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Mais je n'avais pas pris le temps de le regarder vraiment. C'était une contradiction vivante. Cet homme qui passait des heures à sculpter de figurines délicates était également capable de désarmer sept adversaire sans qu'une goutte de sueur n'apparaisse sur son visage.

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Pp 470

Nous nous dirigeâmes vers la chambre de Reyad mais arrivée devant la porte, je ne pus l’ouvrir. Je me mis à trembler, et mon corps tout entier se couvrit de sueur. Je dus attendre dans le couloir pendant que Valek pénétrait dans la chambre. Lorsqu’il ouvrit la porte, j’aperçu une silhouette massive et sinistre dans un coin : le « coffre à jouets » de Reyad. Si je réduisais se coffre en cendres, mes cauchemars cesseraient-ils ? -Ca m’étonnerait, dit le fantôme de Reyad. Je fis un bond en arrière et me cognai contre le mur. Je n’eus pas le temps de me mordre la main. Un cri de surprise m’échappa. –Je croyais que tu avais disparu pour de bon, chuchotai-je. –Je ne te quitterai jamais, Elena. Je serai toujours avec toi. Ton âme est imprégnée de mon sang, et tu n’as aucune chance de la nettoyer. –Je n’ai pas d’âme, répliquai-je dans un souffle. Reyad éclata de rire. –Ton âme, ma chère est tellement noire que tu ne la vois plus, voilà tout. Quand tu mourras, elle s’enfoncera vers le centre de la Terre, où elle brûlera pour le reste de l’éternité. –Tu dois en savoir quelque chose, dis-je d’une voix sifflante de rage. A cet instant, Valek émergea de la chambre de Reyad. D’une pâleur effrayante, il me fixa pendant si longtemps que je finis par me demander s’il était devenu muet. Enfin il referma la porte derrière lui, dépassa le fantôme sans le voir et s’arrêta devant la porte suivante. Il resta un instant immobile, tête baissée, la main sur le front. –Voilà quelqu’un qui mériterait d’être hanté, dit Reyad en indiquant Valek d’un doigt translucide. Dommage qu’il ne permette pas à ses démons de l’ennuyer ; je connais un roi qui se ferait un plaisir de lui empoisonner la vie. Reyad me regarda. –Seuls les faibles invitent leurs démons à partager leur vie. Pas vrai, Elena? Refusant de répondre, j’emboîtai le pas à Valek. Nous continuâmes nos recherches, mais d’évidence, à part le laboratoire, l’aile était abandonnée. Il ne restait que trois portes fermées. Pendant que Valek crochetait les serrures, Reyad continuait à bavarder gaiement. –Mon père va bientôt t’envoyer me rejoindre, Elena. Je suis vraiment impatient de passer l’éternité avec toi ! Il me jeta un regard concupiscent et agita le doigt comme pour me mettre en garde.

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La douleur dans mon crânes’intensifia. Il y avait une carafe d’eau sur ma table de nuit, je remplis un verre et le vidai d’un trait.– Valek a dit que tu aurais soif. Il est déjà passé plusieurs fois, mais il est très occupé par la dque cette sorcière a eu l’audace d’essayer d’empoisonner le Commandant !         élégation. Dire – Ce n’est pas elle. Rappelle-toi, elle a servi les trois verres du même flacon. C'est forcément quelqu’und’autre

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Ma première tâche consistait à ouvrir le petit cabinet de bois dans lequel Valek gardait mon antidote.J’espérais que la recette s’y trouverait également. Ce ne fut guère difficile. Une fois la porte ouverte, j’allumaiune petite lanterne et examinai le contenu du cabinet. Des bouteilles de verre de formes et de taillesdifférentes brillaient dans la pénombre. La plupart portaient une étiquette ornée d’une tête de mort. A présent,je devais me dépêcher. Je fouillai le cabinet de fond en comble, mais ne trouvai qu’une grande bouteilled’antidote. J’en versai quelques doses dans la flasque que je portais sur moi ; je ne pouvais en préleverdavantage sans que Valek s’en aperçût

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J’avais, moi aussi, une mission de reconnaissance à mener. La veille du départ des généraux, je me lançaienfin. Je savais que Valek serait retenu auprès du Commandant jusqu’à une heure tardive de la nuit.  Endébut de soirée, je quittai Ari et Janco devant la porte de notre suite, prétextant vouloir me coucher tôt. Uneheure plus tard, je me glissai dans le couloir.Le château n’était pas aussi désert que je l’avais espéré, mais le bureau de Valek, heureusement, était unpeu à l’écart des axes principaux. Je m’en approchai avec précaution, balayant les alentours du regard

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J’ai horreur des mystères. Voilà quinze ans que je respecte le secret du Commandant au sujet de sonsuccesseur. Mais ce soir, la tentation a été trop forte. Les généraux étaient tellement soûls que j’aurai pudanser sur leurs lits sans les réveiller. En plus, ils n’ont pas un brin d’imagination. Ils ont tous  rangél’enveloppe du Commandant dans leur mallette en cuir. Tiens, aide-moi à déchiffrer ça. Il me tendit un petit bout de papier sur lequel étaient griffonnés des lettres et des chiffres. Je compris qu’ils’était introduit dans les chambres des généraux et avait recopié les huit parties du message codé.  Je medemandais pourquoi il se confiait à moi. Trop curieuse pour le questionner, je pris une chaise et m’installaiface à lui

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Après deux rapels, les danseurs quittèrent la pièse. Irys se leva alors et proposa un toast. Le sitiens avaient aportés leur meilleur cognac; elle ne servit au Commandement et à Valek. Elle ne sembla pas offensé lorsque le Commandement me tendit le sien.

Je fis tournoyer le liquide ambré dans le verre ses effluves intense. Puis je pris une petite gorgée , le roulia dans ma gorge... et recrachai aussitot. Suffocante, secouée par des hauts-le-coeur je tentai d'expulser de ma bouche les dernières gouttes de liquidde. Valek me dévisagea, alarmé.

-Mon Amour, dis-je d'une voix étranglée.

D'un coup de coude Valek fis tomber les deux autres verres dont le contenu se deversa sur la table. Puis il se forma en une tache noire, et les murs se couvrirent de sang.

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« What have I earned from you, Valek? Loyalty? Respect? Trust?”

“You have my attention. But give me what I want, and you can have everything. »

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– Un ordre d’exécution n’a jamais réussi à nous séparer. Il y a des moyens de le contourner. Nous nous retrouverons, Elena.– C'est une menace ?– Non, une promesse.

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Passant le doigt sur mon pendentif, je me demandai, pour la centième fois, pourquoi Valek n’était pas venu me dire au revoir.Soudain, devinant un mouvement au loin, je me levai d’un bon et empoignai ma canne. Une ombre se détacha des arbres et avança vers le campement. Irys avait créé une barrière magique autour de nos tentes, censée nous abriter des regards… Mais cela ne semblait avoir aucun effet sur l’intrus. Il s’arrêta tout près des tentes et me sourit. C'était Valek.Il me tendit sa main. Je serrai ses doigts froids dans les miens et me laissai entraîner loin des tentes, dans la forêt. – Pourquoi n’est-tu pas venu avant notre départ? lui demandai-je.Nous nous étions arrêtés au pied d’un grand chêne. Ses racines massives avaient creusé le sol, formant des creux douillets.

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