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Les Vies de papier



Description ajoutée par x-Key 2016-06-29T15:29:03+02:00

Résumé

Aaliya Saleh, 72 ans, les cheveux bleus, est inclassable. Mariée à 16 ans à « un insecte impuissant », elle a été répudiée au bout de quatre ans. Pas de mari, pas d'enfant, pas de religion... Non conventionnelle et un brin obsessionnelle, elle a toujours lutté à sa manière contre le carcan imposé par la société libanaise. Une seule passion l'anime: la littérature. Elle a en effet pour les mots un désir inextinguible. À tel point que, chaque année, le 1er janvier, elle commence à traduire en arabe l'un de ses romans préférés. Un travail ambitieux qui finit toujours par échouer dans un tiroir. Car les quelque trente-sept livres traduits par Aaliya au cours de sa vie n'ont jamais été lus par qui que ce soit.

Ce portrait d'une femme solitaire en pleine crise existentielle oscille sans cesse entre passé et présent dans un Beyrouth en constante mutation. Tandis qu'elle essaye de maîtriser son corps vieillissant et la spontanéité de ses émotions, Aaliya doit faire face à une catastrophe inimaginable qui menace de faire voler sa vie en éclats. Son ton mordant ne nous laisse pas indemne.

Rabih Alameddine nous livre un roman bouleversant qui célèbre la vie singulière d'une discrète obsessionnelle et révèle la beauté et l'horreur de Beyrouth. Les Vies de papier est une déclaration d'amour à la littérature et à la façon dont elle peut nous définir.

(Source : Les Escales)

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Classement en biblio - 59 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par x-Key 2017-05-31T11:56:26+02:00

Lire un bon livre pour la première fois est aussi somptueux que la première gorgée de jus d'orange qui met fin au jeûne du ramadan.

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Commentaire video

Vidéo ajoutée par zaphrinamakichan 2020-09-12T17:38:36+02:00

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par Hanayu 2022-10-06T14:20:56+02:00
Bronze

Bluffant de magnifiques tournures de phrases très imagées, avec pudeur toutefois.

On est projeté en Jordanie par la voix de la narratrice et héroïne du roman : Aaliya Saleh.

Devenue érudite par hasard et bonheur.

Elle nous raconte son vécu par bonds successifs en avant comme en arrière. Traditions, guerre, carcans, révolte, humour parfois carnassier, voisinage très présent, famille non choisie, mélancolie bienheureuse...elle nous prend à parti tout au fil du récit de son timbre de conteuse.

Juste on saute sans cesse du coq à l'âne ! Mieux vaut enregistrer les noms que l'on nous évoque (même succinctement), on reviendra forcément dessus plus tard voir à plusieurs reprises, car on on aura beaucoup de détails sur la rencontre et le lien avec chaque. Parfois on ronge même son frein car la finalité est reportée au privilège d'une énième digression sans rapport. XD Donc beaucoup d'histoires en suspens (pour plus de suspens !)

Bien que déstabilisant cela sert le livre. Cela rend crédible l'âge de notre ancienne libraire : 72 ans ! Pas étonnant qu'elle se perde dans ses propres circonvolutions, et qu'elle avoue une fragilité aussi bien physique que morale.

Il n'est, aussi, pas évident de faire des "pauses"...car il n'y a PAS de chapitres !!! Aucun chapitre ! Résultat pour m'arrêter je ciblai un saut de ligne pour marquer la page.^^'

Il est en tout cas fort appréciable de lire autant de références littéraires et de musique classique. Ravie car j'en avais pas mal (ouf !), ce qui permets de suivre les clins d'œil qu'elle parsèment (quoiqu'il y en a tant que ma connaissance réelle reste infime par comparaison en vérité XD).

Il y en a tellement ici que prendre un carnet pour les noter est tout à fait envisageable ! Il y a de quoi en remplir un c'est certain. (J'ai appris beaucoup. :) )Donc si vous souhaitez en acquérir (du savoir)...lancez-vous ! Aaliya est un bon guide, en plus d'un traductrice autodidacte de haut vol (bien qu'elle en doute).

J'ai crains que la fin soit dramatique, entre la tristesse sourde permanente et Hannah...mais juste top ce dernier rebondissement ! Les cartons, et leur contenu, sont ainsi valorisés jusqu'au bout ! Chapeau pour le travail acharné de l'auteure comme de son personnage ! Si je ne relirai pas cet ouvrage, j'ai réellement passé un merveilleux moment et sais déjà à qui je vais offrir cette pépite. :D

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Commentaire ajouté par chanchandestras 2022-07-15T10:59:38+02:00
Bronze

Un roman dans lequel on se perd parfois, comme l auteur, qui a souvent tendance à nous emmener sur des chemins de traverse et perd le fil de son récit.

