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L'héritage de Tata Lucie



Description ajoutée par Nath56 2010-09-25T12:38:31+02:00

Résumé

Tata Lucie est une emmerdeuse. De son vivant ce n'était pas une sainte mais, une fois morte, elle se surpasse pour pourrir la vie de sa famille. Le testament est clair : pour toucher l'héritage, ses neveux doivent s'installer avec toute leur famille dans la maison de la défunte. Et ce n'est pas un palais ! Tata Lucie leur a réserve une autre surprise, une sorte de chasse au trésor rocambolesque, les pieds dans la boue. Bienvenue à la campagne ! C'est certain, les chers neveux ne vont pas s'ennuyer et, au coeur du Béarn, ils sont entraînés dans une aventure qu'ils ne risquent pas d'oublier... Mais que ne ferait-on pas pour toucher le pactole ? Comique de situation, dialogues savoureux et coups de théâtre s'enchaînent jusqu'au final orchestré par la chère tata Lucie. Un dénouement forcément étonnant.

Philippe Saimbert est romancier et scénariste. Il a déjà signé une douzaine d'albums de bande dessinée dans des domaines aussi variés que le fantastique, le thriller, la SF et l'humour.

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Classement en biblio - 186 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par lamiss59283 2012-02-24T16:05:36+01:00

Tata Lucie était une garce !... « Une vieille garce, même ! » précisait mon père. Et il avait l'air de s'y connaître en « vieilles garces », car cela faisait trois bonnes heures qu'il dissertait sur le sujet tout en assassinant Tata Lucie... verbalement, bien sûr ! Remarquez, elle n'avait plus grand-chose à craindre vu que l'on se rendait à son enterrement. Pourtant, deux jours plus tôt, il avait accueilli l'annonce du décès de notre tante avec la gravité qui sied à pareil événement, mais aussi, et sur le coup, presque, presque... une certaine tristesse. D'ailleurs, pour preuve, son œil droit s'était humidifié ; ma mère avait bien remarqué ce détail... elle est si sensible.

Mon père avait absolument tenu à rendre un dernier hommage à Tata Lucie, argumentant qu'il ne l'avait pas revue depuis des années (c'était effectivement une bonne occasion de retrouvailles). Il était également désireux de s'occuper de la maison de notre tante jusqu'à ce que la succession soit établie. Louable intention.

Ma mère avait bien un peu tiqué en apprenant qu'il faudrait sacrifier une partie des vacances du mois de juillet, surtout pour se rendre au village de Moncaubet, dans les Pyrénées-Atlantiques, distant de huit cents kilomètres de Paris. Mais mon père, usant de certains arguments convaincants, murmurés à l'oreille maternelle — la pudeur, sans doute —, avait réussi à la décider... Je dirais même plus, à l'enthousiasmer.

Comme je m'étonnais à vive voix de nous voir ainsi faire un tel détour — nous avions initialement décidé de passer le mois à Hossegor, sur le littoral atlantique — pour assister aux obsèques de Tata Lucie que mon père, rappelais-je, avait toujours traitée de « vieille toquée » — entre autres termes —, ce dernier avait tapé des deux poings sur la table de la cuisine où nous achevions de souper en rugissant :

« Et le sentiment familial !... Qu'est-ce que tu en fais du sentiment familial ?... »

Je dois ajouter que, le lendemain matin, une lettre recommandée venant des Pyrénées et adressée à mon père par Me Gérard Lafarge, notaire à Lembeye, n'avait fait qu' encourager le « sentiment familial ».

Je ne saurais préciser le contenu de la lettre, mais il sembla combler de joie son destinataire ; celui-ci, fendu d'un large sourire, le regard rempli d'une gratitude et d'une tendresse subitement retrouvée, avait ordonné que l'on précipite le départ pour Moncaubet.

Je maugréais et traînais les pieds en préparant mes bagages, car je n'avais nulle envie de finir mes vacances dans ce village que j'imaginais comme un trou perdu en pleine cambrousse... Un trou où nous allions enterrer Tata Lucie. Réjouissante perspective ! En plus, moi, la défunte, je ne la connaissais même pas si ce n'est à travers le parfum de scandale qui semblait entourer sa vie.

