Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
De beaux poèmes écrits par une femme qui sait parler d'amour et de son mal. C'est très bien écrit, même si les sonnets et élégies m'ont plus ou moins parlé.
J'ai adoré la première partie du recueil, qui était absolument sublime. Je ressentais tout ce que M. Desbordes Valmore disait. J'ai moins aimé la dernière partir par contre, qui parle plus de l'amour maternel.
Le dernier Jane Austen qu'il me restait à lire, et je ne suis pas déçue du tout! Ce roman rassemble tout ce que j'aime chez elle: une écriture fine, une critique ironique de la société, une héroïne attachante, un peu de suspense, et bien sûr de la romance et des coups de théâtre !
Ce livre était une pépite de douceur. J'avais l'impression de retrouver de vieux amis.
Un roman vraiment agréable à lire, que j'ai beaucoup aimé. Il y a une petite ambiance merveilleuse et fantastique qui s'en dégage tout en étant bien ancré dans la réalité. C'est assez déconcertant mais c'est aussi très original.
Un livre long, où l'intrigue sert uniquement la dénonciation, très intéressante cependant, que fait l'autrice de la société new-yorkaise de la Belle époque.
J'ai beaucoup aimé ce huitième tome, car les Hargal et leurs connaissances sont les personnages que je préfère suivre, puisque j'adore Amir. Les dessins sont toujours aussi sublimes, et comme on parle de broderies ce sont un régal pour nos yeux! J'ai retrouvé l'ambiance un peu cocooning, apaisante, que j'avais perdue dans le tome précédent, un peu trop guimauve et niais selon moi.
Un livre incroyable, dont je ne suis pas encore sûre de la classification dans ma bibliothèque. Il m'a retournée, il m'a un peu effrayée aussi. Il y a certains passages très marquants, comme la découverte de la chambre de Rebecca, qui trotteront dans ma tête longtemps après avoir refermé ce livre, presque autant que l'héroïne éponyme... L'écriture est belle et assez fluide, et le livre se dévore avec une rapidité surprenante!
Les paysages surtout participent beaucoup à l'ambiance gothique du roman, on est véritablement transportés à Manderley, dans ce somptueux manoir hanté par la vénéneuse Rebecca.
Une série toute mimi, très réconfortante, avec des personnages adorables (même si j'avoue que la manière de s'exprimer de Main m'énerve un peu parfois).
Un manga visuellement très beau, très doux, avec une palette de couleurs qu'on arrive à apercevoir et qui, si elle était là, donnerait un charme incroyable au livre.
Une fin absolument incroyable, que j'ai savourée en compagnie de ces personnages qui m'ont émue, touchée, que j'ai détesté aussi pour certains. la réflexion philosophique derrière est vraiment bien faite, bien creusée, bien amenée aussi. Tous ces petits détails disséminés dans les tomes précédents prennent sens d'une façon assez spectaculaire. En plus, la plume de l'auteur est très belle et travaillée. Que demander de plus? Ca faisait longtemps qu'une trilogie ne m'avait pas marquée à ce point.
Une écriture vraiment addictive et surprenante pour un roman assez dérangeant au final. La dernière supérieure de Suzanne abuse d'elle sexuellement, et cette dernière ne se rend compte de rien. Rien n'est décrit, mais c'est tout de même très malsain.
Un livre incroyablement beau et douloureux, si douloureux qu'on a la gorge serrée lorsqu'on le ferme. L'écriture est belle et poétique. Une description splendide de la fièvre des années 20 et de ses revers. La part que Fitzgerald a mis dans ce roman le rend d'autant beau.
Un très beau livre sous-estimé, qui m'a plu autant grâce à l'écriture que grâce à la psychologie des personnages si finement travaillée. Une magnifique découverte que je ne manquerai pas de conseiller!