Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
À 17 ans, Fleetwood Shuttleworth est enceinte pour la quatrième fois. Mais après trois fausses couches, la maîtresse du domaine de Gawthorpe Hall n’a toujours pas donné d’héritier à son mari. Lorsqu’elle croise le chemin d’Alice Gray, une jeune sage-femme qui connaît parfaitement les plantes médicinales, Fleetwood voit en elle son dernier espoir.
Mais quand s’ouvre un immense procès pour sorcellerie à Pendle, tous les regards se tournent vers Alice, accusée comme tant d’autres femmes érudites, solitaires ou gênantes.
Alors que le ventre de Fleetwood continue de s’arrondir, la jeune fille n’a plus qu’une obsession pour sauver sa vie et celle de son bébé : innocenter Alice. Le temps presse et trois vies sont en jeu.
Des personnages féminins attachants pour la plupart et des personnages masculins dans l'ensemble antipathiques, c'est ce qui me revient en mémoire plusieurs jours après l'avoir terminé.
C'est un roman historique à tendance clairement féministe et on comprend pourquoi quand on sait la place qu'avaient les femmes à cette époque.. Comment ne pas se révolter de n'être que des machines à bébés, de pouvoir être bafouées, trompées, piétinées, ou le reste du temps d'être de simples éléments décoratifs dont on ne demande jamais l'avis? "Sois belle et tais-:toi" comme on dit hein... Malheureusement c'est encore une réalité dans bien des pays du monde.
En plus d'une couverture vraiment très réussie et malgré quelques craintes initiales, j'ai bien apprécié ma lecture qui m'a tenue en haleine presque tout le long. J'avais toujours hâte d'y retourner malgré le peu de temps que je trouvais pour lire.
Le contexte historique de la chasse aux sorcières est très intéressant même si bien trop peu exploité au profit des émotions et aventures de Fleetwood. Émotions un peu répétitives mais aventures au moins intéressantes.
L'ambiance est assez pesante puisque les deux protagonistes principales marchent au bord du gouffre et le suspense reste entier jusqu'à la fin.
Fin que j'ai trouvé réussie mais le tout était assez peu crédible je ne sais pas trop pourquoi alors que les évènements ont vraiment eu lieu et les personnages pour beaucoup existé.
PS : J'ai vraiment eu du mal avec le prénom Fleetwood. Je ne l'avais jamais entendu avant et j'avais toujours l'impression qu'on l'appelait par son nom de famille ou même qu'on parlait d'un homme ^^"
J’aime lire des romans historiques qui bousculent les idées sur une époque, un évènement majeur ou qui part de peu de sources pour construire des récits questionnant les comportements énoncés par les historiens et les morales qui ont façonné notre siècle. Les sorcières sont l’un de mes sujets de prédilection, car il permet d’observer comment les préjugés naissent de la peur de l’inconnu, de la domination masculine et du besoin de culpabiliser autrui quand les malheurs assombrissent la vie.
Les sorcières de Pendle nous entraine dans les campagnes anglaises de 1612 et, plus particulièrement, Le Lancashire où s’est déroulé le tristement célèbre procès de sorcellerie éponyme à la suite d’une série de décès. Si vous n’avez pas une grande connaissance des enjeux politiques, économiques et religieux de cette période, vous n’en saurez pas beaucoup plus au cours de votre lecture. Et, pour cause, la narration adopte du point de vue de la châtelaine de Gawthorpe Hall, Fleetwood Shuttleworth.
Une femme dont le rôle se résumait à garder le foyer et à donner un héritier à son mari ! Le rythme du roman s’enlise à l’image de ce quotidien fade. La noble dame ne montre d’attrait pour aucun hobby habituel de ses homologues. On ne la voit ni broder ni jouer d’un instrument de musique. Elle préfère s’amuser avec son chien qu’elle a sauvé de combats illégaux, et monter à cheval. Ses occupations engendrent des grincements de dents, puisqu’elle est enceinte et a déjà perdu plusieurs fœtus.
Cependant, le regard des autres sur ses passions n’est pas à l’origine de son angoisse. Je parle d’une peur viscérale, capable de réveiller la lionne endormie dans les profondeurs de son cœur. Une détresse qui la pousse à défier la domination et l’ambition des hommes. Fleetwood veut défaire le destin prédit par le médecin et mettre son enfant au monde et elle a besoin d’Alice Gray pour y arriver.
