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-Tu ne me trouves pas désirable, ma rose ?

Un muscle tressaillit sous l'oeil de Lucien.

-Ne m'appelle pas comme ça, protesta-t-il.

-Tu ne me trouves pas désirable, mon chou à la crême ?

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Anya, déesse de l'Anarchie, fille de Dysnomia, dispensatrice du désordre, se tenait au bord de la piste de danse. Il y avait surtout des femmes, nues et très belles, choisies par les Seigneurs de l'ombre pour les divertir - verticalement et horizontalement - durant cette nuit de fête.

Des volutes de fumée enveloppaient les danseuses d'un brouillard irréel, et des point lumineux, pareils à des étoiles, tombaient de la lumière stroboscopique en dessinant de lents cercles sur leurs corps parfaits. Du coin de l’œil, Anya distingua un fessier musclé de guerrier qui luisait au rythme de ses va-et-vient contre une femelle en transe.

"Ça, c'est une fête...", songea-t-elle.

Elle eu un sourire coquin. Personne ne l'avait invitée, mais elle était venue tout de même.

"Je n'aurais manqué ça pour rien au monde."

Les Seigneurs de l'ombre, ces magnifiques guerriers possédés par les démons de la boîte de Pandore, disaient aujourd'hui adieu à Budapest, la ville dans laquelle ils s'étaient terrés pendant des centaines d'années. La nuit promettait d'être chaude.

Anya était venue participer aux réjouissances parce qu'elle s'intéressait à l'un d'eux.

- Je suis là, laissez-moi passer, murmura-t-elle.

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... et il sentait mauvais.

Elle fronça le nez

- Tu as marché sur quelque chose de malodorant? demanda-t-elle d'un tom innocent.

- Peu importe, ça ne m'a pas dérangé, répondit-il en avançant vers elle d'un pas menaçant. Mais par contre, j'ai été heurté par un taxi, puis j'ai atterri sur les genoux d'un homme nu et en érection. En érection, Anya. En érection, tu as entendu?

Elle ne put s'empêcher de sourire.

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Elle voulut réitérer l'exploit du coup de poing, mais il lui saisit le poignet.

_ Je suis laid et il est impossible que tu me désires. D'ailleurs, je ne vois pas pourquoi nous en discutons. Tu l'as déjà admis.

_ Les gens ne cessent de mentir, pauvre idiot ! Et moi plus que quiconque.

Il se figea, haletant et ouvrit de grands yeux pleins de surprise. Et d'espoir ?

_ Tu mentais à propos des raisons pour lesquelles tu ne cesses de me poursuivre ?

_ Sans doute,mais peu importe. A présent, je te hais.

Elle lâcha son épée et se jeta sur lui pour le pousser.

_ Parce que tu veux me tuer, acheva-t-elle.

Il tituba et, enfin, franchit le seuil de la chambre, abandonnant lui aussi son épée qui atterrit avec un bruit métallique.

_ On dirait que tu le découvres...Je ne t'ai pourtant jamais caché que je venais pour te tuer, fit-il remarquer.

_ Sauf qu'au début tu n'étais pas sérieux, objecta-t-elle en le poussant de nouveau. Et maintenant...tu es vraiment décidé, n'est-ce pas?

Elle avait réussi à l'acculer contre le lit.

_ Oui...Non.Je n'en sais rien, à vrai dire. Tu me fais perdre la tête et je ne cesse de changer d'avis.

[...]

Il s'écarta du matelas en lui saisissant les poignets et l'attira à lui, sur lui, écrasant sa bouche sur la sienne. Sa langue brûlante poussa pour se frayer un passage entre ses lèvres.

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L'esprit de Lucien était concentré sur une unique pensée : Anya.

Un brouillard noir et épais s'était abattu sur lui et l'empêchait de réfléchir, mais il conservait tout de même le souvenir du corps d'Anya, si doux contre le sien. Durant le trop court instant durant lequel il l'avait tenue dans ses bras, il aurait été prêt à trahir ses compagnons pour quelques secondes supplémentaires avec elle.

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On le connaissait sous les noms de Malach ha-Maet. Yama. Azreal. Le marcheur de l'ombre. Mairya. Le faucheur. Il était tout cela, et bien plus encore. Il était un Seigneur de l'ombre.

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Lucien s'était toujours demandé pourquoi les Dieux avaient marqué les guerriers d'un papillon pour signifier qu'ils étaient possédés d'un démon. Sans doute était-ce une allusion à l'effet papillon... Une simple action pouvait changer pour toujours le cours de votre vie. Peu importait. Ce papillon ne lui avait jamais plu. Il aurait préféré un sceau moins délicat, plus masculin.

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Dans le monde spirituel, les sentiments d’Anya étaient représentés par une couleur rose vif. Il sut aussitôt qu’elle n’avait pas joué la comédie, comme il l’avait cru. Cette traînée rose qui brillait d’un éclat aveuglant en témoignait. Elle l’avait donc vraiment désiré. Comment une créature aussi parfaite qu’Anya avait-elle pu s’intéresser au monstre de laideur qu’il était devenu ? Cela paraissait invraisemblable, et pourtant la preuve était là, sous ses yeux, éclatante, comme un chemin de lumière au milieu d’une tempête.

[...]

Il remarqua du bleu, signe de tristesse. Pourquoi cette tristesse ? Il se souvint avoir dit à ses compagnons qu’Anya ne méritait pas qu’on lui accorde de l’importance et se sentit soudain empli de culpabilité.

Un rouge intense se mêlait au bleu. La colère. Il l’avait blessée, elle lui en avait voulu. Sa culpabilité

augmenta. Il l’avait malmenée parce qu’il s’était persuadé qu’elle se moquait de lui.

Mais il s’était lourdement trompé.

En affinant son analyse des couleurs d’Anya, il découvrit du blanc. La peur. Quelque chose l’avait effrayée. Avait-elle senti l’arrivée de Cronos ? L’avait-elle vu ? Savait-elle qu’il l’avait condamnée à mort ?

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Un peut d'imagination, mon grand.... Je subodorais que notre Cronos adoré allait s'adresser à toi pour m'éliminer, et j'ai donc tenté de te beurrer comme une tartine pour que tu n'aies pas envie de lui obeir.

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Ce besoin était plus violent que ses colères, plus violent que le désir de l’avoir dans son lit.

Tout son être criait : « elle est à moi ». Et son démon ne cessait de le hurler avec lui.

Il est à moi… C’était ainsi qu’elle l’avait présenté à William.

Il avait eu envie de la renverser sur un lit et de lui demander de le répéter, encore et encore.

Jamais une femme n’avait déclenché en lui des sentiments aussi forts et aussi contradictoires. Mariah, il l’avait aimée avec tendresse.

Pour Anya aussi il ressentait de la tendresse, mais une tendresse accompagnée d’une passion aussi incontrôlable que la plus terrible des tempêtes.

Et tandis qu’il se sentait rempli d’une énergie sauvage, son démon n’avait jamais été aussi paisible.

Anya avait dompté la bête en lui. Lorsqu’il entendait sa voix, lorsqu’il sentait son odeur, la Mort se mettait à ronronner.

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