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« Nous assistons probablement, et je le souhaite de tout coeur, au passage à un stade éthique supérieur où la pensée humaniste s’émancipe de son cadre anthropocentrique pour s’étendre à tous les êtres sensibles qui peuplent la Terre. Dès lors, faire preuve d’“humanité” ne signifie plus simplement respecter les autres êtres humains, mais tout être vivant, selon son degré de sensibilité et de conscience. La vie s’est exprimée sur Terre à travers une foisonnante diversité.
Puisque l’être humain est aujourd’hui l’espèce la plus consciente et la plus puissante, puisse-t-il utiliser ses forces non plus pour exploiter et détruire ces formes de vie, mais pour les protéger et les servir. C’est pour moi notre plus belle vocation : protecteurs et serviteurs du monde. »
Il est vain d'opposer nos intérêts, ceux des humains, aux vôtres. Vous respecter, cesser de vous maltraiter, abandonner l'élevage industriel, c'est aussi l'intérêt profond de tous les hommes.
D'abord parce que, comme cela a été souligné plus d'une fois par de grands esprits, la cruauté envers n'est qu'un apprentissage de la cruauté envers les humains. <...>
Ensuite, parce que la plupart des éleveurs, comme ceux qui travaillent dans les abattoirs, finissent aussi par souffrir d'infliger tant de tourments aux bêtes, même s'ils se confortent par des discours qui les protègent, même s'ils se convainquent que vous ne souffrez pas. Et pourtant, votre souffrance, ils la connaissent malheureusement si bien, malgré ce mur dressé entre vos cris et leurs consciences. La sociologue Jocelyne Porcher, directeur de recherche à l'INRA, a montré que les éleveurs qui pratiquaient un élevage traditionnel, où ils entretiennent des relations personnelles, bienveillantes envers leurs bêtes, souffraient beaucoup moins de troubles anxieux et dépressifs que ceux qui pratiquent l'élevage intensif, <...>
Enfin, parce que la surconsommation de viande entraîne de nombreux problèmes environnementaux et sanitaires <...>
Rien de révolutionnaire pour qui s'intéresse à ces questions, mais un essai très accessible et très complet qui retrace l'évolution de la pensée humaine par rapport à sa relation aux autres animaux, et fait l'état des lieux à ce jour.
Il pose les jalons qui permettent d'aborder autrement notre relation à l'animal, notre relation à l'autre en général et à notre planète, accessoirement, et illustre son propos des grands auteurs qui ont pensé la condition animale depuis l'antiquité.
Les faits et pensées exprimés par ce livre n'ont plus grand-chose de nouveau aujourd'hui, mais il est assez accessible pour quiconque s'intéresse à ces questions. L'approche est un brin philosophique et l'auteur n'est pas particulièrement moralisateur, ce qui est aussi appréciable dans ce genre de manifeste.
Un ouvrage efficace et nécessaire ! Très accessible, j’en recommande la lecture à chacun et à, j'espère, des intéressés non nécessairement végétariens ou vegans. Moi-même végétarienne, je connaissais déjà certaines des problématiques évoquées dans ce livre mais l’auteur nous apporte des informations supplémentaires et cruciales. Frédéric Lenoir n’étant pas encore végétarien, je considère que ses pensées peuvent résonner dans la tête de ceux qui ont encore des doutes vis-à-vis d’une approche beaucoup plus éthique des animaux. Très sensible à la cause animale, j’ai eu du mal à contenir mes larmes pendant la lecture ; bien que les faits évoqués soient complètement véridiques et non fait pour sangloter, c’est dans ce détachement cruel d’un quotidien qui prend les animaux pour des moyens acquis que l’affliction réside. Merci Frédéric Lenoir d’avoir donné une voix à ces êtres formidables trop souvent inconsidérés, niés comme tels.
Un merveilleux plaidoyer pour la cause animale . Des arguments solides , bien documentés ,dans un langage soutenu ; sans tomber dans les extrêmes . J'ai pris plaisir à le lire , même si les sujets évoqués sont douloureux .
Ayant déjà lu de nombreux livres sur la protection et la condition animale, il y a une partie du livre dont je connaissais déjà les infos. Mais, je trouve très bien la manière dont l'auteur parle aux animaux durant le bouquin, c'est la première fois que je lis un bouquin de PA ainsi et je l'ai dévoré. Il balaie aussi la condition animale à travers les âges et les cultures, très intéressant. Je pense que c'est un très bon livre à partager, surtout pour ceux qui commencent à s'intéresser à la condition animale!
Rien de révolutionnaire pour qui s'intéresse à ces questions, mais un essai très accessible et très complet qui retrace l'évolution de la pensée humaine par rapport à sa relation aux autres animaux, et fait l'état des lieux à ce jour.
Il pose les jalons qui permettent d'aborder autrement notre relation à l'animal, notre relation à l'autre en général et à notre planète, accessoirement, et illustre son propos des grands auteurs qui ont pensé la condition animale depuis l'antiquité.
Résumé
« Nous assistons probablement, et je le souhaite de tout coeur, au passage à un stade éthique supérieur où la pensée humaniste s’émancipe de son cadre anthropocentrique pour s’étendre à tous les êtres sensibles qui peuplent la Terre. Dès lors, faire preuve d’“humanité” ne signifie plus simplement respecter les autres êtres humains, mais tout être vivant, selon son degré de sensibilité et de conscience. La vie s’est exprimée sur Terre à travers une foisonnante diversité.
Puisque l’être humain est aujourd’hui l’espèce la plus consciente et la plus puissante, puisse-t-il utiliser ses forces non plus pour exploiter et détruire ces formes de vie, mais pour les protéger et les servir. C’est pour moi notre plus belle vocation : protecteurs et serviteurs du monde. »
Frédéric Lenoir
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