De très nombreuses références littéraires, parfois très intéressantes, parfois moins judicieuses à mes yeux!

Le quotidien des femmes musulmanes au Liban, des années 50 env. à nos jours, une relation mère-fille douloureuse, un récit riche en anecdotes historiques, on change sans cesse d’époque, de famille, de vies….

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Commentaire ajouté par mgb_bzh 2022-03-03T23:08:37+01:00
Bronze

Une pépite pour qui possède une culture littéraire beaucoup plus grande que la mienne. L'écriture a la première personne ou l'absence de chapitres font que l'on plonge dans l'esprit de la narratrice et que l'on suit le fleuve de ses pensées. Mais les références bibliographiques me sont pour la plupart inconnues : j'ai étoffé ma liste de livres à lire mais j'ai certainement perdu des nuances dans ce livre de Rabah Alameddine.

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Commentaire ajouté par Svane 2021-07-25T21:35:00+02:00
Bronze

Il est difficile d'écrire un commentaire de ce livre. J'ai mis un certain temps à entrer dans l'histoire. Il n'y a pas d'action, on suit la vie quotidienne, très banale, d'Aaliya. A ses côtés on découvre Beyrouth, et son itrospection nous permet d'apprendre les grandes lignes de sa vie. La grande particularité réside dans le fait qu'Aaliyah est traductrice amateur. L'ensemble du livre est donc émaillé de références et de citations. Cela peut parfois accrocher, lorsqu'on connaît (au moins de nom) l'oeuvre. Mais à d'autres moments cela crée une légère barrière, et freine un peu le récit.

Dans l'ensemble j'ai apprécié ma lecture, mais il faut lire à tête reposée.

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Commentaire ajouté par zaphrinamakichan 2020-05-25T12:36:09+02:00
Or

http://lessortilegesdesmots.blogspot.com/2020/05/les-vies-de-papier-de-rabih-alamedine.html

Depuis le temps que j'ai entendu parlé de ce roman, il était temps de le sortir de la pile à lire. On peut dire que Aaliyah est une femme atypique. On la découvre à l'âge de 72 ans avec les cheveux bleus. Elle nous raconte des pans de sa vie depuis son plus jeune âge. Le style d'écriture est sublime. J'ai été frappé par la capacité de l'auteur à se mettre aussi bien dans la peau d'une femme. J'en suis venue à oublier que c'est un homme qui a écrit ce roman et à croire que Aaliyah est juste en face de moi à me raconter son histoire assise derrière son bureau.

Aaliyah est très loin des traditions libanaises. Elle assume tous ses choix et traduit pour son plaisir personnel des romans. La tonalité est très pudique même si certains passages peuvent paraître très cru. J'ai bien ri lorsqu'elle parle de son ex-mari. Sur plusieurs pages, elles démonte son mari et montre à quel point elle est très bien en étant seul. L'image de la femme est parfaitement mis en avant. La femme doit se sacrifier pour ses proches...encore. Comme quoi, quelque soit le pays, c'est partout pareil.

En parallèle, on suit l'histoire de son pays. J'ai appris énormément. N'y connaissant pas grand chose à la guerre du Liban, j'ai fait appel au connaissance de ma mère. Je tiens à la remercier. J'ai pu pleinement comprendre ce dont il est question. C'est ces moments-là qui sont les plus pudique et parfois drôle lorsqu'elle décrit comment circuler dans les rues de Beyrouth.

Ce roman est également pourvu de citation, mentionne le titre de certains romans. Ça m'a donné envie d'en lire certains. On voit également que la littérature peut rapprocher les gens même s'ils semblent si éloigné les uns des autres. Je pense à ses voisines pour le moins atypique également. Elles m'ont bien amusé et même surprise.

Bref, ce roman est magnifique. On apprend, on rit et on traverse l'histoire d'un pays et d'une femme. Tout cela écrit par un homme. Merveilleux.

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Commentaire ajouté par Jean-Michel-12 2020-04-11T15:15:59+02:00
Argent

Un très beau roman, et pourtant parfois un peu de lassitude à la lecture. Sentiment très contrasté donc, le texte constitue un très beau chemin littéraire sous fond de drame de guerre au Liban mais le personnage principal, Aaliya, si forte et si intéressante soit elle, ne m’a pas provoqué d’empathie, malgré la sévère critique de la situation des femmes au Liban. L’héroïne, traductrice amateur, de grands textes, offre de sublimes citations. Elles ponctuent l’ensemble de l’ouvrage en de magnifiques invitations à découvrir les écrivains. Pour moi, ce sera Pessoa, que je n’ai jamais lu.

