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Commentaires de livres faits par LetoBronn

Extraits de livres par LetoBronn

Commentaires de livres appréciés par LetoBronn

Extraits de livres appréciés par LetoBronn

date : 28-12-2014
Mois de Jésus, mois rouge et or, mois de l’Amour,
Juin, pendant quel le cœur en fleur et Tàme en flamme
Se sont épanouis dans la splendeur du jour
Parmi des chants et des parfums d’épithalame,
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date : 28-12-2014
Je ne t’ai pas connu, je ne t’ai pas aimé,
Je ne te connais point et je t’aime encor moins :
Je me chargerais mal de ton nom diffamé,
Et, si j’ai quelque droit d’être entre tes témoins,
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date : 28-12-2014
Moi qui ne suis qu’un brin d’hysope dans la main
Du Seigneur tout-puissant qui m’octroya la grâce,
Je puis, si mon dessein est pur devant sa face,
Purifier autrui passant sur mon chemin.
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date : 02-05-2014
Le Lindell que nous voyons n'était que la coquille du tueur, un spectateur ébahi condamné à souffrir pour celui qu'il devient l'espace de quelques courts instants, de temps à autre.
Comment certains êtres humains deviennent ils ainsi, tout aussi victimes que leurs victimes ? Je ne le comprends pas. Je suis juste l'éboueur qui ignore ce que les sacs contiennent.
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date : 02-05-2014
Est il vraiment impossible à un être humain d'en connaître un autre en profondeur, même lorsqu'il s'agit de celui qui lui est le plus proche? Je n'ai jamais réellement pu éprouver les sentiments d'Inger, en dépit de toute la bonne volonté que j'y mettais. J'ignore ce qu'elle pensait de nous et si elle était heureuse ou non avec moi. Son calvaire lorsque la maladie la ravageait de l'intérieur m'est resté étranger. J'étais enfermé à l'intérieur de mon système nerveux et elle à l'intérieur du sien.
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date : 02-05-2014
C'est peut être la sagesse de la nature qui s'exprime ainsi. Ce que nous sommes vraiment va petit à petit être anéanti, pendant que nous pouvons encore le voir. Nous ne laisserons pas grand chose derrière nous. La coquille d'un être, rien qui mérite qu'on s'y attarde, jusqu'à ce que, pour finir, nous partions d'ici et disparaissions.
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date : 02-05-2014
Que ressentais-je dans ces moments-là ? Un sentiment de vide. Que tout au fond de moi et à l'extérieur, il n'y avait finalement que le vide. Ce n'était même pas éprouvant ou effroyable, juste superficiel et insignifiant. Je savais qu'il manquait quelque chose mais je ne le ressentais pas.
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Mon coeur, lassé de tout, même de l'espérance,
N'ira plus de ses voeux importuner le sort ;
Prêtez-moi seulement, vallon de mon enfance,
Un asile d'un jour pour attendre la mort.
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Que ne puis-je, porté sur le char de l'Aurore,
Vague objet de mes voeux, m'élancer jusqu'à toi !
Sur la terre d'exil pourquoi resté-je encore ?
Il n'est rien de commun entre la terre et moi.

Quand la feuille des bois tombe dans la prairie,
Le vent du soir s'élève et l'arrache aux vallons ;
Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie :
Emportez-moi comme elle, orageux aquilons !
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La fleur tombe en livrant ses parfums au zéphire ;
A la vie, au soleil, ce sont là ses adieux :
Moi, je meurs ; et mon âme, au moment qu'elle expire,
S'exhale comme un son triste et mélodieux.
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Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,
Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges
Jeter l'ancre un seul jour ?
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
date : 26-04-2014
« Et le Veuf s’arrête, infiniment ému. Il fouille dans sa maigre poche, opération lente à cause de l’ulster et du veston à retrousser, et de gants fourrés du Louvre à défaire, et c’est d’une main presque tremblante, en poire (telle celle d’une vraie dévote dans l’aumônière de Monsieur le Curé) qu’il dépose en quelque sorte au fond de la timbale d’étain, comme par crainte d’offenser la fierté des yeux morts pourtant du seul vrai pauvre d’entre cette foule de pauvres, une petite pièce, — d’or ou d’argent, sa main gauche ne le sait pas.Ceci si doucement fait, si discret, et avec une fuite si glissante et comme pudique, que le petit aveugle s’écrie d’une voix cassée, mais combien pénétrante :
— Merci, madame ! »
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"Au téléphone, un homonyme de Victor Hugo raccroche.

