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- C'est ce que j'ai compris, dis-je avant d'adopter un ton de maîtresse d'école. il va vraiment falloir apprendre à vous tenir, les enfants.

Il me gratifia d'un sourire majestueux.

- J'aime quand tu fais la maligne, chaton.

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Tu es ma plus grande force, mais aussi ma plus grande faiblesse.

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Il s'interrompit et secoua la tête avant de reprendre :

- Je commence à me rappeler ce que cela signifie d'avoir besoin de choses. Du rire. D'une compagne. D'amour. (Il se pencha en avant pour poser son front contre le mien.) Et j'ai besoin de toi, Merit.

Je déglutis. C'était des paroles auxquelles je ne m'attendais pas, je n'étais pas préparée à cela. "Je te veux", oui. "Je te désire", bien sûr. Mais pas "J'ai besoin de toi" - pas l'aveu de faiblesse que cela évoquait. Ce simple mot de six lettres me démunit et me dépouilla de toutes les défenses que j'avais si soigneusement élaborées.

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- Bonsoir, dis-je en tendant le plat. Elle n'arrête pas d'essayer de me gaver.

- C'est comme ça que Berna montre son affection.

Ce n'était apparemment pas pour mon physique qu'elle m'aimait. Mais j'avais encore un plat sur les bras.

- Y a-t-il un endroit où je peux laisser ça quelques heures ?

- Tu crois que le fait de porter un plat de choux farcis va entraver tes pouvoirs de vampire ?

- Je risque d'avoir du mal à manier le sabre.

- Ce serait fort regrettable, dit-il, pince-sans-rire.

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«Tu crois que je n'ai pas réfléchi à ce que serait pour moi de remonter dans mes appartements chaque matin pour t'y retrouver ? De te rejoindre dans un lit, de posséder ton corps, ton rire et ton esprit ?

De te regarder au milieu des autres en sachant que tu es mienne, que je t'ai gagnée. Moi.

(il tapota du doigt sur son torse)

Moi. Ethan Sullivan. Pas le chef de la Maison Cadogan, pas le vampire de quatre cents ans, pas l'enfant de Balthasar ni le Novice de Peter Cadogan. Moi. Juste toi et moi. Juste toi et moi.

(il s'humecta les lèvres et secoua la tête)

Je ne peux m'offrir ce luxe Merit.»

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«Je suis défait devant toi, Mérit. Complètement. Tu ne me crois pas sur parole. Tu me défies en toute occasion. Et cela signifie que lorsque je suis avec toi, je suis moins que le chef de cette Maison, et en même temps plus que le chef de cette Maison. Je suis un homme.

(il me caressa les joues de ses pouces)

Au cours de ma très longue existence, je n'ai jamais rien désiré autant que toi.»

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«Il m'attira par le poignet, m'attirant d'un coup sec vers lui jusqu'à ce que mon corps soit collé au sien. Mon coeur se mit à battre la chamade. Nous nous tenions là dans le noir, mon esprit absorbé par le contact de ses mains, l'une autour de mon poignet, l'autre collée à me reins.

[…]

Avec une dangereuse lenteur, il abaissa le visage, rapprochant ses lèvres de mes cheveux. Mes bras se couvrirent de chair de poule et mes paupières se fermèrent doucement. Ma peau picotait sous l'effet enivrant du désir et du pouvoir. Une magie vive et acérée irradiait nos corps, emplissant l'espace que nous occupions tous les deux.»

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«Le chagrin est une émotion infiniment pénible. Une amie m'avait dit autrefois que la rupture d'une relation était douloureuse parce-que c'était la fin d'un rêve -l'avenir qu'on avait imaginé avec un amant, un amoureux, un enfant ou un ami. Que la perte causait une douleur presque palpable. Il fallait imaginer un nouvel avenir, peut-être dans un nouvel endroit, avec des gens différents, à faire autre chose que ce qu'on avait tout d'abord imaginé.»

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chapitre 1

Bienvenue au club

Début juin Chicago, Illinois

Elle marquait le point de départ de la route 66, surnommée la

« Grand-Rue de l’Amérique ». La fontaine Buckingham, au cœur de Grant Park, tenait son nom du frère de la femme qui en avait fait donation à la ville de Chicago. De jour, le jet principal du bassin, une colonne d’eau de trente mètres de haut, séparait le lac Michigan du centre-ville de Chicago.

