les mots pour véritablement les comprendre.
Afficher en entierJ'ai emporté cette image avec moi. Réconfortante et irradiante.
Afficher en entier"Ne pas souffrir à la hauteur de ceux que l'on aime le plus constitue aussi sans doute une grande tragédie."
Afficher en entier"J'étais en train de me faire du mal. Sur le moment, j'ai eu la sensation que c'était le seul moyen d'extraire de mon corps la voix et les reproches de mon père. Je ne me reconnaissais pas. Le bois dont je semblais être fait craquait ou s'enflammait. C'étaient le feu et la mer noyée en moi."
(Chapitre "Je suis une béance")
Afficher en entierJe m'appelle Moses Laufer Victor. Et encore là, ce n'est pas mon nom de famille complet, mais seulement mon prénom. L'ensemble de mon patronyme donne ceci: Moses Laufer Victor Léonard. Une idée de mes parents. Ils sont psychanalystes.
(...)
Moses Laufer Victor Léonard, seize ans, boiteux, habitant Mobridge, Dakota du Sud. Curieux état civil.
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