La châtelaine navigue entre trahison et désillusion dans cette société qui craint la sagesse des guérisseuses. Elle suit son intuition et décide de faire confiance en une étrangère qu’en ses proches. Les épreuves la transforment et ça s’en ressent dans le rythme du récit. On se laisse emporter par la fureur et le sentiment d’injustice, oppressé par le compte à rebours de la grossesse. La petite fille sage et obéissante nous livre, dès lors, des répliques acérées.
D’Alice Gray nous connaissons peu de choses. Elle ressemble à ces renards qui nous laissent entrevoir leur fourrure rousse uniquement quand ça leur plait. Sauvage et indomptable, sa présence confère une touche de mystère qui nous fait douter de l’inexistence de la magie.
En bref, Les sorcières de Pendle m’a emporté dans cette interprétation d’un des plus célèbres procès de sorcellerie britannique. Malgré un début à l’image de la vie morose d’une châtelaine, le récit a réussi à me toucher face aux trahisons et aux injustices que subissent les femmes dont la détermination est héroïque.
J'ai été relativement déçu par la lecture de ce roman. J'ai mis pas mal de temps à lire alors qu'il n'est pas très volumineux. J'ai trouvé que l'écriture manquait de fluidité. L'histoire peine à démarrer et il y a beaucoup de longueur. J'ai tout de même tenu bon car je déteste abandonné un livre en cours de route. Je ne dirai pas que j'ai détesté et que je ne le conseillerai pas mais ce n'est clairement pas mon coup de coeur du moment. Le fonds en lui-même est une histoire très intéressante et qui pourrait être captivante d'autant qu'elle est basée sur des faits réels. Peut être à relire plus tard pour me faire une deuxième opinion.
Un roman a la plume addictive, qui nous plonge au cœur d'un événement tragique : celui du procès de femmes accusées de sorcellerie dans l'Angleterre du XVIIe. Mais ne vous y trompez pas, les sorcières n'y sont décrites qu'en surface, le livre évoque surtout la condition féminine de l'époque et les mœurs qui conditionnaient les esprits.
L'histoire se penche sur le destin d'une jeune femme issue de la bourgeoisie, Madame Fleetwood, et peint le portrait d'un personnage dominé par son mari, tout aussi aimant fût-il. Au delà d'un roman historique, Les sorcières de Pendle est empli de sororités. Les femmes en sont le cœur, désireuses de gagner en liberté mais accusées de tous les maux dès qu'elles osent casser les chaînes patriarcales. Les hommes n'y sont pas pointé du doigts, certains font preuve d'un progressisme certain au regard de l'époque, et c'est ce qui est judicieux de la part de l'autrice qui ainsi n'impose pas un parti pris.
Miss Fleetwood fait preuve d'une grande force de caractère et sait imposer ses décisions malgré les conséquences désastreuses que cela pourrait créé. C'est un personnage féminin puissant qui defend la cause féminine (et non pas le femininisme 🙂). Les liens qu'elle tissent avec Alice pose les bases d'une amitié solide qui m'aura touché.
Laissant une part belle à l'imagination et usant d'une toute petite pointe de fantastique, l'autrice a su construire un environnement intrigant, pas suffisamment poussé d'un point de vue sorcellerie à mon goût, mais qui aura su, au final, proposer un récit historique et sociétale convaincant.
J’ai toujours été intrigué mais la fameuse chasse aux sorcières, que ce soit au État-Unis, au Royaume-Uni voire même en France.
Ce roman retrace la vie de Fleetwood, une jeune bourgeoise de 17 ans, qui a déjà perdu trois enfants mort-nés. Alors qu’elle découvre qu’elle attend son quatrième enfant, une pensée l’obsède : le garder en vie.
Un matin, elle rencontre Alice Gray, une jeune femme étrange originaire de Colne, qui a l’apparence misérable.
Leurs chemins se recroisent, et une certaine amitié naît entre elles. Sachant qu’Alice est sage-femme, Fleetwood voit en elle une amie, mais aussi une possibilité de mener sa grossesse à terme.
Cependant, les accusations de sorcellerie font rage, et le nom d’Alice apparaît dans la liste des accusés. Fleetwood se promet de lui sauver la vie comme Alice s’est engagée à sauver la sienne et celle de l’enfant, mais à quel prix ?
