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A travers ce recueil de poésie, Du Bellay nous fait part de ses sentiments et de sa nostalgie du pays lorsqu'il débarque dans l'Italie du XVIème siècle. Ce pays qu'il pensait être un modèle de bienséance et de respect va vite devenir un lieu malfamé où des complots se forment.

Je n’ai pas du tt aime lire ce livre car lire des poèmes est compliqué et en plus ils étaient en vieux français.

C'est un livre que j'ai découvert lors de ma formation en troisième année de Licence de Lettres dans l'enseignement littérature du XVI. Si vous voulez comprendre le recueil, et je vous le dis sincèrement, ayez une grande connaissance de l'auteur, de sa vie, de la vie politique actuelle et des autres "événements" de l'époque. Sinon, vous serez totalement perdu.

En ce qui concerne le fond du recueil, il est très riche et nous transporte dans ce qu'est une poésie riche et bien écrite.

Alors voilà, j'ai lu Les Regrets. Ça m'a fait aimé la poésie mais j'ai fini par trouver ça lassant... Il y'a un nombre incalculable de sonnets, tous aussi intéressants les uns que les autres (surtout le n°9 :)) qui témoignent d'une très belle écriture de Du Bellay.

Je n'ai lu que Les Regrets

Comme pour n’importe quel autre recueil, la qualité des poèmes est loin d’être constante et je dois bien avouer que la plupart n’ont pas vraiment su me toucher – même si heureusement ce n'était pas le cas de tous. À ma décharge, mon édition est en ancien français : déjà que la poésie n’est pas ce qu’il y a de plus facile à comprendre, vous imaginez bien que dans une langue qui ne nous est pas familière, c’est encore plus difficile… En plus, le glossaire ne m’a pas été d’une grande aide, les mots « traduits » n’étant signalés par aucun astérisque – ça ne motive pas à y jeter un œil.

Pour autant, j’ai apprécié la variété globale des thèmes abordés : oui, la tristesse et la mélancolie de du Bellay transparaît dans nombre de ses poèmes, mais déclinées sous des formes diverses. Sans parler d’autres poèmes qui n’ont pas grand-chose à voir avec tout ça, abordant notamment et de manière plus prosaïque la vie à la cour (sous forme de conseils) ou à Rome. Rome qui est d'ailleurs au cœur des Antiquités (oui, mon édition est plutôt complète) sans que ça ne soit redondant puisque ce sont sa grandeur passée et sa déchéance qui sont ici abordées.

On ne peut donc pas dire que ce fut une excellente lecture d’autant que l’ancien français a freiné ma compréhension des poèmes, mais j’ai apprécié malgré tout de découvrir l’œuvre de du Bellay qui s’avère plus riche que ce que j’avais pu le croire de prime abord.

Bon, j'ai aimé parce que c'est de la poésie et que j'aime la poésie mais Du Bellay.... enfin, vous connaissez

Une lecture en demi-teinte : quelques belles pièces côtoient beaucoup d'ennui.

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Plus qu'à ma première lecture, j'ai été sensible au caractère critique et satirique de la plupart des sonnets, qui arrivent à être savoureux. De même, certaines déplorations du pays absent et de la prison romaine (plus rares, malgré le titre du recueil) arrivent à des sommets du lyrisme, cristallisé autour de l'exil.

Malheureusement, la plupart des pièces m'ont surtout laissé indifférent...

Joachim Du Bellay que j'ai découvert il y a quelques années, pour mon plus grand plaisir.

De beaux poèmes sur le sentiment de regret, de la nostalgie et de la tristesse. Pendant son voyage à Rome, Joachim Du Bellay écrit ces poèmes pour exprimes ses regrets quant à cette séparation.