Commentaires de livres faits par LeSavoirEstLePouvoir
Extraits de livres par LeSavoirEstLePouvoir
Commentaires de livres appréciés par LeSavoirEstLePouvoir
Extraits de livres appréciés par LeSavoirEstLePouvoir
– Que c’est un sacré morceau.
– Exactement : il a fait reculer le plus puissant sorcier que Lyrian ait jamais connu. Le Golem se trouvait entre lui et sa mission, et Eldrin a cédé.
– Il a peut-être considéré que tant que le Golem serait là, personne ne pourrait accéder aux ouvrages, dit Jason.
– Tout semble indiquer qu’il pourrait avoir eu raison, confirma Ferrin. Maldor a envoyé plusieurs équipes en quête d’informations à la Bibliothèque Céleste, mais aucune n’en est revenue. J’ai entendu dire que l’unique moyen d’affaiblir le Golem est de le découper en morceaux. Tout le contraire de moi, donc.
Pour illustrer son propos, il détacha négligemment sa main gauche, la lança en l’air puis la fit retomber sur le moignon auquel elle se souda aussitôt sans laisser la moindre trace.
– Alors, si on lui coupe un bras, c’est définitif.
– Qu’est-ce que c’est, cette musique, Maman ?
Jason se tourna vers le petit garçon et se mit à écouter.
Effectivement, on entendait une mélodie lointaine et basse qui ressemblait au son d’un tuba, mais plus chaud. Il serra les mains sur la balustrade. Depuis combien de temps cette musique était-elle là ? Le volume se mit à augmenter peu à peu.
– Vous entendez ça ? demanda-t-il à la mère du petit garçon.
Elle hocha la tête, les sourcils froncés.
– Vous croyez que ça vient du bassin ?
– On dirait bien, répondit Jason en se mordant la lèvre pour ne pas lui dire que la musique venait d’une autre réalité par le biais de l’hippopotame.
Il sentit son cœur s’emballer. Le portail était forcément ouvert. S’il devait vraiment faire ça un jour, le moment était venu. Il aurait été idiot d’attendre une meilleure opportunité. Il crispa les mains sur la barrière.
Jonas aura bientôt douze ans. À cet âge, on attribue la future fonction de
chaque enfant. Tous sont égaux. Ils ne désobéissent jamais, ne se révoltent
jamais et ne ressentent presque pas les émotions. Leur vie est littéralement
en noire et blanc. À chaque pas, ils sont surveillés de près. Jonas est choisi
pour être le dépositaire de la mémoire. Il est très spécial même s’il ne le
sait pas encore.
Y a-t-il quelque chose dans ce roman qui te rappelle un autre roman, poème, émission de télévision ou film?
Je trouve que le roman «Le Passeur» a un point en commun avec le film
«Man of Steel». À première vue, les deux histoires peuvent paraitre
complètement différentes. Le lien qui les relient entre eux est que les
enfants ne choisissent pas leur futur. Dans le film, les bébés sont chacun
créés pour une certaine fonction dans la société. Dans le roman, les enfants
se font attribuer à douze ans leur fonction. Dans les deux cas, les parents
des enfants ne sont pas leurs parents biologiques.
Tally, comme chaque individu de quinze ans et neuf mois, va bientôt subir
l’Opération, destiné à la rendre belle et d’intégrer la caste des Pretties.
Lorsqu’une amie lui propose de fuir l’opération et d’intégrer une société où
tous ses membres sont des Uglies, elle refuse. Cette amie lui donne des
indices, au cas où elle changerait d’avis. Le jour de ses 16 ans, Tally se
prépare à subir l’Opération, qui n’aura pas lieu.
Que retiens-tu des difficultés du personnage principal, de ses
défis, de ses apprentissages et des changements qu’il vit?
Tout au long du livre, Tally veut être belle. Autour d’elle, les adultes et
adolescents ont été modifiés, au point qu’ils sont tous identiques, autant
physiquement que mentalement . Tally a toujours rêvé d'être comme eux,
même si elle risque de perde quelque chose de plus important encore. Être
différente. Être unique.