J’ai pris plaisir à lire ce roman à la fois fictif et historique. Les personnages ont réellement existé, et certains faits chronologiques se sont réellement déroulés. Un roman qui illustre bien la place des femmes dans l’histoire et les conséquences auxquelles elles faisaient face lorsqu'elles étaient accusées, de sorcellerie.
J’attendais pour être honnête beaucoup de ce livre, malheureusement, j’ai été très déçue. D’un côté sur le plan historique, il n’y a pas grand chose à mon goût et il en va de même sur plan fantastique. En fait, tout est très romancé et je ne m’attendais clairement pas à ça. Il faut vraiment attendre la moitié du roman pour que cela devienne intéressant malheureusement, pour moi, il était déjà trop tard (pour être honnête la description du mobilier d’époque je n’en pouvais plus).
Pour ce qui est des personnages, malheureusement l’héroïne m’a laissé complètement de marbre. Je la trouve assez exaspérante. Elle se veut avant-gardiste mais, d’un côté il y a des incohérences énormes ce qui m’a plu d’une fois fait décrocher.
Pour conclure, je m’attendais clairement à mieux vis-à-vis de ce livre.
"Les Sorcières de Pendle", c'est une immersion total dans une Angleterre du 17ème siècle et où la place de la femme n'a rien à envier. J'ai découvert Fleetwood (notre personnage principal) avec beaucoup d'attention. Elle est jeune mais semble avoir vécu plusieurs vies, tant sa condition l'oblige à respecter certaines "normes" ou "obligations" de l'époque. Alors que sa santé est sérieusement mise en danger, et après avoir perdu 3 enfants, elle a toujours l'espoir de donner un héritier à son époux. Je démarre donc cette lecture avec une ambiance assez particulière et avec le désir que tout se passera bien pour elle !
Heureusement, nous faisons rapidement la connaissance d'un second personnage : Alice ! Cette jeune femme, qui n'a rien demandé à personne, est tout simplement incroyable ! Elle déborde de connaissances et a cette envie de bien faire, alors même que tout joue contre elle.
Fleetwood et Alice sont bien les deux seuls que j'ai apprécié dans cette intrigue ! L'amitié qui est née de leur difficultés est juste captivante et ultra intéressante. Les autres me sortaient par les yeux, je ne les supportais pas... Néanmoins, ce sont des portraits que j'imagine très proche de la réalité.
En effet, le sujet abordé n'est pas simple. La sorcellerie et les procès, nous les voyons partout ! Ce sont des éléments centraux de beaucoup de romans. Pourtant, j'ai eu la chance de lire une intrigue comme je n'en ai pas encore lu (notamment grâce aux personnages) et ça fait plaisir. Là-dessus, je dois dire que Satcey Halls a excellé !
je pensais trouver un roman historique différent car l'action est centrée sur une seule femme et le thème des sorcières dont l'une d'elle est placée au 2e plan
Excepté ce fait le roman est intéressant car basé sur un des procès en sorcellerie les plus célèbre outre manche mais trop peu mis en valeurs
Gros coup de coeur pour ce roman historique et féministe. J'ai été captivée dès le début et je n'ai pas vu les pages défiler. J'ai juste trouvé la fin un peu rapide. Je ne manquerai pas de lire les autres livres de Stacey halls, car j'ai adoré sa plume.
vraiment beaucoup aimer ce livre particulierement car la lecture rapide, fluide... Le livre est hautement addictive et trés impressionant car nous sommes directement dans l'histoire de la jeune chatelaine Fleewood qui est déterminée à donner un héritier a son époux.
Résumé
Lancashire, Pendle, 1612.
À 17 ans, Fleetwood Shuttleworth est enceinte pour la quatrième fois. Mais après trois fausses couches, la maîtresse du domaine de Gawthorpe Hall n’a toujours pas donné d’héritier à son mari. Lorsqu’elle croise le chemin d’Alice Gray, une jeune sage-femme qui connaît parfaitement les plantes médicinales, Fleetwood voit en elle son dernier espoir.
Mais quand s’ouvre un immense procès pour sorcellerie à Pendle, tous les regards se tournent vers Alice, accusée comme tant d’autres femmes érudites, solitaires ou gênantes.
Alors que le ventre de Fleetwood continue de s’arrondir, la jeune fille n’a plus qu’une obsession pour sauver sa vie et celle de son bébé : innocenter Alice. Le temps presse et trois vies sont en jeu.
Être une femme est le plus grand risque qui soit.
Afficher en entier