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- Tu voudrais faire venir tes soeurs au château ? Mais nous serions entourés de harpies !

- J'espère que c'est de la joie, et pas du dégoût, que tu exprimes, dit-elle d'un ton offensé. Mes soeurs ont castré des hommes pour moins que ça.

Sabin pinça les lèvres.

- Invite-les, soupira-t-il. Et que les dieux nous protègent.

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- Je t'aime,Gwen

Il l'aimait. Plus que tout. Plus qu'il n'avait jamais aimé. Plus que lui-même. Et ce n'était pas peu dire...

Elle s'humecta les lèvres. Elle hésitait encore à céder.

- Mais les autres femmes...

- Les autres femmes ne m'intéressent pas. Nous sommes destinés l'un à l'autre. Jamais plus je ne toucherai une autre femme, pas même pour gagner une bataille. Te faire souffrir me détruirait. J'ai mis du temps, mais j'ai fini par comprendre.

- Je ne demande qu'à te croire, murmura-t-elle.

Elle contempla fixement ses mains posées sur son torse et les déplaça lentement, prudemment.

- Mais j'ai peur.

- Dans ce cas, donne-moi du temps. Laisse-moi te prouver que je ne mens pas. Je t'en prie...Je sais que je n'ai rien fait pour mériter une seconde chance, mais je te supplie tout de même de me l'accorder. Je suis prêt à te donner tout ce que tu désires, tout ce que...

- Ce que je désire, c'est toi, coupa-t-elle en le fixant de ses pupilles dilatées. Tu es là, en vie, je ne vois rien de plus important pour le moment. Je te veux. Tout de suite.

Elle déchira sa chemise d'un coup sec et sa bouche plongea dans ses seins.

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Depuis que Sabin avait découvert cette femelle rousse dans sa cellule de verre, il ne l'avait plus quittée des yeux. Il était fasciné par sa longue chevelure aux boucles folles, d'une étrange couleur blonde méchée de rouge. Elle avait des sourcils d'un auburn sombre, tout aussi exquis que ses cheveux, un nez légèrement retroussé, des joues pleines de chérubin. Quant à ses yeux, ambre et striés de gris, pétillants de sensualité, hypnotiques... Ils étaient un régal pour les sens. De longs cils recourbés les encadraient, soulignant avec indécence leur étrangeté.

En dépit de la couche de terre qui recouvrait son visage, il la trouvait éclatante, lumineuse.

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(P.167)

Gwen et Sabin:

_Ta façon de me fixer me rend nerveuse avoua-t-elle en essuyant ses paumes moites sur ses cuisses.

_Dans ce cas, nous allons nous employer tout de suite à éliminer une fois pour toutes tes appréhensions, dit-il. Déshabille-toi.

Elle poussa un cri étranglé.

_Pardon ?

_Tu m'as très bien compris. Je t'ai demandé de te déshabiller.

Il avança vers elle. Un pas. Un autre. Elle recula, en levant les mains pour l'arrêter.

_C'est non. Vraiment non !

Comme il continuait à avancer, elle continua à reculer et ses jambes heurtèrent le rebord du lit. Elle tomba à la renverse sur le matelas.

_J'ai basculé sans le vouloir ! s'empressa-t-elle de crier. Je ne l'ai pas fait exprès. N'interprète surtout pas ça comme une invite.

_Je sais. Mais tu vas tout de même te déshabiller et nous allons prendre une douche.

Il n'avait pas abandonné l'idée de la marquer. Mais elle devait aussi se laver. Et puisque les deux exigeaient qu'elle soit nue, autant en profiter.

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Les Seigneurs de l'Ombre obéirent, mais s'éloignèrent à reculons, sans doute pour éviter de tourner le dos au danger potentiel qu'elle représentait toujours à leurs yeux. Sans doute aussi pour intervenir si elle tentait de s'en prendre à leur chef.

Les yeux couleur chocolat de Sabin restèrent fixés sur elle et son regard lui parut féroce, mais il leva les mains en signe de reddition.

—N'ayez pas peur, je ne ferai rien. Je vais simplement attendre que vous vous calmiez.

Se calmer... Il n'avait que ce mot à la bouche. C'était facile à dire ! Si seulement elle avait pu respirer normalement...

De nouveau, elle eut un vertige et une zone sombre borda son champ de vision.

—Comment puis-je vous aider, Gwen ?

