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*SPOILER*

William frappa dans ses mains pour attirer l'attention de tout le monde.

- Très bien ! Ecoutez-moi, vous tous ! J'ai de bonnes et de mauvaises nouvelles. Puisque je suis quelqu'un de positif, je vais commencer par les bonnes. Ashlyn a survécu à l'accouchement, de même que sa horde personnelle.

Des soupires de soulagement résonnèrent dans le couloir. Maddox soupira plus fort que tous les autres.

- Quelles sont les mauvaises nouvelles, alors ? demanda quelqu'un.

- Je suis à court de laque, annonça le guerrier après un silence théâtral. Il faudrait que quelqu'un aille m'en chercher. Oui, c'est bien toi que je regarde, Lucien. Et vous avez le droit de me remercier pour ma merveilleuse contribution au développement de votre famille.

- William ! s'écria quelqu'un. Epargne-nous les détails inutiles ! On meurt d'angoisse, ici...

- Quelle gratitude ! Tant pis... Entrez donc faire la connaissance de votre neveu Meurtre et de votre nièce Furie.

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Paris s'efforça de rester détendu pour ne pas mettre Sienna mal à l'aise - et pour lui cacher qu'il la tenait par une prise d'étranglement. Il faisait preuve d'une grande douceur, mais il lui aurait suffi de serrer pour lui faire perdre conscience.

Elle n'irait plus nulle part, un point c'est tout.

Par chance, il échappa aux commentaires de Sexe, qui s'était endormi, repu.

- Très bien, répondit-elle. Je commence. Me détestes-tu?

- Si je te déteste ? Sans vouloir t'offenser, c'est la chose la plus stupide que tu aies jamais dite.

- Je suis trop soulagée pour me vexer. Après ce que je t'ai fait...

- Tu n'as fait que me rappeler que je ne devais pas m'endormir sur mes lauriers avec toi.

A vrai dire, son comportement lui avait même laissé espérer qu'elle tenait à lui autant qu'il tenait à elle.

- Tu ne m'en veux pas d'être allée rejoindre Galen ?

- C'est à moi que j'en veux. J'aurais dû te faire l'amour jusqu'à te rendre incapable de marcher.

- Avec un peu d'entraînement, ça me semble possible...

- Sorcière !

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-En fait, tu es ici parce que tu dois un service à Paris, intervint, Zacharel, qui se trouvait à sa droite et dont le tourbillon de neige avait viré à la tempête.

Le changement s'était produit à l'instant précis où ils étaient entrés dans ce monde. Zacharel était toujours en robe, mais il était armé jusqu'aux dents. Lui était prêt pour la bataille.

- Surtout, tu es ici pour fuir ta petite amie.

William se rebiffa.

- Premièrement, je ne dois de service à personne.

Deuxièmement, je n'ai pas de petite amie, petite merde plumes!

L'ange avait une qualité: toutes les insultes glissaient.

- Vraiment? s'étonna Zacharel en clignant des yeux avec innocence. Qui est Gilly pour toi, alors?

Gilly... Une humaine qui avait un faible pour William.

Le guerrier prétendait qu'ils étaient amis et rien de plus, mais si quelqu'un savait deviner un désir secret, c'était bien Paris ... Or William brûlait de désir secret pour cette fille. A la grande surprise de Paris, il ne faisait que la dorloter. C'était la raison pour laquelle il ne l'avait pas encore éventré. Gilly avait assez souffert ... Elle n'avait pas besoin que William la fasse tomber sous son charme mortel.

- Tu vas découvrir le goût de ton foie, mon ami ... , chuchota William avec la soudaineté et la dangerosité de l'éclair.

- J'ai déjà goûté, répondit Zacharel de sa voix monotone.

Ses flocons, qui tombaient déjà dru, devinrent de plus en plus épais.

- Il était un peu trop salé, précisa-t-il.

Que pouvait-on répondre à cela? William ne semblait pas le savoir non plus: il resta bouche bée pendant un long moment.

- Tu aurais peut-être dû ajouter du poivre, finit-il par suggérer.

Soit: William avait réponse à tout.

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Les cheveux noirs de William, complètement trempés, lui collaient au visage. Il ne portait qu'une serviette enroulée autour de la taille, ce qui permettait de contempler son torse, aussi musclé que celui de Paris.

Il s'y était fait tatouer une carte au trésor qui menait ses parties génitales. Il suffisait de le regarder pour deviner un tempérament si sauvage que toute personne qui survivait à sa rencontre devait avoir besoin d'une thérapie - et de couches.

- il faut que je mette la main sur un sèche-cheveux.

Soit: il n'était peut-être pas seulement sauvage.

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Paris but ses trois doigts de Glenlivet d’un trait, puis il fit signe au barman pour qu’il le resserve. C’était une main entière qu’il voulait et il allait l’avoir ! Malheureusement, dès que son verre fut de nouveau plein, il comprit que cela ne lui suffirait pas. Malgré la bataille qu’il venait de livrer, sa rage et sa frustration, qui étaient à présent comme des entités vivantes en lui, menaçaient de l’engloutir.

