Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
« Tu as hérité de son rêve de liberté. Et Dieu sait à quel point il brise les cœurs dans cette famille, ce rêve-là... »
En 2018, Emy Callaghan, jeune éditrice à Boston, ouvre le premier de six carnets vieux de plus de vingt ans…
En 1993, Angel Mitchell revint à Harrison, petite ville côtière de la Caroline du Nord. Fief des Mitchell, l’une des familles les plus puissantes du pays. À vingt-deux ans, sorti major de sa promotion à Harvard, il en est le plus jeune héritier. Destiné à siéger au conseil d’administration de Mitchell Corp, et à épouser la fille du sénateur Preston, son avenir est déjà tout tracé. Il marchera sur les pas de son père, de son grand-père et de tous les Mitchell avant ça. Et s’il a du talent pour l’écriture, s’il remplit les vieux carnets de sa mère de ses nouvelles, c’est pour lui rendre hommage, elle qui écrivait tant de poésies. C’est aussi pour rester proche de lui, de ce garçon qu’il a aimé en secret des années plus tôt. Ce fils de pécheur, ce fils de Masboro Island.
Jay.
À Harrison, dans le sud conservateur, alors que l’homosexualité vient juste d’être retirée de la liste des maladies de l’OMS, alors que l’on parle encore du cancer gay, alors que les centres de conversions sont encore jugés comme une bonne solution, il n’y a aucune place pour les différences. De cet amour, Angel ne garde qu’un vieux polaroïd et un soir de pluie qui le hante encore. Le soir où Jay l’a protégé. Le soir où il s’est enfui, caché sous une capuche pour que personne ne puisse le reconnaître. Et si les années ont tissé cette haine envers les Mitchell, envers Angel, Jay ne l’a jamais trahi.
Aujourd’hui Angel voit les murs de son monde se resserrer autour de lui. Il étouffe. Et sa seule liberté reste ces mots qu’il écrit pour Jay.
Et les mots ont un pouvoir…
Les mots sont des ponts pour que d’un monde à l’autre on puisse toujours se retrouver.
« C’est lui, la rose Cherokee. La rose qu’on espère voir le matin, durant cet instant juste avant l’aube, lorsqu’on peut encore tout imaginer. Et tout rêver… »
Lily Haime nous plonge au début des années 90 dans une Amérique conservatrice où l’homosexualité est considérée comme une maladie et où le SIDA (encore appelé le cancer gay à cette époque) fait rage.
C’est l’histoire de Angel et de Jay, deux êtres que tout oppose.
Deux jeunes garçons de 16 ans qui malgré les différences, malgré l’interdit, vont tomber amoureux.C'est dur aussi de s'imaginer qu'en 1993 on essaie encore soigner l'homosexualité. C'est pas si vieux... J'ai adoré cette histoire et j'ai tellement hâte de retrouver les héros. Il y a des livres comme ça ou tourner la dernière page nous procure un manque... l'impression de perdre des amis, que les personnages nous donnent beaucoup d'eux même pour tout nous reprendre trop vite...
Pas seulement une romance, ce livre est aussi une photographie de l'Amérique bien pensante des années 90. On est plongés dans un tourbillon de sentiments contradictoires, c'est, une fois de plus, une réussite
J’ai ADORÉ les personnages (sauf quelques exceptions dont le père d’Angel et le petit amie de Jay🙃), l’histoire, l’écriture et la fin est tout simplement géniale ❤️🔥🤩
J’espère que le tome 2 vas être aussi bien 🤧🙌🏼
« — Que c’est lui, la rose cherokee. Vous savez, comme dans Les Amours contraires. La rose qu’on espère voir le matin, durant cet instant, juste avant l’aube, lorsqu’on peut encore tout imaginer. Et tout rêver. »
« Je m’en allai, emportant avec moi cette sensation oubliée.
