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Avec cette grâce surnaturelle dont leur espèce était dotée, Keegan parcourut la distance qui le séparait du vieux meuble et saisit le stylo. Le capuchon demeura sur la surface immaculée du bureau.

- Tu étais en train d'écrire tes mémoires, n'est-ce pas?

Elle tenta de hausser nonchalamment les épaules.

- Tu en voudras une copie lorsque j'aurai terminé?

- Pour lire quoi? Les inepties d'une putain qui est aussi froide au lit qu'un bloc de glace? Une dinde congelée aurait été plus accueillante pour ma queue!

- Ne te flatte pas, répliqua-t-elle. Ta queue ne pourrait même pas remplir la cavité d'un lapin!

un des voyous laissa échapper un gloussement partial. Cela s'avéra une grossière erreur: à la vitesse de l'éclair, Keegan sauta sur le gars et lui plongea un pieu dans la poitrine, le réduisant ainsi en poussière.

Ses yeux brillaient rouge lorsqu'il se retourna.

- Quelqu'un d'autre a une opinion à ce sujet?

Toujours maîtrisée par les deux vampires, Rose les sentit se figer à la question de leur patron.

- Bien ce que je pensais, ajouta ce dernier en retournant vers le bureau. Donc, où en étions-nous?

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- Alors, dis-moi. Qu'est-ce que ça t'as fait fr traverser l'histoire ? demanda Blake à Rose, les yeux écarquillés.

Rose sourit.

- On ne pense pas que c'est l'histoire quand on la vit au moment présent. Ça ne devient l'histoire que plus tard, répondit-elle.

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— Rose, ne sais-tu pas ce qui se passe entre des compagnons liés par le sang ? Samson se nourrit d’elle parce qu’elle est sa compagne. Un vampire lié à un être humain ne peut se nourrir que d’une seule et unique source : le sang de son ou sa compagne.

— Mais, il l’utilise. Comme tous ceux que j’ai connus. Nous les utilisons tous.

Le pensait-elle vraiment ? Ne comprenait-elle pas ce que ressentait Delilah en laissant son compagnon se nourrir d’elle?

— C’est le plus grand plaisir qu’il puisse lui procurer.

Le visage de Rose se figea sous le choc.

— Quoi ? rétorqua-t-elle en s’écartant de Quinn.

— Nourrir son compagnon. Le plaisir sexuel qui l’accompagne n’est comparable à rien d’autre en ce monde, poursuivit-il en franchissant l’espace qu’elle avait créé entre eux.

À présent, elle se retrouvait dos au mur. Quinn glissa un doigt sous son menton et le lui souleva. Il lui caressa la peau lisse de sa mâchoire.

Comment ne savait-elle pas ce genre de choses ?

Lorsqu’elle dévisagea Quinn, un million de questions dans les yeux, celui-ci comprit finalement comment procéder. Il lui montrerait la beauté d’une vie en tant que vampire. Il lui montrerait qu’ils détenaient tous cette capacité à aimer, et qu’être une créature de la nuit n’était pas synonyme d’une

âme obscure.

— Douce Rose. La morsure d’un vampire est comme un baiser : passionnée, sensuelle, tendre. Elle représente tout ce que tu veux qu’elle soit. Quoi que ton cœur ressente, la morsure l’amplifiera.

Il laissa glisser la jointure de ses doigts le long du cou de Rose, remarquant à quel point la grosse veine palpitait sous son toucher. Ses boyaux se resserrèrent sous la tentation.

— Comme un baiser, murmura-t-elle. Mais, comment ?

— Aucun vampire n’a jamais enfoncé ses canines en toi ? Puisé ton sang sucré ?

Il inspira, désireux de remplir ses poumons de son alléchant parfum. Oh, Dieu, comme il désirait son sang en cet instant précis ! Les battements de cœur de Rose lui parvinrent tout à coup aux oreilles. Ce son était si fort qu’il pensa qu’il était perceptible par tout ce monde présent dans la maison.

— Jamais. Je n’ai jamais autorisé quiconque à m’utiliser de la sorte.

Sa voix tremblait. Quinn fixa ses yeux et remarqua à quel point ils s’étaient assombris. Elle avait les lèvres entrouvertes, et sa respiration était irrégulière.

— Utiliser ? Ce n’est pas comme ça entre personnes qui s’aiment

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Il passa à côté d’elle, ouvrit la porte, poussa Rose à l’intérieur et la suivit de près. Une fois entré dans sa chambre, il verrouilla la porte, afin de s’assurer que personne ne pût entrer et les interrompre.

