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-Ne pars pas, dit Thomas.

Eddie se tenais sur le pas de la porte, une serviette enroulé autour du corps, sur le point de quitter la chambre de Thomas.

Il lui avait fallu tout ce qui lui restait de volonté pour faire les quelques pas vers la port après que Thomas les eût séchés tout les deux.

Mais il ne parvenait pas à tourner les poignée et sortir.

Ce que Thomas offrait était tros tentant pour le décliner.Son corp voulais mais son esprit le combattait.

Thomas était debout derrièr lui, les mains sur ses épaules, les laissant doucement glisser le long de ses bras en le caressant avec les doigts.

La chaire de apparut sur sa peaux et un soupir s'echappa des ses lèvres.

Il n'avait pas réalisé que le touchez d'un homme pût avoir un toucher si tendre.

-Je devrais y aller.

-Pourquoi?

Eddie n'eut aucune réponse quoiqu'il fouillât longuement dans son esprit pour en trouver une.

-De quoi à-tu peur?

Les mains de Thomas le caressèrent tout le long du dos, ses doit glissant sous la serviette,la détachant et envoyant ainsi des coullée de lave sur son derrière

La respiration d'Eddie marqua un arrêt.S'il il restait, il savait ce qui se passerait .

Thomas le prendrais de la seuls façon dont un homme pouvait le faire.

Il n'était pas prêt pour cela .

Bon sang, il ne pensait jamais être un jouet prêt pour cela.

Comment pourais-t-il autoriser un autre à le prendre comme ça

-Je ne ferais rien que tu ne veuilles pas,ajouta Thomas

La serviette tomba à terre et l'air frais souffla contre son corp échauffé.

Les mains chaude de Thomas glissèrent sur sont derrière, l'enrobèrent, l'incitant à se presser contre elles même si son esprtit lui disait de s'échapper tant qu'il le pouvait.

-Je ferai seulement ce que tu veux que je fasse.

Les mains de Thomas se déplacèrent autour de ses hanches, glissèrent vers l'aine, et ses doit peignèrent le touffe de poils présent autour de son sexe, lui promettant davantage de plaisir.

Eddie ferma les yeux.A présent, son corps tremblait presque.

Il n'avait plus les idées claires

J'aime te toucher, admit Thoma en recouvrant le sexe d'Eddie de ses mains pour le caresser.

Sous ce toucher, son membre durcie et il tenta de lutter contre cela, mais en vain.

Tant dis que les mains de Thomas le caressaient, sa verge se redressa de toute sa longueur et se recourba vers le haut, en réclamant davantage.

Le désir se répondit dans tout sont corps, bouillant dans sont ventre.

Il fut incapable de le contenir plus longuement.

Bientôt ce desir dominerait sont corps et prendrait les décisions pour lui.

-Laisse-moi tu sucer, Je te promets que tu aimeras ça.

Eddie n'en avait aucun doute.

Mais s'il laissait cela se produire, ses sentiments ne seraient-ils pas renforcés?

Cela n'empirerait-il pas les choses? Un autre homme en train de le sucer n'était-ce pas considéré comme du sexe homosexuel? Bien plus encore que de laisser Thomas le masturber? S'enfonçai-il encore et encore plus prondément la-dedans?

Ne serai-ce pas mieux de partir maintenant et considéré ceci comme un stupide acte unique?

Une faute de jugement. Tout le monde commettait des erreurs.

N'était-il pas autorisé à en commettre une également?

D'accord peut-être deux s'il il comptait le baisez sur le chantier et la branlette subséquante dont Thomas l'avais gratifié.

Thomas le retourna de qu'il pût lui faire face.Ses yeux plonger dans les ceux d'Eddite.

-Reste.

Incapable de prendre une décision, Eddie le dévisagea simplement et ne protesta pas quand Thomas le conduisit vers le lit.

Eddie se coucha sur le dos et le regarda.

