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Trois semaines séparent Tristabelle Carmine du Grand Bal de la Reine. Trois semaines pour trouver la robe de ses rêves, un masque, des escarpins. et aussi un moyen d'entrer au Palais. Car elle n'a pas été invitée. Mais c'est un détail. Tout comme les voix dans sa tête ou cette minuscule série de meurtres qui semble lui coller aux talons. En tout cas, elle ne compte pas rater la fête. Quitte à écumer les bas-fonds surnaturels de Grisaille, frayer avec des criminels ou travailler dans une morgue.
S'il faut, elle ira même jusqu'à tue. demander de l'aide à sa petite sour. Car Tristabelle Carmine est une jeune femme débrouillarde, saine et équilibrée. Ne laissez pas ses rivales ou ses admirateurs éconduits vous convaincre du contraire. Ils sont justes jaloux. Surtout les morts. Ariel Holzl a grandi dans la décadence acidulée des années 90. Les Sours Carmines est né d'une volonté de croiser les genres, de créer des rencontres inattendues entre ses sources d'inspiration comme Neil Gaiman, Edgar Allan Poe ou Stephen King.
Après Le Complot des corbeaux voici une autre aventure des Sours Carmines
Passer du temps dans la tête de Tristabelle n'est pas de tout repos. Cet absence d'empathie, cet égocentrisme...tous ces défauts qui font son charme et entraînent des situations cocasses.
Pourtant le prix à payer pour arriver à ses fins est élevé.
J'ai apprécié ce tome 2 autant que le premier, fait assez rare !
Le fait que nous changeons de PDV est très agréable et puis, Trista est vraiment drôle dans son genre.
J'ai beaucoup aimé son côté insensible et sa franchise mordante. Spoiler(cliquez pour révéler)J'ai été contente de revoir Merry et Blaise et de voir leur relation évoluer ! J'attendais que ça moi !
Les autres personnages secondaires m'ont aussi beaucoup plu. Bref, pas mal de petits points positifs.
Après avoir dévoré le premier tome des soeurs Carmines, j'étais impatiente de plonger dans « Belle de gris », centré sur la flamboyante Tristabelle.
Dès les premières pages, le ton est donné ! La soeur aînée des Carmines, avec son narcissisme exacerbé et son mépris affiché pour autrui, s'adresse directement au lecteur, rendant l'expérience de lecture à la fois immersive et délicieusement perturbante.
On y suit ses efforts pour assister au Grand Bal de la Reine, un événement prestigieux pour lequel elle n'a pas reçu d'invitation. Déterminée à ne pas se laisser éclipser, elle est prête à tout pour s'y rendre, quitte à manipuler, trahir et même éliminer ceux qui se dressent sur son chemin.
La routine, en d'autres termes ! :D
Ses machinations, teintées d'un humour noir savoureux, révèlent une personnalité complexe, oscillant entre une ambition dévorante et une vulnérabilité soigneusement dissimulée.
Et c'est ainsi, qu'au fil des pages, Ariel Holzl réussit le pari audacieux de m'avoir fait apprécier cette héroïne foncièrement antipathique.
Grâce à une plume acérée et un sens aigu de la satire, « Belle de gris » m'est apparu, à l'instar du premier tome, comme une véritable pépite : un conte macabre et envoûtant qui ne laisse au lecteur qu'une seule obsession… se précipiter sur les aventures de Dolorine !
Cette année, je me suis dit que j’allais reprendre une saga que j’avais commencée il y a si longtemps que je pensais ne jamais terminer. L’objectif ? Me prouver le contraire et que je peux le faire haha. J’ai donc relu ce tome 1 que j’avais découvert en Juin 2019 afin de poursuivre toute la trilogie… C’est chose faite !
L’ambiance est particulière — et c’est un point positif — on oscille entre quelque chose de sombre, de décalé, tout en restant dans un cadre assez…. Jeunesse. Voir des meurtres dans les rues ? Ordinaire. Comploter de partout ? La routine !
Mise à part ça, suivre les trois sœurs était plutôt cool. Chacune a sa personnalité bien à elle, entre Merry la monte en l’air courageuse mais introverti, Tristabelle la sœur à l’égo et à l’égoïsme surdimensionné et la petite Dolorine naïve, mais au pouvoir… Intéressant. On a ici une belle brochette en somme !
Concernant les intrigues de la trilogie, j’ai davantage accroché à ce tome 2. Je l’ai trouvé plus entrainante, plus rythmé dans l’action et dans les complots. C’était cool de suivre sa préparation pour la fête organisée et le plan de cette dernière pour devenir dame de compagnie.
Ce roman m'a permis de ne plus considérer Tristabelle comme une peste prétentieuse, je l'adore même! Et j'arrive à mieux la comprendre et j'adore é-vi-dem-ment sa façon de voir les choses. Dans ce tomme des sœurs carmines on retrouve Spoiler(cliquez pour révéler)même Merry (ouf, je doit avouer que la fin du 1 j'avait eu peur qu'elle meurt), Dolorine qui est toujours mon perso préféré (avec Mr Nyx é-vi-dem-ment😈) et Spoiler(cliquez pour révéler)Blaise! J'avait perdu tout espoir de le revoir celui-là! Et son couple avec Merry (que j'avait espéré durant tout le tome 1) est trop mignon!