Le regard de Rose se posa subitement sur la serrure, puis de nouveau sur Quinn, avant d’atterrir une seconde plus tard sur le lit.

Quinn suivit son regard avant de la dévisager à nouveau.

— Cette fois, je ne vais pas te forcer à faire quoi que ce soit. Quoi qu’il se passe ici découlera de notre volonté à tous les deux. Tu pourras repartir à tout moment, tu pourras refuser tout ce que tu veux.

— ... ou je pourrai accepter n’importe quoi, poursuivit-elle.

Le regard suggestif dont elle le gratifia le percuta dans tout son corps, comme une balle de revolver. Il se souvenait d’elle de cette manière : espiègle et réceptive.

— Vais-je encore devoir attendre longtemps pour un baiser, ou est-ce trop effronté pour une dame d’en voler un ? ajouta-t-elle.

Son sourire coquet fit fondre le cœur de Quinn.

— Je ne laisse jamais patienter une dame.

Ces mots s’étaient à peine échappés de ses lèvres qu’il la prit dans ses bras.

— Mais je fais toujours jouir une dame.

Il écrasa sa bouche contre celle de Rose et libéra la passion qu’il avait contenue pendant deux siècles.

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Tout à coup, il sentit le cœur de son épouse battre contre le sien en un rythme effréné, aussi grave et mélodique qu’un tambour, mais aussi rapide qu’un marteau-piqueur.

— Quinn, gémit-elle, relâchant sa bouche durant une fraction de seconde.

Il aurait souri, s’il n’avait pas été si occupé à reconquérir ses lèvres. Savoir qu’elle aimait son goût, qu’elle avait pris une petite goutte de son sang lui donna de l’espoir : ils allaient arranger les choses entre eux et supprimer les obstacles subsistants. Cette fois, ils feraient en sorte que cela fonctionnât.

Son besoin d’elle montant en flèche, il laissa ses mains errer sur son corps. Lorsqu’il enroba un sein dans la paume de sa main à travers le tissu du top, les sons de plaisir que Rose émit vibrèrent contre ses lèvres, engendrant d’agréables picotements.

Il grogna, à présent impatient de toucher la peau nue de son épouse. Comme si elle savait ce qu’il voulait, elle laissa tomber les mains aux bords de son tee-shirt et le tira vers le haut.

— Non, s’il te plaît, murmura-t-il. Laisse-moi le faire.

Il ne pouvait penser à plus grande joie que de la déshabiller, de la mettre à nu, comme un cadeau, le jour de Noël.

Docilement, elle lâcha son tee-shirt et posa les mains sur le torse de Quinn. Ses doigts agiles se dirigèrent instantanément vers les boutons de sa chemise, les faisant sauter l’un après l’autre.

— Un prêté pour un rendu, dit-elle.

Il gloussa et tira le tee-shirt vers le haut, l’interrompant ainsi dans son activité lorsqu’il le lui passa par-dessus la tête. Tandis qu’il jetait le vêtement au sol, ses yeux étaient déjà en train de consommer ce qu’il avait mis à nu. Le soutien-gorge en dentelle qu’elle portait était pratiquement transparent et ne concédait rien à son imagination.

En admiration, il baissa la tête et porta les lèvres sur le mamelon qu’il pouvait clairement apercevoir à travers le très fin tissu. Il glissa la langue hors de sa bouche et le lécha, dégustant ainsi le bouton de rose. Oui, voilà ce qui lui avait manqué toute sa vie : le goût de Rose.

Préalablement occupée à déboutonner sa chemise, Rose mit un terme à son activité et saisit plutôt les revers du vêtement, s’y agrippant comme si sa vie en dépendait.

Tout en poursuivant son sensuel assaut sur le mamelon, Quinn orienta les mains vers les bretelles du soutien-gorge et les fit rapidement glisser sur les épaules de sa partenaire, ce qui lui permit d’écarter le tissu des seins. Lorsque ses lèvres et sa langue y rencontrèrent la chair, il suça avidement ce mamelon qui avait durci depuis longtemps dans sa bouche.

Désireux de ne pas négliger l’autre sein, Quinn changea de côté, léchant et suçant le deuxième mamelon de la même manière, tout en malaxant la chair dans sa main. L’arôme qui émanait de la peau de Rose s’intensifia, imprégnant ses narines de cette douce odeur de femme excitée. Avec un goût de pétale de rose, sa peau l’engloutissait dans un jardin anglais rempli de centaines de rosiers.

