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— Qu’est-ce que l’Ordre a l’intention de faire à ton sujet ? l’interrogea Ethan.

— Prétendre que je n’existe pas ?

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Sans barrière, il est plus facile d’entrer. Cette usine de Wicker Park n’avait pas de grille non plus. Si je peux parler franchement…

— Tu ne peux pas, marmonna Angelo.

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P205

Il s'assit sur le lit à côté de moi, la boîte nichée au creux de ses mains. L'ouverture d'un écrin de velours augurait d'une découverte intéressante, même si nous allions devoir précipiter le cérémonial. Je sentais déjà les prémices de l'aube peser sur mes paupières.

_Tu me demandes en mariage? questionnai-je d'un ton endormi.

_Quand je ferai ma demande, tu le sauras.

Mon cœur s'emballa, éveillant de nouveau ma conscience.

_"Quand"? Qu'est-ce que tu veux dire par "quand"?

_Je reste sur ce que j'ai dit, déclara-t-il en ouvrant la boîte avant de me la présenter.

Elle renfermait un pendentif étincelant en argent en forme de gouttelette, attaché à une chaîne du même métal.

Un "C" élégant, semblable au poinçon d'un bijoutier, était gravé au dos, entouré d'une inscription minuscule mais bien lisible: "Maison Cadogan, Chicago".

Une goutte de sang éternelle marquant notre appartenance à la Maison Cadogan. Un rappel parfait de nos origines et de nos serments de loyauté.

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J'ai choisi cette phrase parce que je la trouvais joli. Maintenant, j'ai la chance de pouvoir affirmer qu'elle dit vrai. ( Les larmes me montèrent aux yeux.) J'ai la vie éternelle. Mais tu es ma passion immortelle.

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2

ÉTOILE DU SOIR

L’air nocturne était froid et mordant et une couche de neige sale et gelée qui ne fondrait pas totalement avant plusieurs semaines recouvrait les routes et les trottoirs. Saluant d’un geste les humains qui gardaient la grille entourant Cadogan, je me dirigeai vers ma voiture, garée sur une place que j’avais trouvée après avoir fait trois fois le tour du pâté de maisons.

Ce soir-là, le portail était fermé, ce qui n’était arrivé que très rarement depuis que j’avais été transformée en vampire, dix mois auparavant. La violence à laquelle nous avions été confrontés récemment – de la part de surnaturels engagés par le PG ou encore de l’assassin envoyé par McKetrick – nous avait conduits à renforcer les mesures de sécurité.

En me voyant approcher, l’une des humaines, un pistolet au côté, entrebâilla l’un des battants ajourés en acier pour me permettre de sortir.

Elle porta la main à la visière de sa casquette noire pour me saluer, puis ferma le vantail après mon passage, isolant de nouveau la Maison Cadogan de Hyde Park et du reste du monde.

Dès que je montai dans ma voiture, je poussai le chauffage au maximum, sans effets notables. Mon nouveau manteau, même chaud, ne changeait rien au fait que nous étions en février à Chicago. Quand l’aération émit un bruit de brindille prise dans les rayons d’une bicyclette, je baissai le réglage, préférant un chauffage peu performant, mais fonctionnel, à pas de chauffage du tout.

À présent hors de l’enceinte de la Maison, je jugeai que je pouvais sans risque appeler Jonah afin de savoir ce qui se passait du côté des vampires affiliés au PG. Vu que seul Ethan à Cadogan était au courant de mon appartenance à la Garde Rouge et que notre entraînement ne s’était pas vraiment déroulé dans l’intimité, j’avais réduit les discussions avec Jonah au minimum à l’intérieur de la Maison.

J’actionnai le haut-parleur du téléphone flambant neuf qui remplaçait mon ancien bipeur et composai son numéro.

Il décrocha dès la première sonnerie. Un brouhaha régnait en fond sonore.

— C’est Merit. Quoi de neuf ?

— Depuis que je t’ai vue il y a une heure ? Rien. Tu es dans ta voiture et tu t’ennuies, c’est ça ?

— Je ne m’ennuie pas. J’avais juste envie de connaître l’état de tes réflexions. Et puis, on ne peut pas dire qu’une salle d’entraînement pleine de vampires soit l’endroit idéal pour discuter.

— J’ai une vie, tu sais.

— Ah bon ? le taquinai-je. Ça m’étonne.

— En fait, j’ai un rendez-vous, ce soir.

Je cillai. Je dois le reconnaître, cet aveu me perturba un peu. J’avais beau être très amoureuse d’Ethan, en qualité d’équipiers, Jonah et moi partagions une relation privilégiée, unique, requérant un genre différent de confiance et d’intimité. Je trouvais étrange de penser qu’une autre femme allait en faire partie.

J’étais cependant capable de faire bonne figure.

— Qui est la chanceuse ?

— Une Solitaire. Noah nous a présentés. Je ne sais pas si ça mènera quelque part, mais j’aime bien son style. Et son physique.

— Ne m’en dis pas plus.

— Merit, serais-tu jalouse ? m’asticota-t-il.

Je ne l’étais pas, pas vraiment. Seulement un peu abasourdie. Mais je ne comptais pas l’admettre à voix haute.

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— Il y a surabondance de vampires et de testostérone dans cette Maison, déclarai-je.

Ethan leva les yeux au ciel. Il pouvait contester la formulation autant qu’il le voulait, les faits parlaient d’eux-mêmes.

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Il me fallait des bonnes nouvelles et de l’action. Il me fallait des progrès, car je commençais à me sentir comme un chien de la brigade des stups qui n’aurait pas flairé de valise suspecte depuis longtemps.

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— La menace surnaturelle, c’est mon pied qui risque de lui botter le cul, marmonna Lindsey.

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Ethan s’assit au bord du lit afin de fixer ses boutons de manchettes à sa chemise. J’avais l’impression qu’il était sans cesse en train d’ajuster des boutons de manchettes. Peut-être était-ce une bonne idée de cadeau de SaintValentin tardif. Des cœurs marqués de nos initiales ? Des katanas, miniatures en argent ? De petits personnages masculins arquant de minuscules sourcils ?

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Mon père accueillit l’approbation d’Ethan par un signe de tête appréciateur.

— Maintenant que les salutations sont faites, que diriez-vous de prendre un verre dans le bureau avant le dîner ? Ce sera l’occasion de discuter.

Il jeta en direction de ma mère un regard inquisiteur, probablement pour s’assurer qu’il leur restait suffisamment de temps avant que le repas soit servi.

— Allez-y, confirma ma mère. Laissez-nous papoter. Ouste, ajouta-t-elle en les chassant d’un geste.

Ethan se retourna vers moi, affichant une expression difficile à déchiffrer, quelque part entre « sauve-moi ! » et « je commence à regretter d’avoir accepté cette invitation à dîner ».

— À tout à l’heure, chéri, lançai-je en lui adressant un salut moqueur de la main.

Il plissa les yeux quand Robert et mon père le conduisirent dans le couloir, mais les suivit bon gré mal gré, tel un prisonnier ayant perdu tout espoir de s’échapper et accepté l’inéluctabilité de sa sentence.

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