Nous suivons l’histoire d’Angel et Jay. Deux garçons qui évoluent dans un monde où tout est fait pour les séparer : ils sont deux hommes qui s’aiment, ils viennent de deux milieux totalement opposés, les thérapies de conversion contre les gays sont toujours d’actualité alors même que l’homosexualité vient d’être retiré de la liste des maladies de l’OMS, dans un état conservateur qui plus est.
On rencontre de l’amour sous toutes les formes : fraternel, amical, amoureuse. De l’amour le plus pur à un amour bien plus brut.
Nous avons Angel Mitchell, qui nourrit un amour pour les mots, comme sa défunte maman si douce, mais qui doit se plier aux exigences d’un père intransigeant envers son fils destiné à reprendre l’empire familial et promis à une fille de bonne famille. Puis, nous avons Jay, ce garçon un peu brut, vivant dans les bas quartiers d’Harrison, adopté par un humble pécheur. J’ai eu le cœur déchiré devant les épreuves face à laquelle Angel et Jay ont dû se battre pour simplement pouvoir être ensemble.
La force des sentiments qui les habitent est dingue. On aimerait tous être aimé par quelqu’un, comme Jay et Angel s’aiment, un jour dans notre vie.
Ils s’aiment, se détestent, s’attirent et se repoussent. On les voit pardonner, reprocher, se perdre, se reconstruire. Mais s’il y a bien un sentiment qu’ils ont en commun, c’est qu’ils se sentent prisonniers. Angel, en haut de sa cage doré, qui ne peut pas avouer à sa famille qui il aime, gardant pendant des années, cachée au fond d’un livre une simple et unique photo. Jay, qui se sent trahi, pris au piège de ses sentiments malgré lui, de son statut, de sa façon d’aimer. De la personne qu’il aime.
J’ai une grande partie des livres de Lily Haime dans ma bibliothèque. Tous m’ont touché à des degrés différents. Mais si je devais en conseiller qu’un seul, ce serait celui-là. Il m’a touché en plein cœur, fait pleuré, détester certains personnages, comme aimer d’autres. Il est mon livre n°1. Tout simplement.
C'est le premier mot qui m est venu quand j'ai refermé ce livre.
L'histoire d'Angel et de Jay est déchirante , douloureuse , merveilleuse , touchante.
En lisant 1993, j'ai pris conscience d'à quel point le monde pouvait être différent et injuste.
1993, j'ai l'impression que c'était hier, et pourtant, l'OMS venait à peine de declasser l'homosexualité comme étant une maladie mentale. C'est juste dramatiquement fou...
Angel est le fils d'un puissant magna des affaires. Sa vie est déja toute tracée, il prendra les rennes de l'affaire familiale, épousera une jeune femme de bonne famille et fera de jolis bébés. Mais voilà, Angel aime la musique des mots, marcher pieds nu et surtout, il tombe follement, eperdument, amoureux du ténébreux Jay.
Quel chemin choisira t'il ? Le chemin balisé par les convenances, ou celui plus sauvage de son coeur ?
J'ai lu beaucoup de livres de Lily , mais celui-ci fait partie, définitivement, de ceux dont je me souviendrai. Angel et Jay m'ont touchée, remuée, passionnée.
Une écriture merveilleuse, poétique, qui chante les sentiments .Une ode à l'amour, au courage et aux rêves. Je ne peux que vous conseiller cette jolie rose Cherokee, vraiment <3
Lily Haime nous plonge au début des années 90 dans une Amérique conservatrice où l’homosexualité est considérée comme une maladie et où le SIDA (encore appelé le cancer gay à cette époque) fait rage.
C’est l’histoire de Angel et de Jay, deux êtres que tout oppose.
Deux jeunes garçons de 16 ans qui malgré les différences, malgré l’interdit, vont tomber amoureux.C'est dur aussi de s'imaginer qu'en 1993 on essaie encore soigner l'homosexualité. C'est pas si vieux... J'ai adoré cette histoire et j'ai tellement hâte de retrouver les héros. Il y a des livres comme ça ou tourner la dernière page nous procure un manque... l'impression de perdre des amis, que les personnages nous donnent beaucoup d'eux même pour tout nous reprendre trop vite...
