Ajouter un extrait
Liste des extraits
"- tu t'adonnes à la Chasse. c'est dans ta nature d'aimer te battre. Nous sommes des prédateurs, Camille. Toi, Delilah, moi. Même Chase. Flam chasse son dîner. Morio est l'enfant d'un démon. vanzir est un démon qui chasse les rêvent des gens. Rozurial en a après la passion. tout être vivant, ou mort dans certains cas, se surprend à chasser. Cette quête nous donne une raison de vivre." (p. 103)
Afficher en entier- il n'est pas mon genre, du tout. trop voyant. toi en revanche, tu l'es. ( puis sans reprendre sa respiration elle continua:) j'ai vraiment besoin de toi, menolly. je veux te faire l'amour toute la nuit. est ce que je peut rester avec toi ce soir? j'ai acheter de nouveaux jouets que tu vas adorer.
Afficher en entierJe lui rendis son sourire.
—Tu t’adonnes à la Chasse. C’est dans ta nature d’aimer te battre. Nous sommes des prédateurs, Camille. Toi, Delilah, moi. Même Chase. Flam chasse son dîner. Morio est l’enfant d’un démon. Vanzir est un démon qui chasse les rêves des gens. Rozurial en a après la passion. Tout être vivant, ou mort dans certains cas, se surprend à chasser. Cette quête nous donne une raison de vivre. Tu le sais aussi bien que moi.
Afficher en entierCamille, ma soeur aînée, est une sorcière de la lune aux pouvoirs beaucoup trop instables à son goût comme au nôtre. Surtout depuis qu’elle s’est mise à la magie de la mort grâce à son mari Yokai.
Delilah, mon autre soeur, est un garou à deux visages. Elle se transforme en chat lorsque la lune est pleine ou quand on se dispute. Mais elle a découvert récemment qu’elle possédait une seconde forme animale : celle d’une panthère noire.
Afficher en entierJe pouvais sentir la peur émaner de lui par vagues.
—Alors, tu lui as donné une bonne leçon ? Je suis sûre que tu as pris ton pied, pas vrai ? Tu m’as l’air d’être le genre de gars qui adore se servir de ses poings pour se faire respecter par les femmes. Qu’est-ce que tu as fait à son amant ?
Le jeu du chat et de la souris. Comme Delilah, je jouais avec ma nourriture avant de la manger. Il ferma les yeux.
—Je l’ai mis en pièces. Je l’ai tué. Puis j’ai forcé ma copine
à m’aider à me débarrasser du corps.
—Je n’en pensais pas moins. Tous les mêmes. Des raclures pathétiques.
Afficher en entierSans me faire prier plus longtemps, j’ouvris la bouteille isotherme. Le sang n’avait pas l’odeur du sang, mais celle de… d’ananas ? J’en approchai les lèvres avec prudence. Tout autre liquide que le sang me donnait d’affreuses crampes d’estomac. Toutefois, à mon grand étonnement et bonheur, même si c’était du sang qui coulait dans ma gorge, j’avais la sensation de boire du lait de coco mélangé à du jus d’ananas. J’observai intensément la bouteille isotherme avant de reporter mon attention sur Morio.
— C’est pas vrai ! Tu as réussi !
— On dirait bien, répondit-il tout sourires. J’ai enfin trouvé le bon sortilège. Alors, j’ai pensé qu’une pina-colada serait un bon début.
Afficher en entierL’autre, c’était Morio, un Yokai Kitsuneou démon renard japonais. Même s’il n’était pas aussi grand que Flam, il était doté d’un charme tout en finesse avec sa queue-de-cheval qui retombait sur ses épaules et son ombre de moustache et de barbe. Camille avait également un troisième amant : Trillian, un Svartan, qui avait disparu depuis trop longtemps. Je savais qu’elle s’inquiétait beaucoup pour lui.
Afficher en entierSous ses apparences de grand homme aux cheveux argentés, Flam était en fait un dragon blanc argenté. Il mangeait des chevaux, des vaches et quelques chèvres. Il aimait aussi nous faire savoir qu’il mangeait des humains, mais aucun d’entre nous ne le prenait au sérieux. Toutefois, j’avais le sentiment qu’on pouvait lui attribuer certaines disparitions inexpliquées. Mais Flam n’était pas seulement un dragon qui pouvait prendre forme humaine. Il était aussi le mari de ma soeur. Enfin, l’un d’entre eux.
Afficher en entierTu pourrais au moins attendre que j'aie ouvert la fenêtre pour secouer ce truc! s'exclama Iris en me regardant méchamment, tandis que je soulevais mon tapis tressé pour le taper contre le mur. Il y a tellement de poussière que j'arrive à peine à respirer!
Je laissai tomber le tapis d'un air coupable. Comme la poussière ne me dérangeait pas, j'oubliais parfois que les autres avaient besoin de respirer.
— Désolée. Ouvre la fenêtre. Je vais le secouer dehors.
L'air exaspéré, Iris entreprit d'ouvrir la fenêtre à guillotine le plus haut possible. Je l'aidai. Aussitôt, une bouffée d'air chaud estival emplit la pièce, suivie de bruits de klaxons, de musique assourdissante et des rires des gamins du quartier, occupés à fumer de l'herbe dans l'allée derrière Le Voyageur. Il flottait dans l'atmosphère une impression de légèreté, un brin d'excitation, comme si une fête allait éclater au beau milieu de la rue.
Afficher en entierParfois, il fallait repousser ses inquiétudes au fond de son esprit pour se concentrer sur ce qui se trouvait devant nous. Parfois, il fallait oublier sa peur du futur et vivre pour le présent.
Afficher en entier