Nu et excité, son mentor, le plus beaux speciment de virilité qu'il eut jemais rencontré, se tenait au-dessus de lui.

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- Il y a quelque chose que tu dois savoir.

Il prit une profonde inspiration et poursuivit.

Spoiler(cliquez pour révéler)- Nina, je suis gay, et Thomas est mon amant.

Il expira profondément et détourna le regard, non désireux de lire la déception dans les yeux de sa sœur. Pas un seul mot ne sortit de la bouche de celle-ci. Seul un silence de stupéfaction l'accueillit. Il avala la boule qu'il avait dans la gorge.

- Je suis désolé, murmura-t-il. Je ne l'ai pas choisi. C'est juste arrivé. Et je ne peux pas revenir en arrière. Je suis ce que je suis. Je ne voulais pas te décevoir à nouveau.

Lorsqu'une douce main lui toucha l'avant-bras, il releva brusquement la tête.

Nina le regardait, ses yeux bruns focalisés sur lui.

- Me décevoir ? Oh, Eddie, tu ne me déçois pas. Tu es mon frère, ma famille. Je t'aime quoi qu'il arrive.

Elle soupira.

- Apparemment, mon radar à homos est complètement hors-service, ces jours-ci. Je ne l'avais pas vu venir, ajouta-t-elle.

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— Comment se fait-il que tu sois si sûre qu’Oliver va bientôt faire sa demande à Ursula ?

Thomas lui fit un clin d’oeil et se pencha plus près de lui de sorte à ce que personne ne pût les entendre. Tandis qu’il approchait ses lèvres de l’oreille d’Eddie, il put inhaler son odeur masculine.

Son coeur se mit à battre la chamade, le pouls galopant. Il éprouva des difficultés à se rappeler ce qu’il voulait dire à Eddie.

— Parce que, l’autre nuit, j’ai vu Oliver acheter une bague.

Il s’écarta et s’éloigna d’un pas d’Eddie, mettant une certaine distance entre eux de sorte à ne pas être submergé par son désir pour le jeune vampire et, dès lors, commettre quelque chose de stupide. Eddie en fut bouche bée.

— Toi, chien ! Tu viens juste de voler une centaine de dollars à Cain.

Quoique ses paroles fussent outrageuses, ses yeux pétillaient, et ses lèvres se recourbèrent en un sourire. Des fossettes apparurent sur ses joues et, pendant un moment, il ressembla exactement au jeune gamin que Thomas avait pris sous son aile un an auparavant. Thomas en éprouva un pincement au coeur. La vie lui avait distribué une carte qu’il ne savait pas comment jouer : il n’avait jamais aimé personne de la façon dont il aimait Eddie. Et ce faisant, il ne s’était jamais senti aussi impuissant.

Tu n’es pas impuissant, lui dit une voix au plus profond de lui. Il ne connaissait que trop bien la provenance de cette voix : du sombre pouvoir qui était en lui. Un pouvoir si fort qu’il pouvait imposer sa volonté à quiconque, particulièrement à un jeune vampire comme Eddie. S’il le voulait, il pourrait utiliser le contrôle de l’esprit pour qu’Eddie crût qu’il était attiré par lui. Il pouvait faire en sorte qu’Eddie le désirât. Mais ce ne serait pas juste. Ce serait une victoire tronquée, car il ne gagnerait jamais réellement l’amour d’Eddie. Ce ne serait qu’une imposture. Il violerait l’esprit de son jeune protégé. Tout comme il violerait son corps. Et cela, il ne pourrait le faire. Il s’en haïrait.

Soudain, il sentit une main lui serrer l’épaule. Il cligna et regarda Eddie dans le brun de ses yeux.

— Hé ! Je ne le pensais pas vraiment. Cain est un grand garçon. Il devrait être mieux renseigné quand il doit parier avec quelqu’un, dit Eddie.

Thomas força ses lèvres à expulser un rire.