Une plume envoutante. Deux êtres qui se cherchent malgré les obstacles et le temps, malgré les blessures, la colère, les secrets. Un roman qui montre le mal que peut faire la famille, l'amour. Une histoire qui montre à quel point rêver est important pour pouvoir voler.
J'aurais aimé lire les textes écrits par Jay et Angel.
J'ai acheté ce livre sur un coup de tête. Je voulais lire du Lily Haime, et j'ai acheté ce tome un peu au hasard, parce que j'ai confiance en cette auteure. Je sais que je lirais quelque chose de beau, quelque chose qui saura m'émouvoir, me faire pleurer. Quelque chose de si bien écrit que j'y croirais. Et j'y ai cru. C'est si beau, si touchant. J'ai pleuré. Beaucoup pleuré, je l'avoue.
Que dire ? Lily Haime m'a transporté. Au début, je me suis demandée comment elle allait diriger son roman, et lorsque j'ai compris, j'ai trouvé que c'était une très bonne idée. Ça change des romances classiques. On pourrait dire que ce n'est qu'un détail, qu'un petit quelque chose ajouté au début et à la fin du roman, qu'on pourrait même s'en passer. Peut-être, mais ce sont les détails qui font la différence ! On passe de 2018 à 1993. J'adore ce saut dans le temps. J'ai aussi aimé le contexte dans lequel elle nous emmène, dans cette mentalité de 1993. C'est un grand truc de Lily Haime, appuyer sur les problèmes de société, le racisme, la suprématie des riches, les préjugés, etc. Il y a tout ça dans ce premier tome. Il y a cette addiction que je recherche, ces sentiments, si forts, que j'en ai des papillons dans le ventre, que j'en pleure.
Je me suis beaucoup attachée aux personnages, que ce soit Angel, Jay, ou même April. Je les trouve très humain, et c'est sans doute ce qui fait toute la force de cette histoire. Comme souvent, j'ai apprécié le dilemme que nous propose l'auteure. On part déjà avec ce sentiment d'injustice, qu'il va y avoir un choix, un choix crucial, inévitable. Un choix qui va nous crever le coeur comme il tue le personnage principal. On part de ce contexte où Angel est un héritier d'une famille importante, qu'il doit, comme tout héritier, être parfait, entrer dans le moule que son père, que la société lui impose. Et forcément, ce n'est pas ce qu'il veut. On a Jay, ce gamin qui n'est pas des hautes sphères, qui n'est pas comme les autres par sa façon d'être lui. Juste lui. Et d'aimer un autre garçon. Cette histoire c'est une histoire de mensonge, de sentiments étouffés, d'image. J'aime cette histoire parce qu'elle montre une partie de ce qu'est notre société moderne : une image. Il n'y a que ça qui compte. L'image, les résultats, l'avis extérieur. Angel et Jay se confronte à cette dure réalité, à cette mentalité qui a tant de mal à s'effacer. Mais c'est aussi le cas de Miki et de la fiancé de Nathanaël. Il n'y a pas que Angel qui est coincé dans cette prison qu'impose la société. Certains personnages secondaires le sont aussi, d'une manière différente, mais ils le sont. Et c'est une grande force de cette histoire.
Je trouve Angel très attachant dans sa façon d'être humain, d'avoir des émotions vives, de prendre sur lui, de tout relâcher quand ça déborde. Il fait des erreurs, a des défauts, mais aussi des qualités. Je trouve dommage par contre que son père soit montré sous un seul jour. D'accord, c'est le principe, mais j'ai l'impression que ce personnage n'a qu'une seule facette, et je l'en trouve moins crédible contrairement aux autres. Le personnage qui m'a plus surpris est April. Je ne vais pas dire pourquoi, ça gâcherait l'effet. Mais April n'est pas tant un personnage à détester. En fait, au début elle m'était indifférente, puis je l'ai prise en pitié et maintenant je ne sais plus comment l'aborder. Mais je suis contente de voir qu'elle est humaine, elle aussi.
