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Extrait ajouté par Alias-Rosiel 2019-08-30T07:04:03+02:00

Un drôle d'état de fatigue, se dit-il, lorsqu'un type mort depuis plus d'un siècle vous fait des clins d'oeil sur son portrait.

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Extrait ajouté par lelette1610 2018-05-09T14:26:48+02:00

— Le père du clown était également maître-gueux dans le quartier de St. Giles et il n’aurait jamais accepté de travailler avec des simulateurs… tous ses aveugles étaient réellement des aveugles et ses gamins estropiés ne se traînaient sur des béquilles simplement pour faire vrai. Tout à son honneur, diriez-vous jusqu’à ce qu’on vous apprenne qu’il recrutait du personnel en bonne santé et le modifiait ensuite en fonction du type de mendicité pratiquée. Quelque-part sous Londres, il avait créé une clinique à l’envers où il mettait au point des techniques pour transformer des hommes, des femmes, des enfants robustes en créatures pour susciter l’horreur et la pitié.

Au cours de son récit, le sourire de Jacky s’était effacé.

— Donc, reprit le capitaine, si le vieux Théobaldo Horabin avait décidé que vous étiez Tom le Muet, il vous aurait d’abord coupé la langue puis, à titre d’expérience, il vous aurait authentiquement rendu idiot en vous frappant le crâne en un point précis ou en vous étouffant assez longtemps pour entraîner la mort de votre cerveau. (il se reprit une goulée de cognac au goulot) On dit même qu’il s’est essayé sur son propre fils et c’est la raison pour laquelle Horabin porte des vêtements si lâches et dissimule sous un maquillage le visage difforme qu’il doit à son père.

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Extrait ajouté par Lady-Stardust 2016-12-22T11:43:05+01:00

Les minéraux sont viandes pour les plantes, et les plantes pour les animaux, et les animaux pour les hommes ; les hommes aussi seront viandes pour d'autres créatures, mais pas pour les dieux dont la nature est par trop éloignée de la nôtre ; ils doivent en conséquence l'être pour les démons.

J. Cardan,

Hyperchen.

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Extrait ajouté par Lady-Stardust 2016-12-22T11:42:50+01:00

La plupart des gens froissent la coquille de l'œuf qu'ils viennent de manger. Cette pratique avait à l'origine pour but d'éviter qu'elle ne servît de barque aux sorcières.

Francis Grose.

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Extrait ajouté par Adanson 2016-02-21T10:19:36+01:00

Un drôle d’état de fatigue, se dit-il, lorsqu’un type mort depuis plus d’un siècle vous fait des clins d’œil sur son portrait.

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Extrait ajouté par Adanson 2016-02-21T10:19:01+01:00

— C'est un bon cigare. Où est-ce que tu l'as déniché ? Je me demandais justement quel goût ils avaient en 1810 et, maintenant que je peux me le permettre…

— Désolé, Brendan. C'est un Upmann, millésime 1983. J'en ai pris une boîte à Darrow lorsque je suis parti.

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Extrait ajouté par Adanson 2016-02-21T10:18:15+01:00

La nef de foire – un brasier d’enfer, à présent – bascula sur le flanc et commença de s’enfoncer graduellement dans la glace en fusion puis, au travers d’un nuage de vapeur, on vit les baux se coucher un par un comme les doigts d’une main opérant une soustraction.

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Extrait ajouté par luckita 2014-11-16T21:53:58+01:00

Et comment comptez-vous nous rétribuer le service que nous vous avons rendu en vous sauvant la vie ? Doyle se mit en colère.

— Pourquoi ne m'avez-vous pas donné vos tarifs avant de me sortir de l'eau ? J'aurais pu vous dire que c'était au-dessus de mes moyens et vous n'auriez plus eu qu'à poursuivre votre route en quête d'une personne plus rentable à sauver. Je crois que la dernière partie de la parabole m'a toujours échappé, celle où le prospère Samaritain présente ensuite au pauvre diable une facture à rallonges.

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Extrait ajouté par Caroline 2013-04-23T16:01:50+02:00

"Le temps, reprit-il sur un ton solennel, le temps est comparable à un fleuve qui roule sous une couche de glace. Il nous étire comme si nous étions des plantes aquatiques, de nos racines vers l’extrémité de nos tiges, de notre naissance vers notre mort, et se courbe autour des roches ou des souches qui se présentent au long de son cours ; et nul ne peut échapper à ce fleuve à cause du toit de glace qui le surplombe et nul ne saurait le remonter à contre-courant, ne fût-ce qu’un instant".

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Extrait ajouté par Caroline 2013-04-23T16:01:36+02:00

"D'entre deux arbres, à la crête d'une colline, un très vieil homme observait, avec une poignante nostalgie dont il ne se serait plus cru capable, le dernier groupe de pique-niqueurs qui remballaient leurs paniers, grimpaient sur leurs chevaux puis s'éloignaient vers le sud, avec quelque hâte car ils avaient six bons milles à faire pour rentrer à Londres et le soleil rougissant silhouettait déjà les branches des arbres bordant la Brent, à deux milles environ vers l'ouest".

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