Sachant qu’il lui fallait goûter d’autres zones de son corps, il continua à la déshabiller, ses mains s’affairant rapidement sur le bouton et la fermeture éclair de son pantalon, avant d’aboutir sur ses hanches. Il abandonna ses seins et laissa ses mains glisser le long de ses jambes tout en s’abaissant jusqu’à amener la tête au sommet de ses cuisses. Tandis qu’elle se libérait de son pantalon, après s’être débarrassée de ses sandales à hauts talons quelques instants plus tôt, Quinn la stabilisa, les mains plaquées à l’arrière de ses cuisses.

Rose tituba un instant, mais il l’attira vers lui et appuya son visage contre le centre de sa féminité, là où son slip cachait son sexe. Aussi délicat que les ailes d’un papillon, le tissu moulant lui obstruait la vue, mais laissait toutefois échapper son parfum.

Quinn prit une autre inspiration, remplit ses poumons de ce délicieux arôme, conscient des effets que ce dernier avait sur lui, et que nulle autre femme ne lui avait jamais procurés : son cœur s’adoucit, et les murs qui l’entouraient se fissurèrent pour la première fois en deux siècles.

Rose enfonça ses doigts dans les épaules de son mari.

— Arrête.

Il leva la tête pour la regarder, surpris par cet ordre. Avait-elle changé d’avis ? Lorsque son regard rencontra le sien, il remarqua son sourire.

— Je veux que tu te dénudes aussi.

Quinn se redressa tout en déboutonnant le dernier bouton de sa chemise avant de s’en débarrasser.

— Mieux, approuva-t-elle en désignant ensuite son jeans. Maintenant, ton pantalon.

Il se déchaussa et dirigea les mains vers la boutonnière de son jeans. Il le défit et descendit la fermeture éclair. Rose laissa glisser sa main sur la sienne, s’appropriant cette tâche. Délibérément, lentement, elle baissa la fermeture éclair tout en laissant glisser son autre main sur le côté de celle-ci, caressant la dure saillie qui se recourbait contre le bas-ventre de son époux.

Quinn laissa échapper un sifflement.

— Putain, Rose, refais ça, et tout sera terminé avant d’avoir commencé.

Elle fit claquer sa langue et le caressa à nouveau.

— Et dire que je pensais que tu étais ce playboy expérimenté qui avait plus d’endurance que n’importe qui.

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— C’est mon combat. Tu ne penses pas honnêtement que je vais rester en arrière et me cacher dans un endroit sûr parce que tu le dis, n’est-ce pas ?

Les mains sur les hanches, elle renforça sa position.

Quinn se pencha plus près.

— Je suis entraîné à me battre. Pas toi. Pas de discussion.

— Comment penses-tu que j’aie survécu ces deux cents dernières années ? Je ne suis plus une débutante. Je suis plus forte que tu ne le penses. Et tu sembles avoir un problème avec ça.

Il plissa les yeux.

— Tu veux dire que je te sous-estime ?

Elle prit une profonde inspiration.

— Je veux dire que vous, Monsieur, se moqua-t-elle, me voyez encore comme une timide femme sans défense qui va s’évanouir à l’approche du moindre ennui. Je ne suis plus cette personne. Ne vous laissez pas berner par l’emballage.

— Rose, dit-il, un grognement d’avertissement empreint dans la voix. Je peux te maîtriser en deux petites secondes, et le combat rapproché n’est même pas ma spécialité. Fais-moi confiance—

Il ne put poursuivre. Rose posa ses lèvres sur les siennes. Tandis qu’elle le sentait répondre à son baiser, elle tendit la main vers le lit. Dès qu’elle ressentit la douce sensation du bois lisse dans la paume de sa main, elle saisit l’arme de son choix, se tortilla pour se libérer des bras de Quinn, tournoya derrière lui et, en une fraction de seconde, l’agrippa fermement, le pieu pointé sur son coeur.

— Le combat rapproché est ma spécialité, lui murmura-t-elle à l’oreille. Plus près on se trouve, mieux c’est.

La poitrine de Quinn se souleva contre la pointe du pieu.

— Parce que tu m’as trompé. Comptes-tu vaincre Keegan de cette façon ? C’est ça, Rose ?

Il tourna la tête pour la regarder.

— Alors, prépare-toi au massacre car, si cet homme te touche une fois de plus, je lui arracherai le cœur en train de battre.

Sa jalousie était palpable. Rose n’avait jamais vu une telle fureur dans les yeux de Quinn, une expression si tendue sur son visage; même pas lorsqu’il avait été en colère contre elle après avoir réalisé qu’elle lui avait menti.