Quant à Jay. Ah Jay. On en sait très peu sur lui en vérité. J'espère vraiment que je vais pouvoir en apprendre plus sur lui, le découvrir tel qu'il est, dans le tome 2. Je pense qu'il réserve encore beaucoup de surprises !
Parlons un peu de la fin de ce tome. J'ai été très surprise ! Vraiment très surprise par les dernières pages ! Autant par April que par la décision d'Angel ! En réalité, je m'attendais à tout l'inverse ! Je ne peux pas trop détailler car ça spoilerait mais c'est une surprise qui m'est autant agréable qu'angoissante. Je ne sais pas du tout à quoi m'attendre pour la suite. Je sais que Lily Haime nous réserve quelque chose qui va tout mettre par terre. Elle le fait souvent, elle torture toujours ses personnages et ses lecteurs, au moment où l'on s'y attend le moins. Mais contrairement à d'autres de ses histoires, je ne peux pas dire quoi. D'habitude, on peut sentir la bombe arriver. Là, je n'ai pas idée de la nature de cette bombe. C'est assez stressant. Je n'ai pas envie de jeter mon livre en lisant. Mais c'est aussi ce qui fait que j'aime ses romans. Alors la fin de ce tome 1 m'angoisse pour la suite, même si j'adore et que je vais quand même lire.
Bref, je ne vais pas en rajouter plus, pas parler non plus de l'écriture si singulière de Lily Haime. J'ai dévoré ce premier tome, je suis tombée amoureuse de la relation Angel/Jay, et j'ai vraiment hâte de voir où l'auteure va m'emmener dans la suite.
Je conseille vivement ce roman pour ceux qui aiment les histoires ultra touchantes !
Résumé
Résumé ~ Les Roses Cherokees ~Tome 1 : 1993
« Tu as hérité de son rêve de liberté. Et Dieu sait à quel point il brise les cœurs dans cette famille, ce rêve-là... »
En 2018, Emy Callaghan, jeune éditrice à Boston, ouvre le premier de six carnets vieux de plus de vingt ans…
En 1993, Angel Mitchell revint à Harrison, petite ville côtière de la Caroline du Nord. Fief des Mitchell, l’une des familles les plus puissantes du pays. À vingt-deux ans, sorti major de sa promotion à Harvard, il en est le plus jeune héritier. Destiné à siéger au conseil d’administration de Mitchell Corp, et à épouser la fille du sénateur Preston, son avenir est déjà tout tracé. Il marchera sur les pas de son père, de son grand-père et de tous les Mitchell avant ça. Et s’il a du talent pour l’écriture, s’il remplit les vieux carnets de sa mère de ses nouvelles, c’est pour lui rendre hommage, elle qui écrivait tant de poésies. C’est aussi pour rester proche de lui, de ce garçon qu’il a aimé en secret des années plus tôt. Ce fils de pécheur, ce fils de Masboro Island.
Jay.
À Harrison, dans le sud conservateur, alors que l’homosexualité vient juste d’être retirée de la liste des maladies de l’OMS, alors que l’on parle encore du cancer gay, alors que les centres de conversions sont encore jugés comme une bonne solution, il n’y a aucune place pour les différences. De cet amour, Angel ne garde qu’un vieux polaroïd et un soir de pluie qui le hante encore. Le soir où Jay l’a protégé. Le soir où il s’est enfui, caché sous une capuche pour que personne ne puisse le reconnaître. Et si les années ont tissé cette haine envers les Mitchell, envers Angel, Jay ne l’a jamais trahi.
Aujourd’hui Angel voit les murs de son monde se resserrer autour de lui. Il étouffe. Et sa seule liberté reste ces mots qu’il écrit pour Jay.
Et les mots ont un pouvoir…
Les mots sont des ponts pour que d’un monde à l’autre on puisse toujours se retrouver.
« C’est lui, la rose Cherokee. La rose qu’on espère voir le matin, durant cet instant juste avant l’aube, lorsqu’on peut encore tout imaginer. Et tout rêver… »
~Sortie : Décembre 2018 ~
Afficher en entier