Mais il était tard et l’eau avait été coupée pour la nuit. Le parc était officiellement fermé au public, mais cela n’empêchait pas une poignée de traînards de déambuler autour de la fontaine, ou de se percher sur les marches qui descendaient sur l’allée bordant le lac pour contempler ses eaux noires et scintillantes.

Je consultai ma montre. Il était 00 h 08. Je me trouvais là parce que j’avais reçu des messages anonymes. Les premiers évoquaient des invitations. Le dernier me donnait rendez-vous à la fontaine à minuit, ce qui signifiait que mon correspondant avait huit minutes de retard.

J’ignorais totalement qui m’avait invitée et pour quelle raison, mais j’étais assez curieuse pour faire le trajet jusqu’au centre-ville depuis Hyde Park. J’étais également assez prudente pour ne pas venir sans arme et je portais une courte dague au manche de nacre fixée sous ma veste. La dague m’avait été offerte par le Maître vampire Ethan Sullivan puisque j’étais Sentinelle de sa Maison.

Je n’avais probablement pas l’apparence de la vampire typique, étant donné que l’uniforme de Cadogan – un tailleur pantalon moulant noir – ne tenait pas vraiment du costume de film d’horreur. J’avais tiré mes longs cheveux noirs en queue-de-cheval, comme d’habitude, avec une frange sur le front. Je portais une paire d’escarpins à brides qui, malgré ma préférence pour les Puma, allaient assez bien avec ma tenue. Mon bipeur était accroché à ma ceinture pour les cas d’urgence.

En tant que Sentinelle de la Maison, je ne me déplaçais jamais sans mon katana et ses soixante-quinze centimètres d’acier parfaitement affûtés. Mais pour ce rendez-vous, j’avais laissé mon sabre à la maison, craignant que la vue du fourreau rouge n’attire trop les regards humains. Ma présence dans le parc après les heures d’ouverture suffirait déjà à éveiller la curiosité de la police de Chicago ; une arme de samouraï de près d’un mètre aurait du mal à les convaincre que j’étais là uniquement pour faire connaissance et échanger des politesses.

Et en parlant de faire connaissance…

— Je n’étais pas sûr que tu viendrais, dit soudain une voix derrière moi.

Je tournai des yeux stupéfaits vers le vampire qui venait de me parler.

— Noah ?

Plus particulièrement, il s’agissait de Noah Beck, le chef des Solitaires de Chicago – ceux qui n’étaient liés à aucune Maison.

Noah était massif – des épaules larges surmontant un torse musclé. Ses cheveux châtains étaient ébouriffés. Il avait les yeux bleus et, ce soir, il arborait une barbe de deux jours. Noah n’avait rien d’un top-modèle, mais avec sa stature, sa mâchoire affirmée et son nez légèrement crochu, il aurait pu sans problème tenir le premier rôle dans un film d’action. Il était habillé, comme d’habitude, tout en noir : un treillis et un tee-shirt moulant pour remplacer celui à manches longues qu’il portait quand il faisait plus froid.

— Tu voulais me rencontrer ?

— En effet, répondit-il.

Comme il n’ajoutait rien, au bout de quelques secondes j’inclinai la tête vers lui.

— Pourquoi ne pas m’appeler et demander à me voir, tout simplement ?

Ou mieux encore, pensai-je, pourquoi ne pas appeler Ethan ? Il était en général plus que partant pour m’expédier dans les bras de vampires dans le besoin.

Noah croisa les bras sur sa poitrine, l’expression grave, son menton baissé touchant presque son tee-shirt.

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Le chagrin est une émotion infiniment pénible. Une amie m'avait dit autrefois que la rupture d'une relation était douloureuse parce que c'était la fin d'un rêve - l'avenir qu'on avait imaginé avec un amant, un amoureux, un enfant ou un ami. Que la perte causait une douleur presque palpable. Il fallait imaginer un nouvel avenir, peut être à un autre endroit, avec des gens différents, à faire autre chose que ce qu'on avait tout d'abord imaginé.

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