C’est la fin du monde. Deux lignes d’explosions ravagent Terre et personne
ne peut les arrêter. Dans dix jours, tout ce que nous connaissons sera réduit
à néant. Chacun essaye de survivre le plus longtemps possible, et/ou de
vivre leurs derniers moments avec leurs proches. Six hommes et femmes
sont réunis par le destin pour accomplir leur destinée.
Que retiens-tu des difficultés du personnage principal, de ses
défis, de ses apprentissages et des changements qu’il vit?
Tout au long du livre (pages 9 à 255), chacun des personnages regrette au
moins une chose dans leur vie. Tous on fait quelque chose dont il n’est pas
fier ou qui n’a servi absolument à rien maintenant qu’il ne leur reste
moins de dix jours à vivre. Le message derrière tout cela est de profiter de
la vie, ne rien regretter et ne jamais regarder vers l’arrière… et de se
concentrer vers l’avant.
Les Épouventeurs n’ont pas beaucoup d’amis, doivent endurer le jeûne,
marcher jusqu’à leurs pieds ne puissent plus supporter leur corps, travailler
du chant du coq au coucher du soleil, mais font le travail le plus important :
repousser les créatures des ténèbres. Thomas Ward, du haut de ses 13 ans,
a un don de voir ce que les autres ne voient pas. Septième fils d’un
septième fils, il va suivre l’enseignement de l’Épouventeur du compter.
Que retiens-tu des difficultés du personnage principal, de ses
défis, de ses apprentissages et des changements qu’il vit?
Premièrement, je retiens de ne jamais donner sa promesse sur quelque
chose dont on ne sait l’ampleur. Tom a donné sa promesse à une sorcière
de faire un acte, que son maître aurait désapprouvé, qui peut sembler
minime, mais qui aura des répercussions dans tout le reste du livre.
Deuxièmement, je retiens qu'il faut (presque) toujours suivre le conseil des
proches ayant plus vécu, comme des parents ( ou d’un maître pour Tom ).
Si Tom avait suivi les conseils de son maître, les répercutions impliquant la
sorcière n’aurait pas eu lieux. Finalement, je retiens que quoi qui puisse
arriver, il faut toujours croire en soie et persévérer, tout le monde peut fait
des erreurs. Tom a beau avoir fait l’une des pires erreurs que le monde est
connu, cela ne l’a pas empêché de tout faire pour la réparer.
meurtre, de guerre, et de trahison. La compassion et l’amitié n’ont pas leur
place. Ils vivent dans un monde souterrain où chacun vit dans une mini-
société qui se nomme des «maisons». Ceux-ci comportent une famille, des
esclaves, des soldats et des serviteurs. Ces mini-sociétés se déclarent sans
cesse la guerre, avec l’espoir de monter plus haut dans la hiérarchie. Bien
que née haut placée dans cette société immonde, Drizzt est différant
d’autre. Il ne veut pas devenir un assassin au service de sa maison. Il doit
cacher sa véritable nature, car s’ils le découvrent, sa vie va être en danger…
même si chacun des drows est déjà en danger.
Je n’ai jamais vu un style d’écriture aussi magnifique. Même le mot
« magnifique » ne peut pas décrire le décrire. Je ne trouve simplement pas les mots. L’auteur utilise des mots simples ou parfois complexe, mais concocte avec eux des phrases inimaginables. Je peux ressentir des émotions dans chaque phrase, ce qui est rarement le cas avec les romans habituels. On peut le voir dans l’extrait suivant à la page 13 : «L’ambition
prévaut sur la raison et la compassion ne compte pas face à elle (la
divinité)… ». Pourtant, ce livre n’est pas très connu. Je pense que le style d’écriture de R. A. Salvatore dépasse même celui de la célèbre J. K. Rowling.
Ce livre est une merveille, tout simplement. Il nous apporte des leçons de vie qui nous ne laisse pas indifférent. J'ai aussi adoré que l'auteur soit utiliser un vocabulaire aussi avancé. si vous avez l'occasion de le lire, sautez sur l'occasion. Toutefois, le vocabulaire peut être lourd pour des lecteurs débutants et intermédiaires.