— Pas de soucis. Garde ça juste pour toi. Je ne veux pas que les infos au sujet de la bague arrivent à l’oreille d’Ursula avant qu’Oliver n’ait eu la chance de s’agenouiller.

Eddie se mit à rire.

— S’agenouiller ? Tu ne penses pas vraiment qu’il va se mettre à genoux ? C’est vieux-jeu.

— Il n’y a rien de mal à être vieux-jeu. Si je trouvais la bonne personne, je me mettrais également à genoux.

Il tomberait à genoux pour Eddie si cela faisait la différence. Mais il savait que ce n’était pas le cas. Aucune courbette ne lui ferait gagner l’amour du jeune vampire qu’il ne pouvait bannir de son coeur.

Eddie baissa les paupières et détourna le regard.

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Un bruit derrière Thomas fit écho dans la nuit. Il tourna la tête. Une planche en bois sur le tas de matériaux tout près duquel Eddie et lui étaient passés quelques instants plus tôt avait bougé et avait causé ce bruit. Le regard de Thomas entra en collision avec celui d’Eddie, lequel lui désigna la porte ouverte.

À l’intérieur, les voix s’arrêtèrent soudainement. Les quatre étranges vampires avaient également entendu le bruit.

Saisissant Eddie par la manche de sa veste, Thomas l’entraîna avec lui, sautant par-dessus la basse clôture jusque dans la propriété adjacente. Ils se trouvaient derrière le chantier de construction, faisant face à un autre mur de soutènement.

— Merde, siffla-t-il à voix basse. Il n’y avait aucune issue par l’arrière.

Ils auraient à se frayer un chemin à travers le bâtiment en construction et se feraient voir par les autres vampires. Au son des pas qui s’approchaient, Thomas fouetta la tête sur le côté. Bien qu’il ne pût encore les voir, les quatre vampires arrivaient. Ce qui signifiait qu’ils ne pouvaient les voir non plus, Eddie et lui.

Une chose était claire : les vampires suspectaient d’avoir été entendus. Et ils ne verraient pas Thomas et Eddie d’un bon œil.

— On va devoir les combattre, murmura-t-il à Eddie.

Son jeune ami hocha la tête presque immédiatement et le poussa plus loin dans le coin où ils s’étaient retranchés, plus à l’écart des vampires qui s’approchaient. Thomas le regarda fixement.

— Trop nombreux ! chuchota Eddie à son tour.

— J’utiliserai le contrôle de l’esprit, suggéra Thomas.

Cela équilibrerait la donne. Quatre contre deux ne leur conférerait pas de grandes chances mais, s’il pouvait les combattre à l’aide du contrôle de l’esprit, Eddie et lui avait une chance de vaincre, s’ils en venaient à se battre.

— Non, tu ne feras pas ça ! Trop dangereux. Fais comme moi.

Avant que Thomas n’eût le temps de protester, Eddie le poussa dos contre le mur, vint se presser tout contre lui et l’embrassa. Surpris, Thomas se figea. Ceci ne pouvait être en train de se produire !

Il devait rêver, halluciner. Mais tout semblait réel : les lèvres chaudes d’Eddie sur sa bouche, sa langue poussant à la barrière de ses lèvres, ne demandant qu’à entrer, une main sur sa nuque, le maintenant collé-serré, tandis que son autre main lui encerclait la taille de manière à l’attirer encore plus contre lui.

Dans un gémissement, Thomas écarta les lèvres et invita Eddie à entrer. Lorsque leurs langues se rencontrèrent, tout son corps s’enflamma. Le sang se propulsa dans son membre en quelques secondes et l’amena en érection plus vite qu’il n’aurait pu le dire. Son rêve devenait réalité.

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Thomas tendit la main pour attraper le savon et se frotta, nettoyant la graisse de son corps après avoir bricolé une de ses motos pendant quelques heures. Cela l’avait aidé à se concentrer. Il devait faire quelque chose. Demeurer assis à attendre la prochaine atrocité n’était pas une option. La nuit prochaine, il sortirait et rechercherait Xander, l’homme qui lui avait demandé de rejoindre les disciples de Kasper. Il l’utiliserait pour dénicher les autres et ensuite décider de la façon de les détruire.