Laurent Baffie : j'ai trouvé ça misérable, son comportement..."
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"Est-ce que vous trouvez normal que Marine Le Pen n'aime pas les homosexuels alors que son père est le plus gros des enculés ?"
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Il m’a semblé que Paul mettait un temps infini à mourir. Il appelait au secours par tous les pores de sa peau mais nos regards se croisaient et se quittaient et se croisaient. J’ai pu ainsi mesurer l’ampleur de son étonnement et celle de son agonie. Ses pupilles dilatées à l’extrême. Ses globes oculaires prêts à quitter leurs orbites. Les lèvres devenues deux traits gris formaient le plus incroyable sourire. Derrière ce masque convulsif, la terreur originelle poussait avec toute sa violence concentrée. Saisissant.
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date : 10-04-2014
Mallarmé travaille à un livre dont la profondeur étonnera non -moins que sa splendeur éblouira tous sauf les seuls aveugles. Mais quand donc enfin, cher ami ?

Arrêtons-nous : l’éloge, comme les déluges, s’arrête à certains sommets.
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date : 10-04-2014
Bien d’autres exemples de grâce exquisement perverse ou chaste à vous ravir en extase nous tentent, mais les imites normales de ce second essai déjà long nous font une loi de passer outre à tant de délicats miracles et nous entrerons sans plus de retard dans l’empire de la Force splendide où nous convie le magicien avec son

BATEAU IVRE

Comme je descendais des Fleuves impassibles,
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs :
Des Peaux-rouges criards les avaient pris pour cibles,
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.
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date : 10-04-2014
Nous avons eu l’honneur de connaître M. Arthur Rimbaud. Aujourd’hui des choses nous séparent de lui sans que, bien entendu, notre très profonde admiration ait jamais manqué à son génie.

A l’époque relativement lointaine de notre intimité, M. Arthur Rimbaud était un enfant de seize à dix-sept ans, déjà nanti de tout le bagage poétique qu’il faudrait que le vrai public connût et que nous essaierons d’analyser en citant le plus que nous pourrons.
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date : 10-04-2014
Avant de passer au Corbière que nous préférons, tout en raffolant des autres, il faut insister sur le Corbière parisien, sur le Dédaigneux et le Railleur de tout et de tous y compris lui-même.

Lisez encore cette


ÉPITAPHE

Il se tua d’ardeur et mourut de paresse.
S’il vit, c’est par oubli ; voici ce qu’il se laisse
Son seul regret fut de n’être pas sa maîtresse.
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date : 10-04-2014
C’est Poètes Absolus qu’il fallait dire pour rester dans le calme, mais, outre que le calme n’est guère de mise en ces temps-ci, notre titre a cela pour lui qu’il répond juste à notre haine et, nous en sommes sûr, à celle des survivants d’entre les Tout-Puissants en question, pour le vulgaire des lecteurs d’élite — une rude phalange qui nous la rend bien.

Absolus par l’imagination, absolus dans l’expression, absolus comme les Reys Netos des meilleurs siècles.

Mais maudits !

Jugez-en.
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- Salaud, dit le chat, tu me prends pour un coléoptère!... Mais tu vas changer d'avis!
Et pan!... Un coup de tête dans le bréchet. L'animal de coq!... Encore un coup de bec sur la colonne vertébrale du chat et un autre dans le gras des reins.
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Nous sommes ici dans un monde sanglant et violent. Si on ne devient pas fort, on ne peut pas survivre. Mais en même temps, il est important de rester calme, l'oreille aux aguets, afin de ne pas laisser echapper le moindre bruit. Les bonnes nouvelles sont souvent annoncées à mi-voix.
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Quand on s'habitue à ne jamais avoir ce qu'on veut, on finit par ne même plus savoir de quoi on aurait vraiment envie.
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Si les hommes vivaient éternellement, s'ils ne disparaissaient jamais, s'ils pouvaient rester pour toujours dans ce monde, en bonne santé, sans vieillir, tu crois qu'ils se tritureraient les méninges pour réfléchir, comme nous le faisons maintenant ? Nous, tu vois, on réfléchit sur tout, plus ou moins : philosophie, psychologie, logique. Religion, littérature. Est-ce que ces pensées, ces notions compliquées existeraient sur cette terre si la mort n'existait plus ? Je me demande...
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Je ne peux croire qu'à ce que j'ai vu de mes deux yeux. Les raisonnements, les vantardises, les calculs, les idéologies, les théories, tout ça, c'est pour ceux qui sont incapables d'observer la réalité de leurs propres yeux. Et la grande majorité des habitants de cette planète en est incapable.
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A l'heure la plus calme, vers quatre heures du matin, je pouvais entendre distinctement pousser à petit bruit les racines de ma solitude.
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