Les adultes évitaient d'ailleurs soigneusement d'évoquer ce sujet devant les enfants lors des repas familiaux, mais j'avais néanmoins réussi à me faire une vague idée du personnage en saisissant quelques bribes de phrases la concernant :« Quelle honte pour la famille !... Comment a-t-elle pu en arriver là ?... Si cela venait à se savoir !... Chaque famille porte sa croix ! »

Telles étaient les réflexions habituelles que ma mère et mes tantes lâchaient avec force contrariété et mines désolées. Fort curieusement, il suffisait que leurs époux se mêlent à la conversation et celle-ci se terminait toujours en bruyantes démonstrations de rires grivois et de clins d'œil entendus.

Alors qu'un jour, profitant perfidement d'une fin de repas arrosée, je demandais, du haut de mes treize ans, quelque éclaircissement à mon oncle Émile, j' appris plusieurs faits surprenants de sa bouche.

Il m'informa que : « Maintenant j'étais un homme avec du poil sous le nez, sous les bras (et dans des endroits moins avouables de mon anatomie) et qu'en conséquence, cette pilosité envahissante m'autorisait à entrer dans le monde des adultes et à savoir que Tata Lucie... avait fait la vie ! Et, d'après lui, elle devait même être morte d'avoir TROP fait la vie ! »

J'avoue que, sur le moment, mon jeune esprit avait buté devant ces sibyllines déclarations ; comme j'invitais mon oncle à préciser sa pensée, il éclata de rire et répondit en me tapant sur le dos : « Si tu veux l'exacte vérité, mon garçon, notre chère tante, elle avait toujours eu le feu au cul et aucun besoin des pompiers pour l'éteindre ! Un feu qu'elle propageait chez toute la gent masculine du coin ! »

Malencontreusement, ma mère avait saisi la fin de sa phrase et, d'un avertissement impérieux de la tête adressé à Tonton Émile, avait interrompu notre discussion.

Je m'étais fait une idée assez précise du personnage, mais, voulant avoir quelques éclaircissements (curiosité malsaine de mon adolescence, bien entendu), je m'étais donc tourné vers mon frère, alors âgé de vingt ans et donc certainement plus au fait des aptitudes pyromanes de Tata Lucie.

À l'énoncé de ma question, Yves m'avait regardé d'un air navré en me traitant, je le cite, de « puceau » et d'« artichaut » !

Puis il avait lui aussi fini par éclater de rire. Humilié, j'avais décidé une fois pour toutes de ne plus m'intéresser à Tata Lucie : paix à son postérieur.

Un an plus tard, Me Lafarge convoquait mon père à son étude, le deux juillet, juste après l'enterrement de notre tante. Ah ! il fallait voir le paternel se répandre en soupirs attendris et reconnaissants ; ma mère elle-même admit que Tata Lucie, malgré une existence marginale, avait cependant gardé le sens de la famille.

« Le sentiment familial, c'est ce que je disais ! commenta mon père ; et dans la vie, il n'y a rien de plus important... Il est vrai que, de ses quatre neveux, j'ai toujours été son préféré ; ce sont des choses qu'on sent au plus profond de soi... Mais si j'avais pu deviner, s'attendrit-il... si j'avais pu deviner qu'un jour... »

Euphorique, il se jeta soudain sur ma mère, la prit par la taille et entama une valse grossière autour de la pièce en improvisant à tue-tête sur l'air de Plaisir d'amour :

« Tata Lulu... Comment aurais-je pu...

Savoir qu'un jour, tu m' ferais don de tes écus ? »

Mon frère et moi, emportés par l'enthousiasme débridé de notre père, reprenions en riant le refrain qui mettait du soleil dans nos cœurs :

« Tata Lulu... À nous tes beaux écus ! »

Et ma mère, virevoltant autour de la pièce, changeait de cavalier en s'esclaffant comme une gamine. Le visage de mon père — de tempérament déjà sanguin — avait viré à l'écarlate. Il applaudissait à tout rompre devant mes efforts incertains pour accompagner la valseuse.