Elle le relâcha.

Un instant plus tard, elle se retrouva sur le dos, Quinn la poussant sur le matelas.

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Assis devant son ordinateur, Thomas n’eut pas à regarder par-dessus son épaule pour savoir qu’Eddie se tenait près de lui. Dans le coin le plus éloigné de son salon, Portia et Delilah occupaient Blake avec un jeu Wii, pendant que le bébé dormait paisiblement sur le canapé, sourd au bruit provoqué par les adultes.

— Toujours rien ? demanda Eddie en tirant une chaise pour s’asseoir aux côtés de son mentor.

Thomas lui lança un regard de côté, désireux de ne pas laisser ses yeux s’attarder trop longuement sur les larges épaules et les hanches étroites du jeune vampire. Tout cela n’entraînerait qu’un désir foudroyant qui se répandrait dans tout son corps et le calcinerait de l’intérieur. Et, sachant qu’il s’agissait d’une impasse, il était déterminé à ne pas s’engager dans cette voie.

— On dirait que ce Keegan est un fantôme. Je ne trouve absolument rien sur lui et ce, malgré toutes les informations que Rose nous a données. Tout ce que nous avons, c’est le lieu de sa dernière résidence mais, cela, Rose le savait déjà. Avant ça, il n’y a rien. Et, de par mes contacts à Chicago, je sais qu’il a déjà déserté cet endroit et a disparu, expliqua Thomas.

Eddie fronça les sourcils.

— Ce n’est pas comme si tu ne trouvais rien. Tu es le meilleur, répliqua Eddie.

Thomas sourit face à l’enthousiasme de son protégé.

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— Eddie et moi allons nous installer. Quelles chambres sont disponibles ?

Rose ne remarqua, qu’à cet instant précis, le petit sac à dos que Thomas portait en bandoulière.

— Il n’y a qu’une chambre libre au deuxième étage, à côté de la mienne. Si ça ne vous dérange pas de la partager, les gars ? répondit Quinn.

Rose surprit une expression étrange sur le visage de Thomas, comme s’il préférait rester seul.

Sachant que Quinn n’utiliserait de toute façon pas sa chambre, elle estima qu’il était inutile de les mettre mal à l’aise.

Elle tira sur le bras de Quinn et se pencha plus près de lui.

— Pourquoi ne donnes-tu pas ta chambre ? murmura-t-elle.

Quinn la dévisagea immédiatement.

— Pourquoi devrais-je—?

Il s’arrêta à la vue de la bouche de Rose, laquelle pointait sa langue, afin d’humidifier ses lèvres soudainement asséchées.

— Tu n’en auras pas besoin, répondit-elle.

Dès qu’il capta ce sous-entendu, ses yeux s’obscurcirent, ne laissant plus y refléter qu’un désir flamboyant. Sans rompre le contact visuel, il donna de nouvelles instructions à Thomas.

— Prenez les chambres 23 et 24. Je transposerai mes affaires dans la chambre de Rose plus tard.

— Super ! répondit Thomas, l’évidence du soulagement présente dans sa voix, tandis qu’il montait les escaliers, Eddie sur ses talons.

Un instant plus tard, Quinn attira Rose dans ses bras.

— Comment puis-je te remercier pour cette invitation ?

Rose débordait de désir. Elle se mordit la lèvre.

— Ce n’est pas une invitation, mais plutôt une exigence.

La bouche de Quinn se tordit en un sourire.

— Comment ça ?

— En tant qu’épouse, j’ai certains droits. L’un d’eux est d’avoir des rapports avec mon mari.

Elle remarqua le mouvement de sa pomme d’Adam lorsqu’il déglutit. Quinn laissa alors glisser sa main sur les fesses de Rose, les enroba de sa paume, pressant ainsi sa femme plus fort contre lui.

— Ton mari a également des droits, tout comme des devoirs. Par chance, ils coïncident avec les tiens.

— Eh bien, je suis donc une femme chanceuse.

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- 2 martinis-boodles, secs, sans olive, ordonna - t - il en voyant sa marque préféré de london dry derrière le bar. Touiller, pas secouer.

Le barman hochà la tête et se mit au travail.

- Je pensais que James bond insistait toujours pour que ses martinis soient secoué, et pas touiller, dit elle.

Quinn pensa qu’elle semblait trouver cette remarque beaucoup plus amusante qu’elle ne l’était en réalité.

-Bond connais les femmes, pas les martinis.

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