J'appréhendais un peu ce tome avec pour narratrice principale Tristabelle et effectivement, le début a été un peu long. Son narcissisme à tout épreuve est très irritant, et d'autant plus qu'il ne se passe pas grand chose dans le premier tiers. Par la suite, la narration alterne un peu plus avec Merry, et l'action décolle donc ça rend le caractère soupe-au-lait de Trista un peu plus supportable. J'ai surtout adoré ce cher inspecteur Creusombre, je trouve que sa dynamique avec Trista est parfaitement en accord. Spoiler(cliquez pour révéler)Donc j'étais dégoûtée de la fin !!!! Vu ce qu'a dit Dolorine dans son journal à la fin, j'espère qu'on les reverra tous les deux dans le tome prochain et qui sait, qu'ils trouvent une solution pour ressusciter Eddie. Après tout, il n'est que statufié ...
J'ai bien aimé aussi en apprendre plus sur les origines de Trista, c'est bien amené, bien trouvé et ça permet quelques volte-faces intéressantes. Par contre, Spoiler(cliquez pour révéler)le coup des religieuses et de l'ange, je n'en ai pas vu l'utilité ... Peut-être dans le tome prochain ? En l'état, à mon sens, ça n'apporte rien ...
J'ai beaucoup aimé revoir Blaise aussi, lui et Merry sont tout mignons ! J'espère que pour lui aussi, son histoire s'accélérera et se terminera dans le tome suivant ; ce qui se passe au palais le laisserait sous-entendre en tout cas ...
Donc au final, même si j'adhérais peu au personnage de Tristabelle, son imperturbabilité à toute épreuve m'a quand même bien plu. Je n'ai pas forcément accroché à tous les rebondissements de cette histoire (à l'identique du tome précédent d'ailleurs) mais ça a été un plaisir de se replonger dans les rues de Grisaille et son ambiance tout à fait particulière !
Je trouvais que Tristabelle était insupportable dans le tome 1 ce tome 2 ne m'a définitivement pas fait changé d'avis. J'ai failli abandonné alors que j'aimais beaucoup l'univers. J'ai persévéré et je me suis habitué à sa narration mais les passages suivants Merry étaient les plus sympas. J'attends avec impatience le tome 3 centrée sur ma soeur favorite : Dolorine.
Un deuxième tome où Tristabelle est l'héroïne. J'ai trouvé ce tome infiniment plus marrant et interessant. Toutefois, ça ne fait pas des aventures de Merryvère moins cool. Au contraire, le tome 1 avait introduit un univers au style de la Famille Adams très immersifs, et le fait que la cadette Carmine est une monte-en-l'air, c'était le métier parfait pour nous faire voyager à travers Grisaille. Cette fois, Tristabelle, avec sa langue de vipère et son "inconscience" nous plonge dans les entrailles du passé de Grisaille, de ses origines, et du métier de sa mère, Lady Carmine. J'ai aimé ce personnage, qui dans le premier tome ne laissé paraître qu'une superficialité agaçante. Et là, j'ai absolument adoré ses répliques, j'ai bien rit, et j'ai aimé son évolution !
J'ai tellement hâte de retrouver le troisième avec cette fois-ci, la petite Dolorine et son tas de chaussettes, Mr. Nyx !
Probablement mon préféré de la trilogie. J'ai adoré découvrir davantage l'insupportable mais aussi très touchante (à sa manière) Tristabelle. Elle est géniale!
L'univers m'a autant plu que dans le tome 1 mais c'est vraiment le personnage principal qui fait tout le piquant de ce tome. Une vraie réussite!
Après Merryverre, c'est au tour de Tristabelle d'être le centre de l'histoire dans ce tome 2. Je dois bien avouer qu'elle m'a un peu cassé les pieds par moment cette Tristabelle Carmines !
Mais indépendamment de ça, j'ai beaucoup aimé l'histoire. On retrouve des personnages du tome 1 et on a des références au tome précédent.
Tristabelle est toujours aussi casse-pied mais elle est quand même attachante. Et Dolorine reste mon personnage préféré même si on l'a un peu moins vue dans ce tome.
Bref, encore un très chouette tome et toujours en audio. Je commence à prendre goût à l'audio, surtout qu'on ne voit pas le temps passer quand on écoute un livre ! Et le tome 3 est déjà bien entamé en audio et j'adore les aventures de Dolorine !
Résumé
Trois semaines séparent Tristabelle Carmine du Grand Bal de la Reine. Trois semaines pour trouver la robe de ses rêves, un masque, des escarpins. et aussi un moyen d'entrer au Palais. Car elle n'a pas été invitée. Mais c'est un détail. Tout comme les voix dans sa tête ou cette minuscule série de meurtres qui semble lui coller aux talons. En tout cas, elle ne compte pas rater la fête. Quitte à écumer les bas-fonds surnaturels de Grisaille, frayer avec des criminels ou travailler dans une morgue.
S'il faut, elle ira même jusqu'à tue. demander de l'aide à sa petite sour. Car Tristabelle Carmine est une jeune femme débrouillarde, saine et équilibrée. Ne laissez pas ses rivales ou ses admirateurs éconduits vous convaincre du contraire. Ils sont justes jaloux. Surtout les morts. Ariel Holzl a grandi dans la décadence acidulée des années 90. Les Sours Carmines est né d'une volonté de croiser les genres, de créer des rencontres inattendues entre ses sources d'inspiration comme Neil Gaiman, Edgar Allan Poe ou Stephen King.
Après Le Complot des corbeaux voici une autre aventure des Sours Carmines
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