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SCOTT WALDRON MATE LES MECS DANS LES DOUCHES DU GYMNASE, MDR.

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Grimalkin me fixa d'un regard solennel et ajouta :

- La Faérie elle-même se meurt, ma petite. Elle rétrécit de décennie en décennie. Trop de progrès, trop de technologie. Les mortels ne croient plus en rien, en dehors de la science. Même les enfants délaissent les vieilles histoires; ils ne s'intéressent qu'aux gadgets, aux ordinateurs, aux jeux vidéo. Ils ne croient plus à la magie ni aux monstres. A mesure que les villes se développent et que la technologie envahit le monde, la croyance et la l'imagination se tarissent, et notre monde s'efface.

- Que peut-on faire ? chuchotai-je.

- Rien, fit Grimalkin en se grattant l'oreille. Soit le pays des fées survivra jusqu'à la fin du monde, soit il disparaîtra d'ici quelques siècles. Un jour ou l'autre, tout finit par mourir. Si tu n'as pas d'autres questions, nous ferions mieux de nous mettre en route.

- Mais si le pays des fées disparaît, tu mourras, toi aussi ?

- Je suis un chat, dit-il, comme si c'était une réponse suffisante.

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– C’est le moment où tu m’annonces que tu vas me tuer ? chuchotai-je.

Les lèvres d’Ash se retroussèrent, et une lueur d’amusement se mit à pétiller dans ses yeux.

– En réalité, dit-il, je n’en ai plus tellement envie. Les choses ont pris une tournure bien trop intéressante.

Des pas résonnèrent dans le couloir. Ash lâcha ma main et s’écarta brusquement de moi.

Il croisa les bras sur sa poitrine et s’adossa contre le mur, à l’instant même où Puck entrait dans la chambre, suivi de Grimalkin.

J’inspirai profondément et priai pour que mon visage écarlate soit caché dans l’ombre.

Puck lança un regard suspicieux à Ash, puis se tourna vers moi avec un sourire penaud.

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Le temps se figea. Mon cœur fit un bond dans ma poitrine, puis se mit à battre à tout rompre. Le visage et le regard d’Ash restaient impassibles, mais l’immobilité de son corps trahissait son émotion. Moi, je me sentais rougir comme une pivoine. Il leva la main vers mon visage et, avec douceur, essuya une larme sur ma joue. Je frissonnai, effrayée par la tension qui montait entre nous. Il fallait que je fasse quelque chose.

– C’est le moment où tu m’annonces que tu vas me tuer ? chuchotai-je.

Les lèvres d’Ash se retroussèrent, et une lueur d’amusement se mit à pétiller dans ses yeux.

– En réalité, dit-il, je n’en ai plus tellement envie. Les choses ont pris une tournure bien trop intéressante.

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– Euh…, bégayai-je. Salut. Je suis Meghan. Je suis assise derrière toi en cours d’informatique.

Même air sceptique. Je sentis mes joues s’échauffer.

– Euh…, repris-je, je ne suis pas très foot, mais je te trouve génial, comme défenseur arrière. Evidemment, je n’en connais pas beaucoup… des défenseurs. Aucun, en fait, à part toi. Mais tu as vraiment l’air de savoir ce que tu fais. Je vais à tous tes matchs, tu sais. Tu n’as pas dû me remarquer parce je m’assieds toujours dans les derniers rangs…

Oh mon Dieu… Boucle-la, Meg. Tout de suite !

Je serrai les lèvres pour m’empêcher de débiter d’autres inepties. J’avais envie de rentrer sous terre. Pourquoi avais-je accepté de donner ce cours particulier ? Mieux valait encore demeurer invisible que passer pour une imbécile finie, surtout devant Scott.

Il porta les mains à ses oreilles. C’est là que je vis qu’il avait… des écouteurs.

– Désolé, dit-il de sa voix profonde et envoûtante, en les retirant. Je n’ai pas entendu ce que tu disais.

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Ses lèvres fraîches me faisaient frissonner de la tête aux pieds. Pendant un cours moment, il n'y eut plus d'Ethan, plus de Puck, plus de roi de Fer.