Se sentant mieux après avoir élaboré ce plan, il se rinça et coupa l’eau. Tout était à présent silencieux, mais ce silence fut interrompu par la respiration régulière d’un autre homme. Il inhala et reconnut l’odeur.

— Pars ! ordonna-t-il en continuant à fixer le carrelage qui tapissait sa cabine de douche surdimensionnée.

Mais aucun bruit de pas n’obtempéra à son ordre.

— Eddie, sors, maintenant ! Tu ne peux pas être ici. Je n’ai pas la force de réprimer mon désir pour toi, pas aujourd’hui. Tu ferais mieux de t’enfermer dans ta chambre. Pars ! S’il te plaît, pars !

De la main, il se soutint au mur de carrelage, tandis que son corps le trahissait, son membre s’engorgeant de sang au point de se soulever, tel un Phoenix. Il ne pouvait nullement se retourner dans l’immédiat. C’était déjà suffisamment moche qu’Eddie pût voir son postérieur dénudé. Lui montrer son érection et admettre son impuissance à se contrôler en sa présence n’aurait fait qu’empirer les choses.

Lorsqu’il entendit le bruit des pieds nus au sol, il laissa presque échapper un soupir de soulagement— jusqu’à ce qu’il réalisât que ceux-ci se rapprochaient au lieu de s’éloigner. Il ferma les yeux et serra les mâchoires, combattant l’irrépressible envie de se retourner et d’attirer Eddie dans la douche avec lui.

— Tu dois partir, le pria-t-il une fois de plus.

Mais c’était trop tard.

La main d’Eddie lui toucha l’épaule, le retournant pour qu’il lui fît face. Les yeux marron d’Eddie le dévisageaient, connectant son regard au sien avant d’errer vers le bas de son corps et s’arrêter à l’endroit où son sexe se tenait en érection.

Le cœur de Thomas s’arrêta de battre, tandis que ce dernier laissait son regard voyager sur le corps d’Eddie. Il était torse nu. De fermes abdominaux se contractaient juste au-dessus de son pantalon de pyjama à taille basse. Le fin tissu formait un monticule à l’endroit de son bas-ventre. La gorge de Thomas devint sèche. Il était incapable de déglutir.

Pas plus qu’il ne fut capable de bouger lorsque la main d’Eddie lui caressa le torse, lui frôlant le mamelon et l’amenant à se durcir comme de la roche en un instant. Mais la main d’Eddie ne demeura pas à cet endroit. Elle plongea plus bas, dépassa son nombril et atteignit la touffe qui gardait son sexe. Lorsque les doigts du jeune vampire passèrent à travers les poils drus, Thomas retint sa respiration, de peur de rompre le charme. Au premier contact de la main d’Eddie avec son sexe, il expulsa un gémissement involontaire. Ensuite, sa respiration s’emballa.

La main d’Eddie l’enveloppa, la peau chaude de sa paume le recouvrant telle une couverture.

— Bordel ! siffla Thomas à voix basse.

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- Alors, tu vas faire ta demande ou va t il falloir que je tombe à genoux et le fasse à ta place?

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He’d gotten off by imagining Thomas’s mouth on him, his hand cradling his balls, and a finger rubbing over his anus. And everything had excited him, even the finger that had rubbed over the tight entrance that was buried between his butt cheeks. Particularly that had made him hot. So hot that he’d come without warning.

Distressed, he sat up and wiped his semen-covered hand and stomach on the bed sheet then threw it on the floor. Something was wrong with him. This couldn’t be happening to him: he had gay erotic dreams. Did this mean he was turning gay?

He shoved a trembling hand through his hair. He had to figure out what was wrong with him so he could find a way to fix it.

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