Cette touchante scène de famille fut brutalement interrompue par la sonnerie du téléphone ; ma mère, encore secouée d'éclats de rire, décrocha le combiné posé sur le poste de télévision. Après une courte formule de politesse, elle tendit gaiement le combiné à mon père :

« Tiens, c'est pour toi, ton frère Gustave !... Il veut te parler. »

Il empoigna le combiné et s'écria :

« Dis donc, le philosophe, on t'a pas souvent au bout du fil ! Ça fait toujours plaisir d'avoir des nouvelles de la famille ! Alors, continua-t-il sans visiblement laisser à son interlocuteur la chance de placer une parole, toujours à la recherche de la Sagesse ? Sacré Glus ! Quand je pense qu'à l'école, t'étais le plus déluré d'entre nous ! Tout le temps en train de reluquer sous les jupes des filles !... Ah ! où va se nicher la recherche de la Sagesse, hein ?... »

Et il partit d'un rire gargantuesque. C'est qu'il avait son humour, mon père. Il était d'ailleurs souvent son meilleur public. Un humour qui ne brillait pas par sa finesse, certes, mais qui avait le don de le mettre en joie. Heureux homme.

Alors qu'il monopolisait toujours la conversation, ma mère papillonnait autour de lui en le pressant avec force gestes d'abréger ses plaisanteries : les bagages ne se feraient pas tout seuls.

Mais mon père se figea soudain en blêmissant et interrompit d'un regard impérieux le manège de son épouse.

« Quoi ?... Qu'est-ce que tu dis ? Tu peux ré... répéter ? » se mit-i1 à balbutier. Le sang refluait de son visage au fur et à mesure que ses propos perdaient de leur cohérence. « Quoi... que... co... pourq... oui, non, oui... C'est ça, au revoir... à bientôt... »

Livide, il reposa le combiné, considéra pensivement l'écran noir de la télé, puis se tourna lentement vers nous :

« Gustave vient de m'apprendre une terrible nouvelle !... Terrible ! »

Ma mère porta la main à sa bouche dans un geste d'angoisse, craignant sans doute qu'un nouveau décès ne vienne endeuiller la famille. Mon frère et moi nous étions rapprochés, déjà inquiets... quant à la suite de nos vacances.

« Gustave, Émile et Michel ont également reçu une convocation de Maître Lafarge, égrena-t-il d'une voix blanche.

— Oh ! mon Dieu, ce n'est pas vrai ? s'écria ma mère, partagée entre le désarroi et le soulagement. J'ai cru un instant que... mais, d'un autre côté, c'est terrible ! »

Ne saisissant pas le côté « tragique » de la situation, je hasardai une malencontreuse question :

« Qu'est-ce qui se passe ?... On part plus en vacances ?...

— En vacances, en vacances ! Qu'est-ce que tu nous emmerdes avec tes vacances ? vociféra mon père. Mais tu te rends pas compte, non ?...

— Il est trop jeune pour s'intéresser aux affaires d'argent », tenta de le raisonner ma mère.

Elle savait par expérience qu'il fallait éteindre le feu naissant de la colère de son mari avant qu'il ne devienne incendie dévastateur.

« C'est pas la peine de t'énerver et puis...

— Trop jeune ? Trop con, oui ! la coupa-t-il en continuant à rugir. Ah ! la salope ! Ah ! la vieille salope ! Me faire ça, à moi... moi qui l'ai accompagnée dans sa vieillesse ! (En pensée, peut-être, et de loin, sûrement.) Moi ! son neveu préféré, elle le disait toujours !... J'avais même pissé sur sa robe quand j'étais tout gamin et elle en rigolait, et elle en rigolait ! Vous savez ce qu'elle disait à mon sujet : "Regardez ce grand dadais, quand on pense que je l'ai tenu dans mes bras et qu'il m'a pissé dessus !" C'est pas une preuve d'affection, ça ? Hein ?... Et voilà tout le remerciement ! »

Sa voix montait crescendo au fur et à mesure que le feu revenait à ses joues. Il tournait maintenant autour de la table de la cuisine en jurant comme un fou :

« Ah ! la vieille garce !... Me désavantager par rapport à mes frères ! »

Nous l'observions de loin : moi plutôt méfiant, notre mère catastrophée et mon frère, franchement hilare.

« Allons, papa, intervint ce dernier, n'exagère pas... Elle t'a pas désavantagé puisque tu es convoqué au même titre qu'eux.

— Elle m'a pas avantagé ! hurla-t-il... C'est la même chose ! Dans cette maison, personne réfléchit, mais qu'est-ce qu'il va nous rester après le paiement des droits de succession, hein ? Rien !... que dalle ! Une baraque pourrie dans un bled pourri et le tout divisé par quatre ! Et quatre fois que dalle, ça fait pas grand-chose... surtout venant d'une sorcière dépravée !

Le « sentiment » familial devait se retourner dans sa tombe.

