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Andrew était dans un fauteuil roulant. Il pouvait marcher mais avec peine.
Sous le regard de l'humanité tout entière, le président du monde déclara : "Il y a cinquante ans, on vous avait déclaré robot cent cinquantenaire, Andrew. Il fit une pause puis continua d'un ton plus solennel : Aujourd'hui nous vous déclarons homme bicentenaire, monsieur Martin."
[L'homme bicentenaire]
Afficher en entier- On a dit dans ce tribunal que seul un être humain peut être libre. Moi il me semble que seul quelqu'un qui désire la liberté peut être libre. Je désire la liberté."
Ce fut cela qui convainquit le juge. La phrase capitale de son verdict fut : "Il n'y a aucune raison de refuser la liberté à un objet qui possède un cerveau assez développé pour saisir le concept et souhaiter la condition."
[L'homme bicentenaire]
Afficher en entierQuel était le véritable but d'après vous, de la construction de la base sous la mer ? Exploiter l'océan ? Les installations sur ce plateau continental font cela très bien. Mieux connaître les profondeurs sous-marines ? Pour cela nous aurions dû nous contenter des bathyscaphes, économisant ainsi les cent milliards de dollars investis jusqu'à présent dans la base sous la mer.
Ne comprenez-vous pas que la base a une autre signification ? La raison d'être de la base sous la mer est de concevoir les vaisseaux et les mécanismes définitifs nécessaires à l'exploration et à la colonisation de Jupiter."
[Trombes d'eau]
Afficher en entierUn robot serait beaucoup plus rapide et beaucoup plus précis qu'un homme pour établir ces corrélations. En un jour, il pourrait effectuer et écarter autant de rapprochements qu'un homme en une année. De plus, il travaillerait complètement au hasard alors qu'un homme se laisserait fortement influencer par ses préjugés et par les connaissances déjà acquises."
[Intuition féminine]
Afficher en entierSous le regard de l'humanité entière, le président du monde déclara : « Il y a cinquante ans, on vous avez déclaré robot cent cinquantenaire, Andrew. Il fit une pause puis continua d'un ton plus solennel : Aujourd'hui nous vous déclarons homme bicentenaire, monsieur Martin. »
Afficher en entier– Et alors, nous avons tout l’océan pour le refroidir. La température baisse et la vapeur se condense. À ce moment, on peut faire pénétrer de l’air ordinaire à une pression d’une atmosphère, et c’est alors que la porte s’ouvre. – Combien de temps devons-nous attendre ? – Pas longtemps. S’il y avait un ennui, des sirènes sonneraient. Tout au moins, c’est ce qu’ils disent. Je n’en ai jamais entendu une marcher. » Il y eut un silence de quelques minutes, puis un bruit et une secousse violente
Afficher en entier– Je vois », murmura Demerest. Il y avait ici un point faible logiquement et cela voulait dire qu’il y avait une faille éventuelle par laquelle – mais plus tard. Il demanda : « Qu’attendons-nous maintenant ? – Le caisson se vide. L’eau est expulsée. – Par de l’air. – Certainement pas. On ne peut pas se permettre de gaspiller l’air comme cela. Il faudrait au moins mille atmosphères pour vider l’eau du caisson, et pour remplir le caisson d’air à cette densité, même pour un court moment, il faudrait plus d’air qu’ils ne peuvent en dépenser. Ils le font à la vapeur
Afficher en entier« Ne vous inquiétez pas, répondit enfin Javan un petit moment plus tard. Il n’y a aucun problème. Il me faut un moment pour vérifier si nous sommes bien amarrés. Il y a un joint électromagnétique qui nous maintient accrochés sur la surface d’un cercle parfait. Quand les instruments marquent la position correcte, cela signifie que nous sommes accrochés au-dessus de la porte d’entrée. – Qui s’ouvre alors
Afficher en entier« Avant, le ballast était formé de grains d’acier et on les lâchait par contrôle électromagnétique. On en utilisait jusqu’à cinquante tonnes à chaque voyage. Les conservateurs étaient inquiets de cet acier qui rouillait au fond des océans, alors nous sommes passés à des nodules métalliques que l’on drague à partir de la plate-forme continentale. Nous les avons recouverts d’une fine couche de fer de façon qu’ils puissent toujours être maniés électromagnétiquement, et ainsi le fond de la mer ne reçoit rien qui n’ait été sous-marin auparavant. Et cela coûte moins cher aussi… Mais quand nous aurons nos vrais bathyscaphes nucléaires, nous n’aurons plus besoin de ballast.
Afficher en entierCombien de fois une météorite était-elle passée et avait-elle été détournée ou ralentie ou amortie avec succès ? Combien de fois un tremblement de Lune avait-il sévi et avait-il été tenu en échec ? Combien de fois une défaillance humaine avait-elle été rattrapée et compensée ? Combien de fois des accidents ne s’étaient-ils pas passés ? Mais on ne trouve pas de compensation dans le fait que des accidents aient été évités. Il y avait eu vingt morts. Javan annonça (après combien de temps ?) : « Voici les lumières de la base sous la mer !
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