Elle entendit le frottement de ses semelles quand il avança d'un pas vers elle, puis elle sentit sa chaleur l'envelopper.

—Besoin d'air, parvint-elle à articuler en dépit du noeud qui lui serrait la gorge.

Les mains de Sabin se posèrent sur ses épaules pour exercer une pression douce, mais ferme, vers le bas. Trop faible pour lui opposer la moindre résistance, elle se retrouva assise dans l'un des beaux fauteuils rouges.

—J'ai besoin d'air...

Sabin se laissa tomber à genoux devant elle, avec son corps puissant entre ses cuisses, puis il lui prit le visage à deux mains pour l'obliger à le regarder. Son regard intense devint le centre de son univers, un point fixe et rassurant dans le tourbillon qui l'agitait.

—Je vais vous en donner, murmura-t-il tout en lui caressant la joue de son pouce calleux.

Vous voulez bien?

Lui donner quoi ? Elle ne comprenait pas ce qu'il voulait dire et peu lui importait. Elle souffrait de plus en plus, un poids lui comprima soudain la poitrine, une douleur aiguë lui vrilla les côtes. Elle sursauta.

—Vous êtes bleue, mon trésor, reprit Sabin. Je vais placer ma bouche sur la vôtre pour vous insuffler de l'air.

D'accord ?

— Et s'il s'agissait d'une ruse? Et si c'était juste pour... ?

— Tais-toi, coupa-t-elle.

Malgré la brume qui lui obscurcissait l'esprit, elle eut conscience que ce murmure dans son crâne ne venait pas d'elle. La voix obéit et se tut. Si seulement ses poumons acceptaient maintenant des s'ouvrir...

—- Je... Je....

—Vous avez besoin d'aide, insista Sabin.

Laissez-moi faire.

Il lui saisit fermement la nuque et l'attira à lui, tout en venant à sa rencontre. Leurs bouches se joignirent, mêlant leur chaleur. Elle sentit une langue brûlante écarter ses dents, et soudain un air tiède et mentholé se fraya un chemin dans sa gorge.

Elle referma ses bras sur lui, sans qu'il le lui demande, le retenant captif, pressant ses seins ronds contre son torse dur. A travers son T-shirt, elle sentit la chaîne qu'il portait autour du cou et poussa un petit cri parce qu'elle était glacée, tout en avalant avidement l'air qu'il continuait à lui offrir.

—Encore..., murmura-t-elle.

Il n'hésita pas et souffla longuement. De nouveau, une colonne mentholée coula dans sa gorge. Peu à peu, son vertige se dissipa, ses idées devinrent plus claires, les ténèbres firent de nouveau place à la lumière. Le rythme frénétique qui agitait son coeur changea pour une valse lente.

Et soudain elle fut envahie du désir d'embrasser Sabin, de l'embrasser vraiment, de le goûter. Elle ne pensa plus au démon qui vivait en lui. Pas plus qu'à ses compagnons, qui les observaient. Il n'y avait plus qu'elle et lui au monde. Il avait réussi à l'apaiser, à la sauver de sa harpie.

Il la serrait dans ses bras et elle se prit de nouveau à rêver de leurs corps enlacés et couverts de sueur.

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— Je me demande s’il te trouve attirante ou repoussante.

Elle se redressa. La harpie n’apprécia pas et se plaignit en gémissant.

— Tu ne pourrais pas faire taire ton ami ? demanda-t-elle à Sabin. Il craint.

— J’aime ton sens de la formule, plaisanta-t-il en caressant du bout des doigts sa clavicule. Mais Crainte n’est pas mon ami.

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De sa main libre, il la prit par la taille et la serra contre lui, contre son sexe en érection.

- tu sens? murmura-t-il. C'est pour toi et pour personne d'autre. Je ne peux pas m'empêcher de te désirer.

Il blottit sa tête au creux de son cou.

- C'est idiot, parce que rien n'est possible entre nous. Mais c'est plus fort que moi.

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Il faisait de son mieux pour dissimuler ce désir qui le consumait de l'intérieur, mais il rêvait d'enfouir ses doigts dans sa chevelure, de serrer contre lui son corps nu, de la faire frissonner et gémir de plaisir.

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《 — Si vous osez encore le toucher, je vous couvre de baisers, dit-il d'un ton menaçant, tout en exhibant sous leur nez deux couteaux dentelés encore rouge de sang.》

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