« Tata Lulu, se mit à chantonner Yves, je crois que tes beaux écus... nous les avons définitivement dans le... pom pom pom ! »

Il aurait mieux fait de se taire, car cette improvisation lui coûta les vacances sur la côte landaise. Alors que nous finissions de préparer les bagages, je lui expliquai en essayant de le consoler qu'avec les cambriolages qui se multipliaient, il valait mieux que quelqu'un reste pour garder la maison.

J'ai toujours su trouver les mots pour consoler les gens.

En cette matinée de juillet, Paris bâillait dans l'indifférence générale et s'apprêtait à s'endormir pendant deux longs mois. Deux longs mois pour ceux qui restaient dans la capitale, évidemment ; pas pour ceux qui partaient se détendre en s'entassant dans les campings et les plages à la mode.

Depuis notre départ, mon père ne décolérait pas ; d'abord nous avions dû attendre Tonton Émile, sa femme Nathalie et Caroline (leur infernale progéniture) plus d'une heure à l'entrée de l'autoroute. Mon père n'avait pas voulu entendre les explications superflues qu'allait lui présenter son frère sur les embouteillages qui l'avaient retardé et, d'un geste impatient, l'avait invité à franchir le poste de péage.

« On aurait quand même pu leur dire bonjour, avait observé ma mère.

— Pourquoi, tu les vois pas assez souvent ? T'auras tout le temps pour ça quand nous serons arrivés ! »

Une fois le ticket en poche, mon père appuya sauvagement sur l'accélérateur, et la voiture bondit en avant.

Il eut un sourire de satisfaction en constatant qu'il avait cloué son frère sur place ; il faut dire que nous avions une Renault 25 turbo-diesel : le diesel pour l'économie et le turbo pour emmerder Tonton Émile qui ne possédait que la version diesel atmosphérique.

Et comme mon père avait pu, en tant que concessionnaire Renault, acquérir le turbo-diesel au prix du diesel simple, son plaisir était double.

Malheureusement pour lui, la satisfaction qu'il éprouva fut de courte durée, car, cent mètres plus loin, deux gendarmes jaillissaient d'une camionnette banalisée et nous ordonnaient de nous garer sur le côté.

« Pute borgne ! tonna mon père. (C'était là une gaillarde expression qu'il utilisait pour les grandes occasions) Manquait plus que ça ! Qu'est-ce qu'ils me veulent, ces cons ?... »

Il baissa la vitre de sa portière et présenta un visage avenant aux forces de l'ordre. Bonne volonté bien mal récompensée, car l'un des gendarmes, se penchant en avant, jeta d'un ton sec et impérieux :

« Carte grise, carte verte, permis de conduire et talon de vignette ! »

Alors que mon père présentait humblement les papiers demandés, je vis Tonton Émile passer devant nous, hilare. Le turbo l'avait dans le dos !

L'autre gendarme tournait autour de notre voiture comme une mouche autour du cul d'une vache, espérant sans doute découvrir un pneu lisse ou tout autre défaut qui puisse être verbalisable. À chacun son plaisir.

Dépité – sans doute de n'avoir pu terminer son carnet de contravention –, il adressa de la tête un signe maussade à son collègue et rejoignit la camionnette. L'autre rendit les papiers à mon père en maugréant :

« Vous aviez l'air bien pressé tout à l'heure ?...

— C'est que nous nous rendons à un enterrement, Monsieur l'agent, tenta de plaider ma mère.

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Commentaires récents

Lu aussi

Bonjour à toutes et tous. Bonne nouvelle ! Tata Lucie est morte, cette vieille carne a enfin cassé sa pipe ! Ah, mais quand une lettre recommandée du notaire vous apprend que vous allez hériter, la tata Lucie devient déjà plus sympathique ! C’est vrai quoi, elle faisait partie de la famille quand même. Bon bien sûr, elle aurait pu mourir un peu plus tôt, parce que là c’était la veille du départ en vacances et il va falloir faire un sacré détour pour assister aux funérailles et surtout aller chez le notaire !

Quand le notaire vous apprend que vous héritez d’un sacré magot, vous l’adorez la tata, bien sûr il faudra se partager le pactole entre les trois neveux, mais la somme est plutôt rondelette. Le problème, c’est quand vous apprenez que pour hériter, il va falloir retrouver la « Turquoise » que tata Lucie a soigneusement dissimulée ; la garce !

