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Ils avaient appris à vivre dans l'ombre, furtivement, à sortir surtout la nuit et à craindre les hommes. Et soudain, ils commencèrent à réaliser leur force et à prendre goût à la chair humaine. À leurs dents tranchantes comme des rasoirs, à leur nombre, venait s'ajouter une arme supplémentaire : l'horreur et le dégoût qu'inspirait leur multitude grouillante. Bientôt, on découvrit les restes ensanglantés des premières victimes...
La vieille maison était inhabitée depuis plus d’un an. Solitaire et grise, elle se dressait au bord d’un canal désaffecté, à l’écart de la route dont la séparait une végétation retournée à l’état sauvage. Nul ne s’aventurait jamais dans les parages, elle ne suscitait plus guère d’intérêt. Les gamins du voisinage avaient bien entrepris de casser quelques carreaux, mais eux-mêmes avaient fini par se lasser du silence qui, seul, faisait écho au fracas du verre brisé. Quant aux autres, leur ultime manifestation d’intérêt remontait au jour où l’on avait emmené la vieille femme.
Tout d'abord, ce que je n'ai pas apprécié dans ma lecture : le texte a mal vieillit, les dialogues sonnent faux et il a de nombreux passages misogynes.
En revanche, les scènes d'action avec les rats sont parfaites. Mais c'est un peu répétitif, je ne poursuivrai pas la trilogie.
Un jeune professeur de dessin londonien voit sa ville envahie par des hordes de rats mutants plus grands, plus féroces et surtout plus intelligents que les autres rats. La vétusté des quartiers pauvres, les ruines d'immeubles détruits pendant la Seconde Guerre mondiale et surtout l'apathie des hommes politiques en place rendent son combat et celui de ses compagnons contre les monstres mangeurs d'homme encore plus difficile.
L'un de ses élèves arrivés en retard se fait mordre par un rat. Il l'emmène lui-même à l'hôpital et apprend le décès du gamin, des suites de la morsure, le lendemain.
Les médecins sont perplexes, parce que la leptispirose peut effectivement entraîner la mort, mais la période d'incubation est infiniment plus longue. Mais en général, elle se soigne très bien avec des antibiotiques.
Un roman qui donne des frissons et provoque des cauchemars, d'autant que la fin est ouverte.
Un court roman très efficace servi par des personnages humains. J'ai particulièrement apprécié la façon dont Herbert introduit régulièrement des personnages, certes anecdotiques mais dont les destins ne laissent jamais de marbre. Seul bémol, l'implication trop facile dans l'affaire du personnage principal mais une très bonne lecture. Je lirai les autres, c'est sûr !
Londres, les années 70. Apparitions de gros rats bodybuildés, visiblement plus intelligents et nettement plus agressifs. Ils n'ont peur de rien et surtout pas d'attaquer les hommes. La morsure est mortelle en 24h. Une course contre la montre s'engage entre les dératiseurs et les rats. (un couple de rat peut engendrer 5.000 descendants en une année).
Un roman assez rapide à lire (180 pages). L'auteur essaye de développer un peu ses personnages, leur donner une histoire, mais on a sincèrement l'impression que c'est du remplissage. (C'est peut être une peinture de la société de l'époque, mais je suis resté dehors).
Les rats attaquent joyeusement et le sang coule, mais le compte n'y est pas. En matière d'horreur, le frisson est absent. C'est fade. Un rat avec une morsure mortelle, ça vaut bien un zombie, mais l'histoire de Herbert manque d'enjeu plus global. Et son style (la traduction ? ) ne rend pas le côté horrifique.
Le roman pêche aussi par l'absence d'explications, un peu plus de science (ou pseudo science hein, je ne suis pas trop regardant) n'aurait pas nui.
L' effet de terreur est permanent, et les scènes d'horreur ponctuent régulièrement des chapitres qui se lisent très rapidement. En aucun cas le rythme ne faiblit, et c'est avec un réel plaisir que je me suis délecté de cette lecture.
Même si vous souffrez de la phobie des rats, je vous conseille de ne pas passer à côté de cette oeuvre bien écrite.
On rentre assez vite dans le vif du sujet, avec plusieurs attaques de rats le même jour. Les morts arrivent très vite. Comment vont réagir les habitants et les responsables politiques de Londres ? D’autant plus que ces rats semblent plus gros et plus intelligents que la moyenne. Harris, un prof, va être pris dans la tourmente de cette histoire, ainsi que les élèves de son école, les rats avançant vers eux. La panique peut commencer… Très bon livre qui vous fera détester les rats.
Un excellent roman d'horreur, des scènes bien gores, des personnages bien dessinés et surtout des rats, beaucoup de rats. On se sent un peu nerveux après ça et on se surprend à regarder autour de soi dans les transports en commun...
Un court thriller horrifique narrant l'apparition et l'invasion londonienne de gros rats noirs aux dents comme des coupe-choux, porteurs d'un virus fulgurant. Ce n'est pas que l'intrigue, somme toute banale -mais absolument accrocheuse- qui fait qu'on reste scotché aux pages qui défilent. C'est également le style d'écriture, naturel et surtout très visuel, de l'auteur qui nous amène à voir et à vivre ce quartier de l'East End où James Herbert est né en 1943.On s'attache tout aussi facilement aux personnages "vivants" de ce quartier populaire. Mais ne fraternisez pas trop... les rats sont à l'oeuvre et vous raviront vite l'espoir de vous en faire un jour des amis...Exception faite du protagoniste, professeur de dessin et témoin, dès le départ, des événements horrifiants et sanglants qui iront en s'intensifiant. Est-ce que Harris, le prof', est un alter ego de l'auteur qui s'interroge (e.a.) sur la situation sanitaire déplorable dans la capitale anglaise, encore tant d'années après la 2e guerre mondiale ? On sympathise rapidement avec cet homme qui sait réfléchir, décider et agir. C'est d'ailleurs lui qui nous conduit vers l'élément fantastique dans ce 1e roman de l'auteur... à moins qu'il s'agit encore d'autre chose ? Il n'y a qu'une façon de le découvrir, il va falloir lire le deuxième tome sans trop tarder !
Résumé
Ils avaient appris à vivre dans l'ombre, furtivement, à sortir surtout la nuit et à craindre les hommes. Et soudain, ils commencèrent à réaliser leur force et à prendre goût à la chair humaine. À leurs dents tranchantes comme des rasoirs, à leur nombre, venait s'ajouter une arme supplémentaire : l'horreur et le dégoût qu'inspirait leur multitude grouillante. Bientôt, on découvrit les restes ensanglantés des premières victimes...
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