Les Tuniques bleues, Tome 59 : Les Quatre Évangélistes
Auteur
- Raoul Cauvin (Écrivain)
- Willy Lambil (Écrivain)
Classement en biblio - 68 lecteurs
extrait
Bon sang ! Faites sonner la retraite ! Ça tourne à la catastrophe ! Mon Dieu ! C'est un désastre ! Un véritable désastre ! Nos effectifs ont fondu de moitié ! L'artillerie est quasi inutilisable ... La cavalerie est une fois de plus anéantie ... la preuve ... regardez ! Stark revient à pied !
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Une lecture assez intéressante même si le schéma est connu: une mission et l'impossibilité pour Cornélius et Blutch de choisir d'accepter ou non, le déroulement de la mission avec une fin attendue, sans suspense donc.
Un peu d'humour et de l'action.
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Les épisodes des Tuniques bleues se suivent et se ressemblent. On retrouve pourtant là l'humour des débuts, les petites scènes de quelques pages qui ressemblent à des sketchs faisant avancer l'histoire. Si ce n'est plus surprenant, ça reste amusant.
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Date de sortie
Les Tuniques bleues, Tome 59 : Les Quatre Évangélistes
- France : 2015-10-30 (Français)
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Résumé
Dans leur combat contre les Confédérés, les soldats de l'Union sont tombés sur un os. À flanc de colline, le commandant William N. Pendleton, un ancien pasteur, dirige sur eux quatre canons, nommés selon les Évangiles et qui ne laissent aucune chance au régiment adverse. Le capitaine Stark doit se rendre à l'évidence : s'il ne veut pas perdre tous ses hommes, il devra opter pour une solution moins classique. Le caporal Chesterfield et le lieutenant Blutch sont alors désignés pour une mission des plus périlleuses : transformés en religieux et en idiot du village, ils devront intégrer l'équipe de Pendleton et saboter son artillerie.
Pour cette 59ème aventure des Tuniques Bleues, Raoul Cauvin et Willy Lambil ont choisi d'illustrer une fois encore un épisode réel de la guerre de Sécession, théâtre des aventures de leurs héros depuis 1968. Une manière habile de dénoncer, derrière les rebondissements d'une trame drôle et légère, les dérives de la guerre et du militarisme forcené.
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