— Laisse la bouteille ! ordonna-t-il au barman, qui s’apprêtait à servir quelqu’un d’autre.

Il commençait à se rendre compte que l’alcool ne parviendrait pas à le calmer, même s’il avalait tout ce qui se trouvait dans ce bar. Mais les situations désespérées appelaient des mesures désespérées…

— Bien sûr ! Comme vous voudrez…, répondit le bellâtre torse nu avant de battre en retraite.

Quoi ? Avait-il l’air si dangereux ? Allons ! Il avait pris une douche après la bataille, non ? Pris d’un doute, il baissa les yeux et jura intérieurement. Merde ! Il était couvert de sang.

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- nous sommes-nous déjà rencontrés? lui demanda-t-elle

William en resta complètement abasourdi pendant quelques instants, puis il se ressaisit et offrit un sourire mielleux à Sienna.

- Je suis profondément blessé que tu m'aies oublié, mais ce ne me dérange pas de me souvenir de toi. Laisse moi te dépeindre la scène: nous étions au Texas, et tu étais agrippée à la jambe de Paris comme une sangsue.

- Fais attention à ce que tu dis, grommela Paris.

Même si Sienna lui avait fait du tort, il ne laisserait personne lui manquer de respect.

Sienna haussa les épaules avec indifférence.

- Excuse-moi de ne pas t'avoir remarqué. A côté de Paris, tu es assez quelconque.

William s'en étrangla.

Pour la première fois depuis une éternité, Paris sourit avec un amusement sincère.

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— Tu neiges, lui fit remarquer Paris.

Comme s’il y avait la moindre chance pour qu’il ne s’en soit pas aperçu, ricana son démon.

— Oui.

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- quand as-tu fait l'amour pour la dernière fois? lui demanda-t-elle en s’efforçant de garder une voix neutre alors que ce sujet lui était pénible.

L'expression de Paris se durcit subitement.

- je ne m'en souviens plus, dit-il

A sa grande honte, cette réponse la soulagea et réveilla ses espoirs.

- sache que je suis...disponible. Si ça t'est possible, je veux dire...et si...tu en as envie...

Elle était pathétique, mais elle mourait d'envie de lui faire l'amour une dernière fois, même si elle devait se contenter d'un acte thérapeutique.

- je te dois bien ça..., ajouta-t-elle

Il pouvait aussi le prendre comme un service amical...

Son expression s'adoucit puis se durcit encore, comme si deux forces contraires se livraient bataille en lui. La raideur l'emporta.

- vraiment? Tu est disponible? Tu me dois bien ça? Je te remercie pour cette offre généreuse. Comment un type comme moi pourrait-il refuser?

Un type comme lui?

- je ne sous entendais pas que...

- je tiens à te dire que je n'ai pas fait tout ce chemin pour profiter de ta disponibilité ni exiger le remboursement d'une dette. Par conséquent, alors que je peux te faire l'amour une deuxième fois, je vais faire quelque chose d'inimaginable et passer mon tour. Mais je vais quand même t'aider. Il n'était pas nécessaire que tu couches pour ça.

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- nous tuer ne changera pas le monde en paradis. Les hommes sont libres. Ils attirent le malheur sur eux par les choix qu'ils font. Je t'accorde que nous les influençons un peu... Mais ils restent libres de résister à notre influence et d'agir en leur âme et conscience.

Sienna se lécha les lèvres en imaginant qu'elle léchait celles de Paris.

- je le sais...maintenant

- vraiment ?

- Finiras-tu par me croire si je continue à me répéter ?

Un silence oppressant les enveloppa pendant quelques secondes.

- oui

Ce n'était pas la réponse à laquelle elle s'attendait.

- pourquoi ? Demanda-t-elle, déconcertée.

- Parce que j'ai envie de te croire.

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Spoiler(cliquez pour révéler)— Surtout, tu es ici pour fuir ta petite amie.

William se rebiffa.

— Premièrement, je ne dois de service à personne. Deuxièmement, je n’ai pas de petite amie, petite merde à plumes !

L’ange avait une qualité : toutes les insultes glissaient.

— Vraiment ? s’étonna Zacharel en clignant des yeux avec innocence. Qui est Gilly pour toi, alors ?

(...)

— Tu vas découvrir le goût de ton foie, mon ami…, chuchota William avec la soudaineté et la dangerosité de l’éclair.

— J’ai déjà goûté, répondit Zacharel de sa voix monotone.

Ses flocons, qui tombaient déjà dru, devinrent de plus en plus épais.

— Il était un peu trop salé, précisa-t-il.

Que pouvait-on répondre à cela ?

William ne semblait pas le savoir non plus : il resta bouche bée pendant un long moment.

— Tu aurais peut-être dû ajouter du poivre, finit-il par suggérer.

Soit : William avait réponse à tout.

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