Rien que nous deux.

Ash s'écarta, le souffle court. Mon cœur battait à tout rompre et j'appuyai ma tête sur son épaule. Je sentis les muscles de son dos se tendre... et je sentis qu'il tremblait.

- Ce n'est pas bien, dit-il d'une voix étrange, bouleversée.

- Je sais, chuchotai-je.

Mais il garda ses bras autour de moi. Je fermai les yeux et écoutai les battements rapides de son cœur.

- Les deux cours nous tueront si elle l'apprennent.

- Oui.

- Mab m'accusera de trahison. Oberon croira que je t'ai montée contre lui. Ils y verront tous deux des motifs de bannissement ou d'exécution.

- Je suis désolée.

Il enfouit son visage dans mes cheveux en soupirant. Son haleine était fraîche sur la peau de mon cou, et je frissonnai à nouveau. Nous restames un long moment sans rien dire.

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le fantôme dans l'ordinateur

Il ya di ans, lejour de mon sixième anniversaire, mon père a disparu.

Non,il n'est pas parti. Sinon,il aurait vidé ses tiroirs, laissé des placards vides, il y aurait eu des valises sur la pas de la porte et, plus tard,j'aurait reçu des carte d'anniversaire, en retard, avec un billet de dix dollars glissé dans l'enveloppe.

s'il était parti, cela voudrait dire qu'il était malheureux avec nous,ou bien qu'il avait trouvé l'amour ailleurs. Or, rien de tout cea n'est vrait.

Il n'est pas mort, non plus. On en aurait entendu parler.

On aurait parlé d'accident de voiture, de crime, de corps à reconaitre... Mais non.

En fait, tout est arrivé en l'espace d'un instant.

Le jour de mon sixième anniversaire, donc mon père m'a emmenée au parc, un de mes endroits préférésà l'époque.

C'était un petit espace vert au milieu de nulle part,avec un parcours de jogging et un étang brumeux entouré de sapins. On était justement au bord de l'eau, en train de nourrir les canards, quand j'ai entendu la musique de la camionnette du glacier, sur le parking derrirère la butte .

page 11

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Au centre du jardin se dressait une fontaine. Elle était faite de rouages qui pivotaient mollement sous le mouvement de l’eau. Je plissai les yeux pour mieux y voir. Tout en bas de la structure, étendu sur un grand rouage qui tournait à l’horizontale, il y avait une silhouette.

C’était Ash.

Je me retins pour ne pas hurler son nom. Je ne me précipitai pas vers lui, même si tout mon être en mourait d’envie. En m’efforçant de rester calme, je balayai les lieux du regard, à la recherche d’un piège ou d’une embuscade. Mais il y avait peu d’endroits où se cacher. A part les arbres métalliques et quelques ronces, le jardin semblait vide.

Quand je fus certaine d’être seule, je m’élançai en courant vers la fontaine.

Sois vivant. Je t’en supplie, sois vivant.

http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/

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Il y a dix ans, le jour de mon sixième anniversaire, mon père a disparu.

Non, il n’est pas parti.

Sinon, il aurait vidé ses tiroirs, laissé des placards vides, il y aurait eu des valises sur le pas de la porte et, plus tard, j’aurais reçu des cartes d’anniversaire, en retard, avec un billet de dix dollars glissé dans l’enveloppe. S’il était parti, cela voudrait dire qu’il était malheureux avec nous, ou bien qu’il avait trouvé

l’amour ailleurs. Or, rien de tout cela n’est vrai.

Il n’est pas mort, non plus. On en aurait entendu parler. On aurait parlé

d’accident de voiture, de crime, de corps à

reconnaître… Mais non.

En fait, tout est arrivé en l’espace d’un instant.

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(La doyenne & Meghan )

« – Et si nous échouons ? murmurai-je. Et s’il était vraiment invincible ? 

– Alors nous mourrons tous, répondit la doyenne en se fondant dans son arbre. 

Les autres dryades disparurent à leur tour, me laissant seule avec un chat, un prince et un bout de bois. 

– Je commence à me sentir un peu sous pression, bougonnai-je en regardant le bâton.  »

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