Aaliya a 72 ans, elle est portée par la littérature depuis son adolescence, elle vit à travers les œuvres des plus grands écrivains du monde. Décalée par rapport aux traditions de son pays, elle acquiert la liberté de travailler, de vivre seule et de se faire respecter dans un Beyrouth constamment pris sous le feu des soldats, des milices, des sectes et des truands de toute espèce. Elle parcourt les rues de la seule ville qu’elle connait et les souvenirs de ses lectures résonnent comme des choix de vie.

Rabih Alameddine nous propose une véritable ode à la lecture, elle compose un livre sur la condition des femmes au Liban des années 60 à nos jours à travers la littérature et ce qu’elle apporte à l’humanité. Critique d’une société patriarcale, aux traditions d’un autre temps, d’une religion trop présente et d’une politique soumise aux plus forts, son Liban et plus particulièrement le Beyrouth qu’elle aime se délitent sous ses yeux impuissants. La culture montre la voie de l’espoir et du renouveau.

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Commentaire ajouté par Cacoethes-scribendi 2018-05-01T16:39:55+02:00
Argent

Telle une ballade désuète qui emmène le lecteur au loin, Aaliya déroule ses souvenirs et son amour pour la littérature et Beyrouth.

Aaliya a 72 ans et sa préoccupation du moment est de trouver le roman qu'elle commencera à traduire en arabe à partir du 1er janvier, comme elle le fait depuis 50 ans.

La vieille dame, routinière, casanière, légèrement misanthrope sur les bords, a vécu tous les événements qui ont marqué Beyrouth. En puzzle, elle raconte sa famille, l'Histoire, la culture, ses voisines, sa meilleure amie.

Alors certes, ça ne fourmille pas d'actions. Et pourtant, impossible de s'ennuyer car l'ambiance est retranscrite à la perfection, que ce soit les rues beyrouthines, l'appartement-refuge ou le poids des ans. Aaliya est incroyablement touchante et l'auteur retranscrit ses pensées avec une plume d'une justesse folle.

Ce roman donne envie de voyager et de découvrir des classiques - beaucoup d'auteur.e.s du panthéon personnel d'Aaliya me sont inconnu.e.s (Pessoa, Kertész, Muñoz Molina...) !

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Commentaire ajouté par mr-moustache 2018-02-07T20:52:20+01:00
Argent

Un livre qui transmet une réelle culture, ce n'est pas seulement l'histoire d'une femme amoureuse des livres. Seul bémol : les nombreuses digressions. Certaines faisaient perdre le fil de la lecture, tout comme quelques fois les (trop?) nombreuses références littéraires. Cela donne dans un premier temps l'impression que l'auteur veut prouver la richesse de ses connaissances e en faisant étalage.

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Commentaire ajouté par Alice0508 2017-11-15T20:35:07+01:00
Diamant

Ce roman a pour moi été une révélation. Une belle langue mêlée à une magnifique étendue de culture qui fait du bien à retrouver parfois. Je le recommande !

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Commentaire ajouté par GoldElie 2016-11-23T21:09:39+01:00
Bronze

Le Liban et la littérature, voilà des choses qui me parlent et suscitent mon enthousiasme.

Ces éléments ont ainsi suffi à éveiller ma curiosité, j'avais hâte de me plonger dans cette lecture et découvrir ce qu'elle recèle.

En fin de compte, je n'ai pas vraiment réussi à entrer pleinement dans cette histoire que j'ai trouvée quelque peu décousue.

Les digressions sont en effet nombreuses, trop à mon sens, et c'est, je pense, ce qui m'a empêché d'être totalement captivée.

Parfois, les pages défilaient vite, mais à d'autres moments, j'avoue avoir eu un certain mal à avancer.

Par ailleurs, les références littéraires sont très présentes. Là aussi, peut-être un peu trop. Certaines d'entre elles sont bienvenues, voire passionnantes, il faut l'admettre, tandis que d'autres ont cassé mon rythme de lecture.

J'ai dû m'accrocher à plusieurs reprises, mais je conçois parfaitement que le style de l'auteur, déroutant à mes yeux, peut convenir à d'autres lecteurs.

Toutefois, le portrait de cette femme que dresse l'auteur n'est pas sans intérêt, loin de là. Son passé, son vécu, son présent, sa famille, ses voisines, son regard sur la vieillesse, ou encore cette ville de Beyrouth sont autant de choses que l'on prend plaisir à découvrir. Aaliya, qui voue sa vie à la littérature est un personnage attachant et touchant.

Une belle histoire, même si je n'ai pas vraiment adhéré à la forme.

http://www.faimdelire.com/2016/11/les-vies-de-papier-rabih-alameddine.html

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Dates de sortie

Les Vies de papier

  • France : 2016-08-25 (Français)
  • France : 2017-08-17 - Poche (Français)

Activité récente

Titres alternatifs

  • An Unnecessary Woman - Anglais

Évaluations

Les chiffres

lecteurs 59
Commentaires 11
extraits 33
Evaluations 16
Note globale 7.38 / 10

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