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- Êtes-vous en train de dire que je suis stupide ?

- Stupide ? Jamais de la vie. Insensible, rustre, insultant, ça oui. (Rush décida de tenter sa chance.) Et vous êtes un sacré beau morceau. (Il s’humecta les lèvres et sourit d’un air taquin.) Mais vous n’etes pas stupide.

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« Bordel, qu’est-ce que c’est sexy ! William suça la peau sensible une dernière fois, puis se détacha du corps frémissant de son compagnon afin de se déshabiller rapidement. Il embrassa son corps de bas en haut, jusqu’à ce qu’il atteigne ses lèvres. Il glissa la langue dans sa bouche, et Rush poussa un gémissement guttural en goûtant sa propre saveur sur le muscle chaud et humide. Il suça durement la langue de William et savoura son propre goût, jusqu’à ce que le manque d’oxygène devienne un problème. Il rompit leur baiser, haletant. — Ce... Ce n’était pas à moi de faire ça ? William lui offrit un rictus et mordilla ses lèvres enflées. — Tu veux que j’arrête ? (Ses doigts taquinèrent l’entrée de Rush et dessinèrent des cercles autour de la peau plissée.) Aucun problème si tu veux être au-dessus. Je fais les deux. (Il lécha le contour de son oreille.) Peu m’importe, chéri. Rush déglutit durement, cherchant les bons mots. — Ça fait plus d’un an que je n’ai pas été avec un autre homme, et plus de quatre ans que je n’ai pas été en dessous. Je... — Ça fait longtemps pour moi aussi, confessa William. Mais au début de notre relation, j’ai fait le test. Il est négatif. (Il suçota la pomme d’Adam de Rush, envoyant des ondes de plaisir jusqu’à son membre.) Tu me fais confiance ? Rush agrippa William et l’embrassa fougueusement. — Oui, Blondinet. Arrêtons de parler. Baise-moi. — Tu es sûr ? Rush offrit un rire grondant. — Je peux être en dessous. Je ne le suis pas souvent, c’est tout. Vas-y doucement, par contre. (Il agita la main en direction de la table de nuit.) Il y a du lubrifiant là-dedans. William ricana tandis qu’il se penchait et sortait un flacon de lubrifiant du tiroir. — Quatre ans, hein ? Merde alors, ça veut dire que tu es de nouveau vierge pour le monde gay !

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« Quelque part derrière lui, il entendit Tante Béatrice pousser un cri strident de douleur. Le bouclier était relié à elle, les coups que les golems faisaient pleuvoir sur le bouclier éclatant la faisaient souffrir de martyre. — Duncan ! Reeka et moi avons besoin de toi ici. Oliver, attrape Béa. William, tu dois les arrêter. Les ordres fusèrent de sa tante, et ils se dépêchèrent d’obéir. William se lâcha et lança une série d’éclairs, réduisant deux golems en miettes. Les deux qui restaient martelaient la barrière sans aucune pitié. La magie du bouclier flamba, et il s’écroula. Des hurlements de terreur pure tranchèrent l’air nocturne lorsque les créatures détruisirent les portes. Soudain, l’un d’eux fut violemment tiré en arrière. William aperçut Oliver, qui gardait sa tante désormais inconsciente, tendre la main comme s’il agrippait la créature. Il leva brutalement la main, et le golem s’envola et fut balancé dans le ciel nocturne, vers les collines à l’ouest du domaine. Un grand boum annonça sa destruction quelques instants plus tard. Le monstre de tête avait réussi à pénétrer dans la maison. Autour de lui, William vit le personnel s’enfuir. Il courut vers lui en compressant une autre boule d’électricité, et la lança. La créature n’était qu’à un mètre de lui. La boule frappa le dos de la chose. La roche éclata dans une grande explosion qui secoua l’air. William se rendit compte, mais trop tard, qu’il était trop près de lui. Le mur d’air le rejeta en arrière, à l’extérieur, et il dérapa dans l’allée. Une vive douleur éclata dans sa tête, puis tout devint noir. *** — William ! cria Duncan en voyant son frère tomber au sol. — On n’a pas le temps pour ça, mon garçon ! Concentre-toi ! hurla Mags à son neveu, qui retrouva immédiatement sa concentration. Reeka, Duncan et elle entouraient la créature. Elle semblait danser en glissant d’un pied sur l’autre, tandis qu’elle s’approchait d’eux. — Arrière, Abomination ! Je te l’ordonne ! hurla-t-elle à pleins poumons. Le rire gargouillant du monstre la fit frissonner. — Deuxième meilleure, deuxième place. Tu n’étais pas assez bonne pour être la vraie gardienne, n’est-ce pas, Margaret ? — Je t’emmerde ! cracha-t-elle. Tu as tué ma sœur en la prenant par surprise. Ça ne marchera pas cette fois. Je suis là, et j’ai amené des renforts ! — Petite sorcière idiote. Tu m’amènes un garçon et une hippie droguée pour me combattre ? C’est ce que tu as de mieux à m’offrir ? Le monstre lui lança un jet de magie. »