Bref, les trois neveux, les épouses et les bambins vont devoir renoncer aux vacances, s’installer dans la bicoque de Tata Lucie, et tout remuer de fond en comble pour retrouver la Turquoise dans les temps impartis !

Vont-ils trouver la Turquoise et hériter de cette chère Tata Lucie ?

Bref, un livre qui se lit rapidement, mais qui ne m’a pas particulièrement passionnée. Parfait toutefois pour se changer les idées sans prise de tête.

À lire dans le cabinet d’un notaire, sinon dans un cabinet de toilettes, en dégustant… rien du tout, beurk !

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Commentaire ajouté par Luc35 2022-01-01T20:58:13+01:00
Argent

Un bon livre, j'ai passé un bon moment.

L'humour est décadent, j'aime bien.

La collection Piment est terre à terre, ça reflète la vie de tous les jours.

Le scénario est bon, mais les personnages sont hilarant par moment.

J'ai pas regretter de l'avoir lu.

Je le conseil.

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Commentaire ajouté par Solange-13 2021-01-23T19:07:27+01:00
Pas apprécié

Tata Lucie lance une chasse au trésor à ses neveux qui se sont peu soucié d’elle avant sa mort. Le trésor étant son héritage, il ne faudrait pas que ce dernier soit trop simple à débusquer. Le mois de juillet des 4 frères et leur s famille va donc se passer sous le signe d’intenses recherches. On s’emmêle les pinceaux entre les personnages qui s’appellent tous « tonton » puisque l’histoire est racontée par un petit neveu, mais qui lui aussi appelle Lucie « tante »... l’arbre généalogique devient flou. Les personnages sont peu éclairés et font subir au lecteur un humour lourd, avec un regard et un comportement misogynes... On survole des clichés parsemés d’une intrigue négligée et d’un dénouement sans intérêt...

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Pas apprécié

Je n'ai pas vraiment été conquise par ce livre malgré le sens de l'humour de l'auteur.

Les personnages étaient un peu lourd et pas très attachants ce qui a rendu la lecture un peu difficile.

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Malheureusement j'ai perdue ce livre impossible de remettre la main dessus ! Je compte le racheter un jour car j'ai vraiment aime,drôle et fun il nous transporte dans une bonne ambiance de campagne,de plus il donne un certain aspect du sens de la famille a la fois caricaturale mais réaliste le point de vue du narrateur est hyper juste et naturel quelquefois un peu cru j'ai aimée.

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Commentaire ajouté par soraja 2018-10-28T19:56:07+01:00
Or

Histoire drôle d'une chasse à l’héritage d'une vieille tante acariâtre.Un séjour en famille divertissant pour retrouver ce fameux pactole!

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Bronze

UN livre qui se lit sans prise de tête

Certes l'histoire n'est pas très "riche" mais ça reste sympa.

La vieille tante décède, et elle lègue sa richesse à ses neveux, sous réserve qu'ils trouvent quelque chose.

Donc chacun y va de la sienne, coups bas, et les plus "mauvais" ne sont pas forcément ce que l'on pense.

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Commentaire ajouté par Adel89 2017-12-20T16:45:22+01:00
Argent

Tata Lucie est décédée et la surprise est de taille lorsque ses 4 neveux apprennent qu'elle était à la tête une belle fortune. Seulement, s'ils veulent toucher cet héritage, ils vont devoir retrouver un bijou bien précis de Tata Lucie et pour cela ils ont 1 mois. Passé ce délai la chasse sera ouverte à n'importe qui.

C'est donc la petite maison de Tata Lucie que tout le monde va passer le mois de juillet à tenter de résoudre les énigmes de la vieille tante...

Un roman qui ne demande pas à réfléchir, drôle et moralisateur.

Cependant, la chute était évidente et prévisible, je suis donc un peu déçue du dénouement...

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Commentaire ajouté par Caroline-10 2017-12-06T07:17:42+01:00
Pas apprécié

Je n'ai pas réussi à le terminer

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Commentaire ajouté par marmotte-s 2017-08-05T16:36:24+02:00
Lu aussi

Joseph adolescent de 14 ans nous raconte les mésaventures de sa famille qui pour toucher l’héritage de tata Lucie doivent trouver une turquoise en un mois. Un roman drôle et léger à lire pour se détendre ce qui est idéal pour les vacances.

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Date de sortie

L'héritage de Tata Lucie

  • France : 2014-03-27 - Poche (Français)

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