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Pp 357, 358
Le soir venu, j’attendis dans le salon que Valek fût prêt à partir. Lorsqu’il descendit enfin de l’escalier, il était en tenue de cérémonie. Des galons rouges ornaient les épaules de son uniforme, des rangées de médailles couvraient la partie gauche de son buste. Il incarnait la dignité et le prestige ; j’aurais été impressionnée, s’il n’avait eu cet air empesé et grincheux. On aurait dit un enfant engoncé dans ses habits du dimanche. Je mis la main sur la bouche, puis, n’y tenant plus, éclatai de rire. –Assez. Je suis forcé de porter cet accoutrement une fois par an, et c’est une fois de trop. Il tira sur son col. –Tu es prête ? Nous nous rejoignîmes devant la porte. Soudain, remarquant que ce costume mettait en valeur le corps athlétique de Valek, je me surpris à penser qu’il serait encore plus beau s’il l’enlevait. –Cela vous va à merveille, dis-je sans réfléchir. Mortifiée, je rougis, tandis qu’une vague de chaleur s’étendait à travers mon corps. J’avais dû avaler plus d’eau-de-vie que je ne l’avais pensé. –Vraiment ? Valek baissa les yeux vers son uniforme, puis redressa les épaules et cessa de tirer sur son col. Son expression irritée laissa place à un sourire pensif. –Absolument, oui.
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