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« Moins de vingt minutes plus tard, William écrasa la pédale de frein de son Hummer noir, et s’arrêta dans un crissement de pneus sur le parking de Harrington Construction. Situé à la périphérie de Maquintock Bay, ce grand bâtiment de briques rouges avait, fut un temps, été la caserne de pompiers de la ville, avant que la nouvelle ne fusse construite. Bondissant hors de la voiture, il surgit dans l’espace accueil tel un taureau dans un magasin de porcelaine. Une magnifique jeune femme rousse sursauta quand il claqua la porte derrière lui. Lui lançant un regard peu assuré, elle n’était pas certaine de qui il était. Puis elle réalisa brutalement. — M. Blackthorne. Je vous ai déjà dit que M. Harrington n’était pas disponible aujourd’hui, il est trop occupé et ne souhaite pas être dérangé. Elle descendit de sa chaise et s’interposa entre William et la porte menant au bureau de Harrington. S’avançant vers la jeune femme, William gronda comme un ours enragé : — Pas disponible, mon cul ! Je le paie un demi-million de dollars pour qu’il rénove le domaine de ma famille, il a tout intérêt à avoir le temps de me recevoir. — Je vous en prie, M. Oswald, je... Avant qu’elle ne pusse tenter de le calmer un peu plus, l’interphone sur son bureau grésilla fortement. — Faites-le entrer, Audrey, ordonna une voix masculine. William tressaillit. Audrey cligna rapidement des yeux, puis reprit contenance. Elle lissa sa jupe et lui indiqua la porte. — Par ici, M. Oswald. Elle ouvrit la porte et le pressa à l’intérieur. William la frôla en passant et avança de quelques pas à peine avant de s’arrêter net. — Eh bien ! Le grand Oz tout-puissant a daigné sortir de son palais, afin d’honorer les humbles prolos que nous sommes de son auguste présence. Le sarcasme teintant la voix bourrue de cet homme ramena brusquement William à la réalité. — Vous n’êtes pas Ford Harrington, fit-il décontenancé, exigeant une réponse. Je m’attendais à le voir lui. Penchant la tête sur le côté, les tendons du cou de l’homme se contractèrent et William jura mentalement alors que son corps commençait à bouillonner. — Non, Rushford Harrington deuxième du nom est mon père. Moi, je suis Rushford Harrington, troisième du nom. Les lèvres de Rush tressautèrent avec amusement. — Avez-vous fini de profiter du spectacle, M. Blackthorne ? Le visage de William s’enflamma et il contracta la mâchoire. — Pourquoi avez-vous suspendu les travaux ? Je paie votre entreprise pour rénover la demeure de ma famille, pas pour vous la couler douce ! » (de « Avaritia: Les Sorciers Oswald 1 » par Mathew Ortiz, Leila Bouslama, Manie Trombone)

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